La Directrice générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Irina Bokova, a condamné jeudi le meurtre de deux journalistes, au Honduras en Ouganda, respectivement. "La nouvelle du meurtre d'Alfredo Villatoro qui a eu lieu moins d'une semaine après l'assassinat de son collègue Erick Martinez Villa, est profondément préoccupante et reflète les conditions dangereuses dans lesquelles travaillent les journalistes au Honduras. La mort de M. Villatoro sape le droit à l'information du peuple du Honduras".
M. Villatoro était présentateur à la radio HRN et avait reçu plusieurs menaces de mort avant son enlèvement le 9 mai dernier. Moins d'une semaine plus tard, son corps a été retrouvé à proximité de la capitale du pays.
Selon l'UNESCO, M. Villatoro est le troisième journaliste hondurien tué en l'espace de quelques semaines. Depuis 2009, 20 journalistes et professionnels des médias ont été tués au Honduras, l'un des pays les plus dangereux de la région pour les journalistes, avec le Mexique et la Colombie.
La Directrice générale de l'UNESCO a également condamné l'assassinat de Thembo Wa'Mupaghasya et demandé qu'une enquête soit ouverte au plus vite.
"Ce crime est une attaque intolérable contre la liberté d'expression qui est un droit fondamental et la pierre angulaire de la démocratie. La liberté d'information nourrit le débat dans les sociétés et les journalistes doivent pouvoir faire leur travail sans craindre des représailles", a souligné Mme Bokova.
M. Wa'Mupaghasya, qui vivait à proximité de la frontière avec la République démocratique du Congo, a été abattu par des inconnus qui se sont emparés de son sac et de sa caméra. Selon l'UNESCO, les autorités locales ont ouvert une enquête et pencheraient pour la thèse selon laquelle le directeur de la chaîne aurait été pris pour cible à cause de son travail.
Les médias locaux ont en effet indiqué que M. Wa'Mupaghasya avait déjà été la victime d'une attaque similaire à laquelle il avait survécu et qu'il avait reçu de nombreuses menaces de mort. Il est le troisième journaliste tué en Ouganda depuis 2010.
M. Villatoro était présentateur à la radio HRN et avait reçu plusieurs menaces de mort avant son enlèvement le 9 mai dernier. Moins d'une semaine plus tard, son corps a été retrouvé à proximité de la capitale du pays.
Selon l'UNESCO, M. Villatoro est le troisième journaliste hondurien tué en l'espace de quelques semaines. Depuis 2009, 20 journalistes et professionnels des médias ont été tués au Honduras, l'un des pays les plus dangereux de la région pour les journalistes, avec le Mexique et la Colombie.
La Directrice générale de l'UNESCO a également condamné l'assassinat de Thembo Wa'Mupaghasya et demandé qu'une enquête soit ouverte au plus vite.
"Ce crime est une attaque intolérable contre la liberté d'expression qui est un droit fondamental et la pierre angulaire de la démocratie. La liberté d'information nourrit le débat dans les sociétés et les journalistes doivent pouvoir faire leur travail sans craindre des représailles", a souligné Mme Bokova.
M. Wa'Mupaghasya, qui vivait à proximité de la frontière avec la République démocratique du Congo, a été abattu par des inconnus qui se sont emparés de son sac et de sa caméra. Selon l'UNESCO, les autorités locales ont ouvert une enquête et pencheraient pour la thèse selon laquelle le directeur de la chaîne aurait été pris pour cible à cause de son travail.
Les médias locaux ont en effet indiqué que M. Wa'Mupaghasya avait déjà été la victime d'une attaque similaire à laquelle il avait survécu et qu'il avait reçu de nombreuses menaces de mort. Il est le troisième journaliste tué en Ouganda depuis 2010.
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