Le régime de vérification du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICE) utilise des technologies d'avant-garde et des méthodes scientifiques pour détecter les explosions atomiques où qu'elles se produisent. Les données obtenues offrent une vaste gamme d'applications civiles et scientifiques. L'OTICE organise aussi des ateliers, des séminaires et d'autres activités de formation partout dans le monde.
Lors de la cérémonie de signature, Mme Bokova a souligné que "l'accord permettrait une plus grande synergie entre l'UNESCO et l'OTICE, particulièrement dans les domaines de la formation et du renforcement des capacité des pays en développement. Outre leur importance dans l'atténuation des catastrophes, les données reçues par l'OTICE, grâce à son réseau planétaire de stations d'observation, peut faire progresser la recherche sur les processus océaniques et la vie marine et ainsi contribuer au développement durable."
"Notre coopération avec l'UNESCO dans les domaines de l'alerte précoce aux tsunamis et de la coordination des activités de renforcement des capacités revêt une importance particulière", a souligné pour sa part Tibor Tóth.
A la suite du tsunami dévastateur du 26 décembre 2004 en Asie, la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'UNESCO et l'OTICE ont convenu d'évaluer le potentiel offert par les données du Système de surveillance international (SSI) du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires aux fins d'alerte aux tsunamis. L'OTICE envoie actuellement des données aux centres d'alerte aux tsunamis en Australie, Indonésie, Japon, Philippines, Thaïlande et États-Unis, augmentant ainsi leur capacité à émettre des alertes plus rapidement.
La COI a été fondée en 1960 afin de promouvoir la coopération internationale dans la recherche et la protection des océans. Elle contribue à surveiller les océans et à mettre au point des systèmes d'alerte aux tsunamis dans les régions vulnérables.
Le régime de vérification du Traité disposera de 337 installations de par le monde lorsqu'il sera complet. Les données recueillies par la surveillance ont un certain nombre d'usages possibles dont l'étude du noyau terrestre, la surveillance des séismes et des volcans, la recherche sur le changement climatique, l'étude de l'atmosphère et la recherche biologique.
Lors de la cérémonie de signature, Mme Bokova a souligné que "l'accord permettrait une plus grande synergie entre l'UNESCO et l'OTICE, particulièrement dans les domaines de la formation et du renforcement des capacité des pays en développement. Outre leur importance dans l'atténuation des catastrophes, les données reçues par l'OTICE, grâce à son réseau planétaire de stations d'observation, peut faire progresser la recherche sur les processus océaniques et la vie marine et ainsi contribuer au développement durable."
"Notre coopération avec l'UNESCO dans les domaines de l'alerte précoce aux tsunamis et de la coordination des activités de renforcement des capacités revêt une importance particulière", a souligné pour sa part Tibor Tóth.
A la suite du tsunami dévastateur du 26 décembre 2004 en Asie, la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'UNESCO et l'OTICE ont convenu d'évaluer le potentiel offert par les données du Système de surveillance international (SSI) du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires aux fins d'alerte aux tsunamis. L'OTICE envoie actuellement des données aux centres d'alerte aux tsunamis en Australie, Indonésie, Japon, Philippines, Thaïlande et États-Unis, augmentant ainsi leur capacité à émettre des alertes plus rapidement.
La COI a été fondée en 1960 afin de promouvoir la coopération internationale dans la recherche et la protection des océans. Elle contribue à surveiller les océans et à mettre au point des systèmes d'alerte aux tsunamis dans les régions vulnérables.
Le régime de vérification du Traité disposera de 337 installations de par le monde lorsqu'il sera complet. Les données recueillies par la surveillance ont un certain nombre d'usages possibles dont l'étude du noyau terrestre, la surveillance des séismes et des volcans, la recherche sur le changement climatique, l'étude de l'atmosphère et la recherche biologique.