Crise économique et financière, division autour de la question climatique, insécurité institutionnelle et gouvernement en crise en République tchèque, alors à la tête du Conseil de l’UE. Les défis étaient nombreux pour la Suède à la reprise du flambeau de la Présidence en juillet 2009. Le Premier ministre, Fredrik Reinfeldt dresse le bilan d’un automne intense, et constate que la Présidence suédoise a atteint les objectifs fixés.
« Beaucoup plaisantaient avec nous, juste avant que nous reprenions le flambeau, en disant qu’ils avaient hâte de passer à une présidence suédoise. Ils s’attendaient à une présidence caractérisée par l’ordre et par une aptitude à faire avancer les processus. J'ai l'impression que nous nous sommes en partie montrés à la hauteur de ces attentes", dit Fredrik Reinfeldt.
" Je manque encore de recul pour pouvoir analyser tout ce qui est arrivé "
Il se dit satisfait lorsqu’il fait le bilan de ces six mois à la tête de l’UE. Il est satisfait que « nous ayons atteint les objectifs fixés » et que la politique ait été menée à bien.
Politiquement parlant, la question la plus difficile a été la question climatique.
" Compte tenu des efforts que nous avons déployé dans cette question et du rôle moteur joué par les démocraties à Copenhague, car c’est principalement comme cela que cela s’est passé, nous pouvons dire que nous avons tout de même réalisé une avancée. Le document que nous avons élaboré possède au fond la structure permettant de trouver une solution, mais les chiffres et les ambitions y sont insuffisants ".
Les petits détails sont les plus importants.
112 réunions en 135 jours comptant plus de 20 000 participants, dans 26 villes de Suède et dans plus de 65 locaux différents. Le Secrétariat suédois en charge de l’organisation des réunions, avec à sa tête Mårten Grunditz, a relevé un enjeu de taille pendant la Présidence. Il peut aujourd’hui faire le bilan des six derniers mois, à la fois soulagé et satisfait. « Un nombre considérable de réunions et de lieux de réunions, de multiples variables à chaque réunion et un budget serré : l’équation était difficile à résoudre. Mais grâce à une bonne planification, des fournisseurs de confiance et un Secrétariat compétent, nous avons réussi à mener à bien notre mission », explique-t-il.
La Suéde termine sa présidence de l' UE ce 31 décembre à minuit., et c'est l'Espagne qui assurera la relève.
« Beaucoup plaisantaient avec nous, juste avant que nous reprenions le flambeau, en disant qu’ils avaient hâte de passer à une présidence suédoise. Ils s’attendaient à une présidence caractérisée par l’ordre et par une aptitude à faire avancer les processus. J'ai l'impression que nous nous sommes en partie montrés à la hauteur de ces attentes", dit Fredrik Reinfeldt.
" Je manque encore de recul pour pouvoir analyser tout ce qui est arrivé "
Il se dit satisfait lorsqu’il fait le bilan de ces six mois à la tête de l’UE. Il est satisfait que « nous ayons atteint les objectifs fixés » et que la politique ait été menée à bien.
Politiquement parlant, la question la plus difficile a été la question climatique.
" Compte tenu des efforts que nous avons déployé dans cette question et du rôle moteur joué par les démocraties à Copenhague, car c’est principalement comme cela que cela s’est passé, nous pouvons dire que nous avons tout de même réalisé une avancée. Le document que nous avons élaboré possède au fond la structure permettant de trouver une solution, mais les chiffres et les ambitions y sont insuffisants ".
Les petits détails sont les plus importants.
112 réunions en 135 jours comptant plus de 20 000 participants, dans 26 villes de Suède et dans plus de 65 locaux différents. Le Secrétariat suédois en charge de l’organisation des réunions, avec à sa tête Mårten Grunditz, a relevé un enjeu de taille pendant la Présidence. Il peut aujourd’hui faire le bilan des six derniers mois, à la fois soulagé et satisfait. « Un nombre considérable de réunions et de lieux de réunions, de multiples variables à chaque réunion et un budget serré : l’équation était difficile à résoudre. Mais grâce à une bonne planification, des fournisseurs de confiance et un Secrétariat compétent, nous avons réussi à mener à bien notre mission », explique-t-il.
La Suéde termine sa présidence de l' UE ce 31 décembre à minuit., et c'est l'Espagne qui assurera la relève.