Vous avez dit Boko Haram…, je dis horreur
Innocence et abomination.mp3 (202.65 Ko)
Je suis stupéfaite, comment une enfant peut ’elle commettre un acte aussi odieux. En a-t-elle marre de jouer avec ses Barbies ? Une torche humaine qui entraîne dans son sillage des adultes. Et lorsque l’info stipule que cela s’est passé au Nigeria…, la mélancolie se dessine sur mon visage Boko Haram.
Dans sa quête de vouloir interdire l’occidentalisation, Boko Haram, depuis sa création en 2002, est à l’origine de nombreux attentats et massacres. Son action la plus marquante reste incontestablement l’enlèvement de plus de deux cents petites filles. Des innocentes, des mères et épouses en devenir. Des leaders qui apporteront à leur manière leur contribution au développement du Nigeria, ce géant au pied d’argile.
A contrario, sous l’emprise de la violence physique et psychologique de leurs bourreaux, deviennent des bombes vivantes.
Boko Haram veut appliquer la charia, une rigueur démentielle et sadisme affiché pour asservir des peuples, des nations.
Boka Haram, tue, pille et nargue toute la communauté internationale au grand désarroi des victimes. L’élan planétaire du "Bring Back Our Girls - Ramenez nos filles maintenant!" s’est très vite essoufflé pour accoucher d’une souris. Certaines ont réussi à fuir par leurs propres moyens. La majorité sont aujourd’hui tantôt des esclaves sexuelles, tantôt des kamikazes, tantôt des épouses de secondes zones aux mains de cette secte…
Dans sa quête de vouloir interdire l’occidentalisation, Boko Haram, depuis sa création en 2002, est à l’origine de nombreux attentats et massacres. Son action la plus marquante reste incontestablement l’enlèvement de plus de deux cents petites filles. Des innocentes, des mères et épouses en devenir. Des leaders qui apporteront à leur manière leur contribution au développement du Nigeria, ce géant au pied d’argile.
A contrario, sous l’emprise de la violence physique et psychologique de leurs bourreaux, deviennent des bombes vivantes.
Boko Haram veut appliquer la charia, une rigueur démentielle et sadisme affiché pour asservir des peuples, des nations.
Boka Haram, tue, pille et nargue toute la communauté internationale au grand désarroi des victimes. L’élan planétaire du "Bring Back Our Girls - Ramenez nos filles maintenant!" s’est très vite essoufflé pour accoucher d’une souris. Certaines ont réussi à fuir par leurs propres moyens. La majorité sont aujourd’hui tantôt des esclaves sexuelles, tantôt des kamikazes, tantôt des épouses de secondes zones aux mains de cette secte…
Vous avez dit espoir…, je dis paix durable
I have à dream…, comme Martin Luther King, je rêve que les gémissements des familles qui attendent désespérément le retour de leurs enfants se transforment en cris de joie. Boko Haram a capitulé!
Hélas la réalité est tout autre, Boko Haram frappe le Nigeria et maintenant toute la zone septentrionale de cette partie de l’Afrique. Sa rugosité sanglante croît, les petites filles sont leurs infaillibles torches humaines. Ni l’armée, et encore moins les musulmans et les chrétiens des pays touchés n’arrivent à stopper leur élan bestial…
Les chiffres sont implacables: on dénombre plus de 3600 morts depuis 2009. Des déplacements massifs des populations entre le triangle camerounais, nigérian et nigérien.
Même si les actions des armées nigérienne et camerounaise inquiétent ce groupe islamiste, force est de constater qu’il est solidement enraciné et grossit ses rangs chaque jour un peu plus.
Seule une action internationale permettra de couper la tête de Boko Haram. Capturer Mohamed Yusuf, fondateur de ce groupe et organiser des actions punitives pourront déstructurer ce groupe.
Les pays du G7, dans un vrai élan de solidarité, doivent porter main forte au Nigeria impuissant.
Houphouët-Boigny, le premier président de la Côte d’Ivoire disait "la paix ce n’est pas un mot mais un comportement". L’Afrique est une terre d’espérance et une joie de vivre. Lui redonner l’espoir d’un lendemain meilleur c’est planter un arbre près d’un cours d’eau. Cette émotion nègre dont parle le dramaturge Senghor fait partie de son histoire et de sa culture… Boko Haram ne doit aucunement la lui ôter.
Hélas la réalité est tout autre, Boko Haram frappe le Nigeria et maintenant toute la zone septentrionale de cette partie de l’Afrique. Sa rugosité sanglante croît, les petites filles sont leurs infaillibles torches humaines. Ni l’armée, et encore moins les musulmans et les chrétiens des pays touchés n’arrivent à stopper leur élan bestial…
Les chiffres sont implacables: on dénombre plus de 3600 morts depuis 2009. Des déplacements massifs des populations entre le triangle camerounais, nigérian et nigérien.
Même si les actions des armées nigérienne et camerounaise inquiétent ce groupe islamiste, force est de constater qu’il est solidement enraciné et grossit ses rangs chaque jour un peu plus.
Seule une action internationale permettra de couper la tête de Boko Haram. Capturer Mohamed Yusuf, fondateur de ce groupe et organiser des actions punitives pourront déstructurer ce groupe.
Les pays du G7, dans un vrai élan de solidarité, doivent porter main forte au Nigeria impuissant.
Houphouët-Boigny, le premier président de la Côte d’Ivoire disait "la paix ce n’est pas un mot mais un comportement". L’Afrique est une terre d’espérance et une joie de vivre. Lui redonner l’espoir d’un lendemain meilleur c’est planter un arbre près d’un cours d’eau. Cette émotion nègre dont parle le dramaturge Senghor fait partie de son histoire et de sa culture… Boko Haram ne doit aucunement la lui ôter.