La campagne des Européennes de la République en marche avec désormais à sa tête l’ancienne ministre des Affaires du même nom, a choisi son cheval de bataille, ce sera l’écologie. L’urgence écologique que scientifiques et autres associations nous ressassent à longueur de rapports, d’articles publiés et manifestations, devient un outil politique pour sauver l’Union européenne face au nationalisme et au populisme. Deux vilains mots qui semblent ne plus pouvoir se quitter. Quand c’est pour sauver la planète, l’écologie on s’en moque comme de l’an 40, mais quand c’est pour sauver Macron, l’écologie devient le fer de lance de tous les démocrates…
Qui ne peut souscrire à une telle initiative? Reconnaître enfin que l’écologie doit devenir l’enjeu majeur de nos sociétés, nous ne pouvons que nous en réjouir. Espérons seulement qu’en cas de défaite face aux partis adverses, l’écologie n’en porte pas la responsabilité politique. C’est tout le danger d’utiliser une aussi noble cause dans le cadre d’élection et c’est ce qui peut être inquiétant. Sans parler des divisions politiques entre écologistes. Car évidemment, personne ne croit à la reconversion opportuniste du président Macron et de son équipe face aux enjeux environnementaux. Désormais, l’écologie n’est plus une philosophie mais un argument politique. C’est fou, ce que la politique peut corrompre les idéaux! Oui, je sais, c’est d’une grande banalité, mais parfois, il est bon de le rappeler.
La liste de La REM appelée opportunément "Renaissance", en cette année des 500 ans de la disparition du grand Léonard de Vinci, accueille ainsi en son sein, des personnes de tous horizons, des écologistes on l’aura compris mais aussi des journalistes. Des journalistes qui ne voient pas où est le problème de rester dans leur fonction tout en commençant une carrière politique. Lorsque l’on a l’expérience de Bernard Guetta et que l’on fait semblant de ne pas comprendre, c’est regrettable. Ce qui l’est d’autant plus pour ceux qui l’écoutaient à la radio, c’est de se dire qu’en ce qui concerne l’objectivité de ses propos depuis l’arrivée sur la scène politique d’Emmanuel Macron, il faudra repasser. Sans être naïf, et sans croire à la vérité ni à l’objectivité dans ce métier, on peut encore espérer qu’un minimum d’honnêteté intellectuelle reste possible. Encore une fois, il ne faut pas s’étonner ensuite du désaveu des Français vis-à-vis des journalistes car ce type de comportement c’est certain, nourrit ce fameux populisme que tout le monde décrit et que certains et en l’occurrence certaines osent utiliser à toutes les sauces. C’est ainsi que notre inénarrable Marlène Schiappa, secrétaire D’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, n’a pas hésité à qualifier le travail d’Élise Lucet et de son équipe de "populiste". On l’aura compris, désormais l’injure suprême. Le crime? C’est d’oser raconter des affaires de corruption au lieu de "belles histoires". Alors là, pour le combat de l’égalité entre les femmes et les hommes, on repassera! Et pourquoi pas des histoires de princesses ou des contes de fées? Faut-il rappeler à quoi servent les journalistes? A mettre la plume dans la plaie ou à caresser dans le sens du poil? A nous de choisir!
A l’Est, quelque chose de nouveau et cela s’est produit à travers l’élection d’une femme à la tête de l’État slovaque. Une femme que certains comparent à Emmanuel Macron - il n’est pas sûr que cela lui porte chance! Pourquoi cette comparaison? Elle est jeune, séduisante et on la qualifie de militante anti-corruption. Les médias ont raison, c’est tout à fait Macron! Zuzana Čaputová va devenir la première femme chef de l’État slovaque. Comme sa consœur croate, nous l’avons déjà dit, elle est jeune et blonde. Tous les amateurs de football se souviennent d’elle et du couple qu’Emmanuel Macron et elle formèrent le temps de la Coupe du monde. Y a-t-il un espoir que l’on puisse élever le débat?
Qui ne peut souscrire à une telle initiative? Reconnaître enfin que l’écologie doit devenir l’enjeu majeur de nos sociétés, nous ne pouvons que nous en réjouir. Espérons seulement qu’en cas de défaite face aux partis adverses, l’écologie n’en porte pas la responsabilité politique. C’est tout le danger d’utiliser une aussi noble cause dans le cadre d’élection et c’est ce qui peut être inquiétant. Sans parler des divisions politiques entre écologistes. Car évidemment, personne ne croit à la reconversion opportuniste du président Macron et de son équipe face aux enjeux environnementaux. Désormais, l’écologie n’est plus une philosophie mais un argument politique. C’est fou, ce que la politique peut corrompre les idéaux! Oui, je sais, c’est d’une grande banalité, mais parfois, il est bon de le rappeler.
La liste de La REM appelée opportunément "Renaissance", en cette année des 500 ans de la disparition du grand Léonard de Vinci, accueille ainsi en son sein, des personnes de tous horizons, des écologistes on l’aura compris mais aussi des journalistes. Des journalistes qui ne voient pas où est le problème de rester dans leur fonction tout en commençant une carrière politique. Lorsque l’on a l’expérience de Bernard Guetta et que l’on fait semblant de ne pas comprendre, c’est regrettable. Ce qui l’est d’autant plus pour ceux qui l’écoutaient à la radio, c’est de se dire qu’en ce qui concerne l’objectivité de ses propos depuis l’arrivée sur la scène politique d’Emmanuel Macron, il faudra repasser. Sans être naïf, et sans croire à la vérité ni à l’objectivité dans ce métier, on peut encore espérer qu’un minimum d’honnêteté intellectuelle reste possible. Encore une fois, il ne faut pas s’étonner ensuite du désaveu des Français vis-à-vis des journalistes car ce type de comportement c’est certain, nourrit ce fameux populisme que tout le monde décrit et que certains et en l’occurrence certaines osent utiliser à toutes les sauces. C’est ainsi que notre inénarrable Marlène Schiappa, secrétaire D’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, n’a pas hésité à qualifier le travail d’Élise Lucet et de son équipe de "populiste". On l’aura compris, désormais l’injure suprême. Le crime? C’est d’oser raconter des affaires de corruption au lieu de "belles histoires". Alors là, pour le combat de l’égalité entre les femmes et les hommes, on repassera! Et pourquoi pas des histoires de princesses ou des contes de fées? Faut-il rappeler à quoi servent les journalistes? A mettre la plume dans la plaie ou à caresser dans le sens du poil? A nous de choisir!
A l’Est, quelque chose de nouveau et cela s’est produit à travers l’élection d’une femme à la tête de l’État slovaque. Une femme que certains comparent à Emmanuel Macron - il n’est pas sûr que cela lui porte chance! Pourquoi cette comparaison? Elle est jeune, séduisante et on la qualifie de militante anti-corruption. Les médias ont raison, c’est tout à fait Macron! Zuzana Čaputová va devenir la première femme chef de l’État slovaque. Comme sa consœur croate, nous l’avons déjà dit, elle est jeune et blonde. Tous les amateurs de football se souviennent d’elle et du couple qu’Emmanuel Macron et elle formèrent le temps de la Coupe du monde. Y a-t-il un espoir que l’on puisse élever le débat?
Edito 31 3 19.m4a (1.89 Mo)