Dans une résolution adoptée à l'unanimité de ses 15 membres, le Conseil s'est déclaré "gravement préoccupé" par le financement des groupes terroristes grâce à des activités illicites, telles que le trafic de drogues, la traite des personnes et le trafic d'armes et d'objets. Le Conseil a ainsi appelé la communauté internationale à mettre un terme à ces sources de financement.
Dans sa déclaration au Conseil, le Secrétaire général adjoint de l'ONU aux affaires politiques, Jeffrey Feltman, a souligné la nécessité de prendre des mesures urgentes pour faire face au terrorisme et à ses ramifications transnationales, selon lui illustrée par l'intensification des activités de Boko Haram dans la région du bassin du lac Tchad en Afrique centrale. "Le terrorisme et la criminalité transfrontalière ne peuvent pas être traités séparément", a déclaré M. Feltman au Conseil. "Les efforts pour lutter contre le terrorisme ne porteront leurs fruits que si nous combinons des mesures d'application de la loi avec des mesures pour renforcer la bonne gouvernance, la primauté du droit et les droits de l'homme", a-t-il ajouté, soulignant que "nous ne pourrons pas déraciner les idéologies qui mènent à la violence si nous ne gagnons pas les cœurs et les esprits".
Reconnaissant le lien entre des activités criminelles et terroristes, la nouvelle résolution du Conseil de sécurité souligne la nécessité pour les États membres de "travailler collectivement pour prévenir et combattre le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations" et appelle la communauté internationale à renforcer la gestion des frontières.
Le texte souligne également l'importance de renforcer la coopération transrégionale et internationale sur la base de "la responsabilité commune et partagée de contrer le problème mondial de la drogue et les activités criminelles connexes".
Dans sa déclaration au Conseil, le Secrétaire général adjoint de l'ONU aux affaires politiques, Jeffrey Feltman, a souligné la nécessité de prendre des mesures urgentes pour faire face au terrorisme et à ses ramifications transnationales, selon lui illustrée par l'intensification des activités de Boko Haram dans la région du bassin du lac Tchad en Afrique centrale. "Le terrorisme et la criminalité transfrontalière ne peuvent pas être traités séparément", a déclaré M. Feltman au Conseil. "Les efforts pour lutter contre le terrorisme ne porteront leurs fruits que si nous combinons des mesures d'application de la loi avec des mesures pour renforcer la bonne gouvernance, la primauté du droit et les droits de l'homme", a-t-il ajouté, soulignant que "nous ne pourrons pas déraciner les idéologies qui mènent à la violence si nous ne gagnons pas les cœurs et les esprits".
Reconnaissant le lien entre des activités criminelles et terroristes, la nouvelle résolution du Conseil de sécurité souligne la nécessité pour les États membres de "travailler collectivement pour prévenir et combattre le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations" et appelle la communauté internationale à renforcer la gestion des frontières.
Le texte souligne également l'importance de renforcer la coopération transrégionale et internationale sur la base de "la responsabilité commune et partagée de contrer le problème mondial de la drogue et les activités criminelles connexes".