Contre toute attente, c’est bel est bien la candidature de Rachida Dati, l’ancienne garde des sceaux du gouvernement Sarkozy qui permet à la droite de retrouver une "certaine" unité. La plupart des anciens ténors du parti lui ont donné leur soutien (Nicolas Sarkozy, François Baroin, Xavier Bertrand...). On le sait à Paris, l’enjeu va plus loin qu’une simple reprise de dossier à la mairie locale. Paris peut redonner une image nationale à un parti qui s’effrite.
De l’autre côté, Anne Hidalgo est aussi une rescapée au sein du parti socialiste. Minée par une campagne catastrophique en 2017 avec les 7% de Benoît Hamon, les anciens membres de la majorité du président Hollande peinent à refaire surface. Cette élection municipale est donc l’occasion pour ces deux partis de se mettre en scène. Evidemment, le retrait de Benjamin Grivaux et la candidature de Cédric Villani ont aussi donné un peu d’aura à cette campagne nationale qui (hormis les jours des votes) ne passionnent pas plus que cela les Français. La remplaçante LREM Agnès Buzyn a donc du pain sur la planche pour tenter de se positionner au deuxième tour.
Mais dans les bruits de couloir des métros et de l’Assemblée Nationale, il paraîtrait que le clan Le Pen soutiendrait la candidate LR (enfin dans les faits, Jean-Marie Le Pen et Florian Philippot, deux ex membres du parti donc). Pour autant, peut-on y voir une alliance possible et souterraine entre des membres des deux partis ? Imaginons que Marine Le Pen soit proche de l’Elysées, peut-être que certaines figures historiques de la droite se verraient rejoindre un futur gouvernement ? Ce ne sont évidemment que des suppositions mais on le sait, lorsque l’appel du pouvoir fait réapparition, il n’est pas rare que certains hommes politiques retournent leurs vestes, à suivre donc !
De l’autre côté, Anne Hidalgo est aussi une rescapée au sein du parti socialiste. Minée par une campagne catastrophique en 2017 avec les 7% de Benoît Hamon, les anciens membres de la majorité du président Hollande peinent à refaire surface. Cette élection municipale est donc l’occasion pour ces deux partis de se mettre en scène. Evidemment, le retrait de Benjamin Grivaux et la candidature de Cédric Villani ont aussi donné un peu d’aura à cette campagne nationale qui (hormis les jours des votes) ne passionnent pas plus que cela les Français. La remplaçante LREM Agnès Buzyn a donc du pain sur la planche pour tenter de se positionner au deuxième tour.
Mais dans les bruits de couloir des métros et de l’Assemblée Nationale, il paraîtrait que le clan Le Pen soutiendrait la candidate LR (enfin dans les faits, Jean-Marie Le Pen et Florian Philippot, deux ex membres du parti donc). Pour autant, peut-on y voir une alliance possible et souterraine entre des membres des deux partis ? Imaginons que Marine Le Pen soit proche de l’Elysées, peut-être que certaines figures historiques de la droite se verraient rejoindre un futur gouvernement ? Ce ne sont évidemment que des suppositions mais on le sait, lorsque l’appel du pouvoir fait réapparition, il n’est pas rare que certains hommes politiques retournent leurs vestes, à suivre donc !
Course aux Municipales à Paris... (1.58 Mo)