Guerre RDC.mp3 (1.26 Mo)
Œuvre des miliciens du M23 ou de la Rwanda Défense Force RDF ou encore d’une complicité et/ou instructions de l’état-major de l’armée congolaise elle-même; l’affaire de ces hélicoptères ne cesse d’alimenter les débats. On ne sait pas qui joue avec le feu, mais les éléments ainsi que les révélations diverses en notre possession font sans l’ombre d’un seul doute état des engins militaires sacrifiés et du personnel d’équipage pratiquement donné en holocauste pour des fins inavouées. On signale trois morts dans un hélico et cinq blessés graves dans l’autre. Du côté des opérations militaires congolaises on affirme qu’il s’agit d’une panne technique qui a surgit en pleine opération visant les positions M23 situées à plus de 3.500 km au-dessus du niveau de la mer.
Plusieurs versions s’opposent, mais ce qui est connue et avéré à ce stade et qu’il s’agit de deux hélicoptères de combats MI-24/25 qui auraient étés touchés par des missiles sol-air russes portatifs (MANPADS) SAM-7 Strelka, les mêmes types de missiles utilisées par l’armée rwandaise, les RDF et qui ont servis en 1994 à l’assassinat de l’ex-président rwandais Juvénal Habyarimana et en 1998 à l’attaque par le RDC-Goma une rébellion soutenue par le Rwanda pour anéantir un avion de ligne de la compagnie aérienne congolaise Lac.
Depuis l’annonce par le Gouverneur du Nord Kivu Julien Paluku de la résurgence de l’activisme du M23, plusieurs ballets diplomatiques ont été lancés entre Kinshasa et Kampala où étaient cantonnés ces rebelles depuis leurs défaites en 2013. Les mécanismes de contrôle et surveillance aux frontières de la CIRGL, la Conférence International de la Région de Grands Lacs a été mis à contribution et même une réunion spéciale des responsables de services de renseignements de ces pays a été tenue à Goma avec comme point clef des discussions l’affaire des M23 et de ces crashs.
Ce qu’on sait aussi, est que de par sa gravité, ce pseudo crash ou attaque sur les hélicoptères de combats des FARDC avec du personnel russe à bord a fait revenir manu militari le représentant spécial du secrétaire Général des Nations Unies et chef de la MONUSCO du sommet des chefs d’États de l’UA d’Addis Abeba. Maman Sidikou se dit préoccupé par cette situation sans donné plus de lumière. Mais quelques indiscrétions au sein de la mission onusienne nous ont laissé entendre que les pilotes russes de la mission auraient menacé d'entrer en grève si des explications sérieuses ne leur étaient pas présenter suite à la mort de leurs compatriotes commis aux cotés des troupes congolaises de l’aviation militaire. Pendant que l’Ouganda nie toute implication; Kigali quant à lui a choisit d'annoncer par contre des arrestations sur son sol d’une trentaine d’hommes du général rebelle Sultani Makenga non armés se disant fuyant les affrontements entre FARDC et M23.
Dans la ville de Goma par contre, on dénonce au jour le jour des arrestations des rebelles infiltrés. L’affaire de ce pseudo crash ou attaque sur des patrouilles aériennes des FARDC vient donc annoncer l'hypothèse sérieuse de guerre en gestation et qui pourrait desservir suffisamment des intérêts plus politiques plutôt que des revendications quelconques.
Plusieurs versions s’opposent, mais ce qui est connue et avéré à ce stade et qu’il s’agit de deux hélicoptères de combats MI-24/25 qui auraient étés touchés par des missiles sol-air russes portatifs (MANPADS) SAM-7 Strelka, les mêmes types de missiles utilisées par l’armée rwandaise, les RDF et qui ont servis en 1994 à l’assassinat de l’ex-président rwandais Juvénal Habyarimana et en 1998 à l’attaque par le RDC-Goma une rébellion soutenue par le Rwanda pour anéantir un avion de ligne de la compagnie aérienne congolaise Lac.
Depuis l’annonce par le Gouverneur du Nord Kivu Julien Paluku de la résurgence de l’activisme du M23, plusieurs ballets diplomatiques ont été lancés entre Kinshasa et Kampala où étaient cantonnés ces rebelles depuis leurs défaites en 2013. Les mécanismes de contrôle et surveillance aux frontières de la CIRGL, la Conférence International de la Région de Grands Lacs a été mis à contribution et même une réunion spéciale des responsables de services de renseignements de ces pays a été tenue à Goma avec comme point clef des discussions l’affaire des M23 et de ces crashs.
Ce qu’on sait aussi, est que de par sa gravité, ce pseudo crash ou attaque sur les hélicoptères de combats des FARDC avec du personnel russe à bord a fait revenir manu militari le représentant spécial du secrétaire Général des Nations Unies et chef de la MONUSCO du sommet des chefs d’États de l’UA d’Addis Abeba. Maman Sidikou se dit préoccupé par cette situation sans donné plus de lumière. Mais quelques indiscrétions au sein de la mission onusienne nous ont laissé entendre que les pilotes russes de la mission auraient menacé d'entrer en grève si des explications sérieuses ne leur étaient pas présenter suite à la mort de leurs compatriotes commis aux cotés des troupes congolaises de l’aviation militaire. Pendant que l’Ouganda nie toute implication; Kigali quant à lui a choisit d'annoncer par contre des arrestations sur son sol d’une trentaine d’hommes du général rebelle Sultani Makenga non armés se disant fuyant les affrontements entre FARDC et M23.
Dans la ville de Goma par contre, on dénonce au jour le jour des arrestations des rebelles infiltrés. L’affaire de ce pseudo crash ou attaque sur des patrouilles aériennes des FARDC vient donc annoncer l'hypothèse sérieuse de guerre en gestation et qui pourrait desservir suffisamment des intérêts plus politiques plutôt que des revendications quelconques.
Des questions sans réponses qui sèment le doute et décrédibilisent
Deux appareils avec une même défectuosité s’interroge des ingénieurs en aviation militaire, deux pilotes prendraient le même risque de voler plus haut que d’habitude dans une zone qu’ils maitrisent pourtant comme leur propre poche? Le deuxième crash a eu lieu à plus de 3 km à vol d’oiseau du lieu du premier, n’était-il pas en communication pour savoir leurs collègues en détresse? Qui a donné le plan de vol aux rebelles se questionne un officier des FARDC qui pleure ses hommes tués à bord de ces hélicoptères. Le M23 n’a pas ces genres des missiles, tout porte à croire que c’est plutôt l’apanage de la RDF s’exclame des experts militaires interrogés à ce sujet. Et pour couronner le tout, la thèse d’une panne sèche afin de faire un crash dans le fief des M23 qu'a avancé le porte parole des Opérations Sukola II en début de semaine, énerve encore plus d’un citoyen lambda congolais qui voit derrière ces genres de machinations un réarmement des M23 de triste mémoire.
C'est l’avenir politique du président actuel de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila qui est en fin de mandat depuis décembre 2016 et qui ne peut plus se représenter qui revient à la une. Ce dernier a lancé le dialogue politique national dont les négociations et arrangements particuliers entamés depuis bientôt plus de six mois au centre inter-diocésain sous les hospices des évêques catholiques de la CENCO semblent piétinées.
L’introduction d’un référendum pour une révision constitutionnelle avant la présidentielle de décembre 2017 et la nomination d’un Premier ministre issu du rassemblement de la famille politique du leader de l’opposition Étienne Tshisekedi de l’UDPS continue de diviser la classe politique tout entière.
La société civile du Nord Kivu pense que le M23 vient de démontrer sa capacité de frappe en descendant les deux hélicoptères des FARDC, chose qui réduit la capacité offensive aérienne de l’armée loyaliste et permettra aux rebelles de progresser sans résistance quand la consigne d’offensive leur sera transmise formellement. Comparant cette situation avec les affres connues à Beni dans le grand Nord et pour laquelle la population n’a cessée de dénoncer l’implication de la haute hiérarchie des FARDC en complicité avec des miliciens d’ADF NALU afin de justifier le report des élections et l’affectation des moyens réservés aux élections à l’effort de guerre. La résurgence du Mouvement du 23 Mai ne déroge à ce principe. Comme qui dirait si le dialogue et ses accords ne donnent aucune garantie de suite de mandat à l’actuel président, la guerre sera la carte ultime.
Il est clair à présent que ces crashs ou attaques des hélicoptères ont des dessous de cartes qui cachent une vraie forêt qui se dévoilera dans un futur proche.
C'est l’avenir politique du président actuel de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila qui est en fin de mandat depuis décembre 2016 et qui ne peut plus se représenter qui revient à la une. Ce dernier a lancé le dialogue politique national dont les négociations et arrangements particuliers entamés depuis bientôt plus de six mois au centre inter-diocésain sous les hospices des évêques catholiques de la CENCO semblent piétinées.
L’introduction d’un référendum pour une révision constitutionnelle avant la présidentielle de décembre 2017 et la nomination d’un Premier ministre issu du rassemblement de la famille politique du leader de l’opposition Étienne Tshisekedi de l’UDPS continue de diviser la classe politique tout entière.
La société civile du Nord Kivu pense que le M23 vient de démontrer sa capacité de frappe en descendant les deux hélicoptères des FARDC, chose qui réduit la capacité offensive aérienne de l’armée loyaliste et permettra aux rebelles de progresser sans résistance quand la consigne d’offensive leur sera transmise formellement. Comparant cette situation avec les affres connues à Beni dans le grand Nord et pour laquelle la population n’a cessée de dénoncer l’implication de la haute hiérarchie des FARDC en complicité avec des miliciens d’ADF NALU afin de justifier le report des élections et l’affectation des moyens réservés aux élections à l’effort de guerre. La résurgence du Mouvement du 23 Mai ne déroge à ce principe. Comme qui dirait si le dialogue et ses accords ne donnent aucune garantie de suite de mandat à l’actuel président, la guerre sera la carte ultime.
Il est clair à présent que ces crashs ou attaques des hélicoptères ont des dessous de cartes qui cachent une vraie forêt qui se dévoilera dans un futur proche.