Une virée de dix jours au moins
Petit rappel des faits : théoriquement, le « Charles de Gaulle » devait reprendre la mer le 26 octobre. Tout était calé pour cette date. Fin septembre, le compte à rebours avait donc commencé pour le porte-avions. En effet, la date de reprise en mer était fixée à la dernière semaine octobre.
Le seul porte-avions français en activité, devait reprendre la mer, après plus d'un an de travaux, et quitter le port de Toulon où il était amarré le long du quai Vauban.
Preuve de cette montée en puissance : depuis le 29 septembre, des « maquettes » étaient lancées depuis le porte-avions. Des maquettes censées représenter les différents types d'avions embarqués et catapultables habituellement mis en œuvre par la Marine nationale à partir du porte-avions nucléaire français.
Ces nombreux essais servent à la validation des deux catapultes du navire. Mais aux dernières nouvelles, d’après une source interne à la base navale, le départ a été retardé une première fois au 31 octobre. Finalement, c’est donc le 10 novembre qu’il quittera l’Arsenal de Toulon.
Le seul porte-avions français en activité, devait reprendre la mer, après plus d'un an de travaux, et quitter le port de Toulon où il était amarré le long du quai Vauban.
Preuve de cette montée en puissance : depuis le 29 septembre, des « maquettes » étaient lancées depuis le porte-avions. Des maquettes censées représenter les différents types d'avions embarqués et catapultables habituellement mis en œuvre par la Marine nationale à partir du porte-avions nucléaire français.
Ces nombreux essais servent à la validation des deux catapultes du navire. Mais aux dernières nouvelles, d’après une source interne à la base navale, le départ a été retardé une première fois au 31 octobre. Finalement, c’est donc le 10 novembre qu’il quittera l’Arsenal de Toulon.