Les quatre experts de l'ONU ont annoncé par un communiqué de presse :"Liu Xiaobo est un courageux défenseur des droits de l'homme qui a continuellement et pacifiquement plaidé en faveur d'un plus grand respect des droits humains en République populaire de Chine. Nous saluons la reconnaissance de son travail".
Parmi ces experts on trouve Franck La Rue, Rapporteur spécial de l'ONU pour la liberté d'opinion et d'expression, El Hadji Malick Sow, coprésident du Groupe de travail sur la détention arbitraire, Margaret Sekaggya, Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l'homme et le Rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats, Gabriel Knaul.
Liu Xiaobo était enseignant à l'Université de Pékin, il a coécrit la Charte 08 qui appelle les autorités chinoises au respect des droits de l'homme et d'accepter le multipartisme, il a également participé aux manifestations de Tiananmen à Pékin en 1989.
Les experts ont expliqué : "Depuis plusieurs années, nous avons exprimé au gouvernement de la République populaire de Chine nos inquiétudes concernant les violations des droits fondamentaux de Liu Xiaobo. Cela comprend sa détention en octobre 1997 et la peine de rééducation par le travail pour avoir pris la parole sur le système du parti unique. Elles sont considérées par le Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire comme une décision arbitraire'.
Le chinois Liu Xiaobo a fait l'objet d'une condamnation pour "incitation à la subversion du pouvoir l'Etat" par le tribunal municipal de Pékin et condamné le 25 décembre 2009 à 11 ans de prison ainsi qu'à deux ans de privation de ses droits politiques.
Les quatre experts ont déclaré : "Une peine aussi lourde pour des activités pacifiques, représente une claire violation du droit de la liberté d'expression". et précisé : "A cette occasion, nous appelons le gouvernement de la République populaire de Chine à libérer toutes les personnes détenues pour l'exercice pacifique de leur liberté d'expression et au respect de l'esprit du Pacte international relatif aux droits civils et politiques dont le gouvernement est signataire". Et de conclure : "Nous encourageons le gouvernement à ratifier cet important instrument international".
Parmi ces experts on trouve Franck La Rue, Rapporteur spécial de l'ONU pour la liberté d'opinion et d'expression, El Hadji Malick Sow, coprésident du Groupe de travail sur la détention arbitraire, Margaret Sekaggya, Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l'homme et le Rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats, Gabriel Knaul.
Liu Xiaobo était enseignant à l'Université de Pékin, il a coécrit la Charte 08 qui appelle les autorités chinoises au respect des droits de l'homme et d'accepter le multipartisme, il a également participé aux manifestations de Tiananmen à Pékin en 1989.
Les experts ont expliqué : "Depuis plusieurs années, nous avons exprimé au gouvernement de la République populaire de Chine nos inquiétudes concernant les violations des droits fondamentaux de Liu Xiaobo. Cela comprend sa détention en octobre 1997 et la peine de rééducation par le travail pour avoir pris la parole sur le système du parti unique. Elles sont considérées par le Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire comme une décision arbitraire'.
Le chinois Liu Xiaobo a fait l'objet d'une condamnation pour "incitation à la subversion du pouvoir l'Etat" par le tribunal municipal de Pékin et condamné le 25 décembre 2009 à 11 ans de prison ainsi qu'à deux ans de privation de ses droits politiques.
Les quatre experts ont déclaré : "Une peine aussi lourde pour des activités pacifiques, représente une claire violation du droit de la liberté d'expression". et précisé : "A cette occasion, nous appelons le gouvernement de la République populaire de Chine à libérer toutes les personnes détenues pour l'exercice pacifique de leur liberté d'expression et au respect de l'esprit du Pacte international relatif aux droits civils et politiques dont le gouvernement est signataire". Et de conclure : "Nous encourageons le gouvernement à ratifier cet important instrument international".