Que reste-t-il du rêve américain ?
Dans "Que reste-t-il du rêve américain ?", Daniel Leconte* explore les bouleversements auxquels les américains doivent faire face après le 11 septembre.
De New York à Washington en passant par le New Jersey, ce voyage dans le temps nous entraîne au pied de ce qui reste des tours du World Trade Center, aux services postaux à l’époque sous haute menace pour cause d'anthrax, dans les bureaux des stratèges de Washington ou encore sur le campus de Princeton. Aujourd’hui, avec le recul de 10 ans ce grand reportage a valeur de document historique unique en nous faisant revivre de l’intérieur l’état de choc dans lequel l’Amérique s’est retrouvée.
* Daniel Leconte, journaliste, producteur. Il a reçu notamment le prix Albert Londres, pour "La Deuxième vie de Klaus Barbie".
De New York à Washington en passant par le New Jersey, ce voyage dans le temps nous entraîne au pied de ce qui reste des tours du World Trade Center, aux services postaux à l’époque sous haute menace pour cause d'anthrax, dans les bureaux des stratèges de Washington ou encore sur le campus de Princeton. Aujourd’hui, avec le recul de 10 ans ce grand reportage a valeur de document historique unique en nous faisant revivre de l’intérieur l’état de choc dans lequel l’Amérique s’est retrouvée.
* Daniel Leconte, journaliste, producteur. Il a reçu notamment le prix Albert Londres, pour "La Deuxième vie de Klaus Barbie".
Une gloire amère
Dans "Une gloire amère", Amos Kollek, exploite la carte blanche qui lui a été donnée.
Le cinéaste interroge ses amis, sa famille, les habitants de son quartier, des écoliers new-yorkais, et suit sa comédienne fétiche Anna Thomson, sur les ruines des tours jumelles et dans des rues hantées par la crainte de l'attentat. Entre fiction, réalité, Amos Kollek brouille les pistes et filme le New York qui tente (en vain ?) de se remettre du choc des attentats, mais aussi celui qui, dans sa permanence, suscite l'envie de filmer et de vivre. 10 ans après, cet essai documentaire provoque toujours une émotion rare.
* Amos Kollek, grand cinéaste. Son nom est indissolublement lié à celui de New York.
Le cinéaste interroge ses amis, sa famille, les habitants de son quartier, des écoliers new-yorkais, et suit sa comédienne fétiche Anna Thomson, sur les ruines des tours jumelles et dans des rues hantées par la crainte de l'attentat. Entre fiction, réalité, Amos Kollek brouille les pistes et filme le New York qui tente (en vain ?) de se remettre du choc des attentats, mais aussi celui qui, dans sa permanence, suscite l'envie de filmer et de vivre. 10 ans après, cet essai documentaire provoque toujours une émotion rare.
* Amos Kollek, grand cinéaste. Son nom est indissolublement lié à celui de New York.