La communauté internationale a affronté le problème d’assurance de la sécurité globale, et l’Ukraine a abordé la question de mise au point du potentiel nucléaire qui est devenu l’une des phases les plus importants au cours du développement du pays.
En s’adhérant à la voie pacifique d’établissement de la structure étatique et ayant obtenu le soutien des grandes puissances, le gouvernement ukrainien a proclamé le but d’effectuer le désarmement nucléaire et de se refuser du status nucléaire.
Telle décision prise par l’Ukraine avait sans exagération l’impact global et est devenu la contribution sans précédent à la cause d’assurance de la paix et de la sécurité internationales.
Ayant assumé une grande responsabilité, l’Ukraine a rejoint le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, en novembre 1994. Le 5 décembre 1994 l’Ukraine, la Fédération Russe, les États-Unis et la Grande Bretagne ont signé le soi-disant mémorandum de Budapest, selon lequel les États participants se sont engagés à respecter l’indépendance, la souveraineté et les frontières actuelles de l’Ukraine autant qu’éviter la manifestation de toute sorte d’agression envers l’Ukraine et s’abstenir de la pression économique visant à influencer sa politique.
Dorénavant l’Ukraine se formait comme étant le pays qui a renoncé aux armements nucléaires et a quitté "le club nucléaire". Au fur et à mesure il prend part à tous les cinq régimes de contrôle.
En s’adhérant à la voie pacifique d’établissement de la structure étatique et ayant obtenu le soutien des grandes puissances, le gouvernement ukrainien a proclamé le but d’effectuer le désarmement nucléaire et de se refuser du status nucléaire.
Telle décision prise par l’Ukraine avait sans exagération l’impact global et est devenu la contribution sans précédent à la cause d’assurance de la paix et de la sécurité internationales.
Ayant assumé une grande responsabilité, l’Ukraine a rejoint le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, en novembre 1994. Le 5 décembre 1994 l’Ukraine, la Fédération Russe, les États-Unis et la Grande Bretagne ont signé le soi-disant mémorandum de Budapest, selon lequel les États participants se sont engagés à respecter l’indépendance, la souveraineté et les frontières actuelles de l’Ukraine autant qu’éviter la manifestation de toute sorte d’agression envers l’Ukraine et s’abstenir de la pression économique visant à influencer sa politique.
Dorénavant l’Ukraine se formait comme étant le pays qui a renoncé aux armements nucléaires et a quitté "le club nucléaire". Au fur et à mesure il prend part à tous les cinq régimes de contrôle.
En 2010, lors du sommet nucléaire à Washington, l’Ukraine a déclaré sa bonne volonté de s’affranchir de tout uranium hautement enrichi qui était employé pour différentes recherches. Cette démarche a été proprement perçue par la communauté internationale, parce qu’il est évident que celui qui cherche de l’uranium enrichi, a pour but d’obtenir l’armement nucléaire. Celui qui s’y renonce manifeste qu’on peut se passer de l’uranium hautement enrichi afin d’atteindre certains buts industriels, techniques et médicales. Jusqu’en 2012 tout uranium enrichi a été emporté de l’Ukraine.
Encore un événement à l’échelle universelle en assurance de la sécurité nucléaire est celui de la mise hors service sans délai fixe de la centrale atomique à Tchernobyl. Cette démarche a manifesté la bonne volonté de l’Ukraine et confirmé ses intentions, énumérées dans le mémorandum d’entente entre les gouvernements des États du G8, le gouvernement ukrainien et la Commission européenne, signé le 25 décembre 1995.
A partir de la signature du mémorandum de Budapest, en dépit des problèmes économiques, des procédures politiques au sein du pays, malgré plusieurs violations des accords de Budapest par la Russie (notamment le conflit autour de l’île Touzla en 2003), l’Ukraine respectait pleinement ses engagement internationaux et les principes du développement non-nucléaire. Actuellement, tenant compte que la Russie a brutalement violé l’intégrité territoriale de l’Ukraine en annexant la Crimée et en occupant une partie des régions de l’Est, elle continue à attiser le conflit en soutenant le séparatisme. La communauté internationale doit prendre des mesures efficaces pour protéger la liberté et l’indépendance de l’Ukraine autant que prévenir la déconsidération de l’idée de renoncement à l’armement nucléaire.
Encore un événement à l’échelle universelle en assurance de la sécurité nucléaire est celui de la mise hors service sans délai fixe de la centrale atomique à Tchernobyl. Cette démarche a manifesté la bonne volonté de l’Ukraine et confirmé ses intentions, énumérées dans le mémorandum d’entente entre les gouvernements des États du G8, le gouvernement ukrainien et la Commission européenne, signé le 25 décembre 1995.
A partir de la signature du mémorandum de Budapest, en dépit des problèmes économiques, des procédures politiques au sein du pays, malgré plusieurs violations des accords de Budapest par la Russie (notamment le conflit autour de l’île Touzla en 2003), l’Ukraine respectait pleinement ses engagement internationaux et les principes du développement non-nucléaire. Actuellement, tenant compte que la Russie a brutalement violé l’intégrité territoriale de l’Ukraine en annexant la Crimée et en occupant une partie des régions de l’Est, elle continue à attiser le conflit en soutenant le séparatisme. La communauté internationale doit prendre des mesures efficaces pour protéger la liberté et l’indépendance de l’Ukraine autant que prévenir la déconsidération de l’idée de renoncement à l’armement nucléaire.