Benoît XVI n’est ni le seul ni le 1ier à douter de l’efficacité du préservatif. Avant lui, Jean Paul II avait posé les mêmes inquiétudes. Mais ce sera en 2001, que le problème du préservatif fera encore la une des journaux lorsque l’ex Président Sud Africain Tabou Mbeki avait estimé qu’il n’y avait pas de rapport entre le VIH et le Sida. L’Afrique du Sud est le pays au monde le plus touché par cette maladie.
En fait, le problème est ailleurs. Ce n’est pas au niveau même de l’utilisation des préservatifs, mais de la théorie même du complot qui est vulgarisé en Afrique et très peu médiatisée en Europe.
En fait, le problème est ailleurs. Ce n’est pas au niveau même de l’utilisation des préservatifs, mais de la théorie même du complot qui est vulgarisé en Afrique et très peu médiatisée en Europe.
Une histoire de poison raciste contre les noirs?
Tout commence en 1990 avec la libération de Nelson Mandela. Le régime de l’Apartheid prend fin et Nelson Mandela accède au pouvoir en 1994. Il refuse l’idée de créer un tribunal pour juger les crimes commis sous l’apartheid, mais cède face à la pression populaire, de mettre en place un Comité de Vérité et Réconciliation pour entendre les anciens dirigeants de l’apartheid.
A l’issue de ce déballage à huis clos, on apprendra qu’un certain Wouter Basson alias Dr La Mort, un brillant cardiologue sud africain a été à la tête pendant plus de 10 ans d’un programme bio nucléaire connu sous le nom de code Project Coast destiné à l’extermination sélectif des noirs par le biais des épidémies comme le Sida, le Choléra, l’Anthrax et l’Ebola.
Des poisons éthniquement sélectifs c à d sensibles à la mélanine de la peau des noirs auraient à ce titre été fabriqués et dissimulés dans les aliments de grande consommation comme le lait, le chocolat, le sucre, le tabac, la bière…etc.
Avec près de 68% de personnes infectés par le VIH rien qu’en Afrique Sub saharienne, une grande majorité de personne ayant un niveau académique supérieur au ou égal au Bac pensent que le VIH pourrait avoir été introduit jusque dans les préservatifs dans le but de diminuer la population noire.
Une option que l'occident rejette en bloc d'autant plus que Wouter Basson lors de la commission de vérité et réconciliation a avoué son crime mais ajouté que sa technologie a été mise au point avec l'aide technique, matérielle et financière des puissances occidentales dont la France, l'Allemagne et les États Unis.
Références
Dr Death implicate West (Document BBC)
Project Coast. Un programme d'extermination des noirs? (Voir vidéo ci-dessus)
Dr la Mort. Enquête sur le bioterrorisme d'État en Afrique du Sud, par Tristan Mendes France. Édition le Favre.
A l’issue de ce déballage à huis clos, on apprendra qu’un certain Wouter Basson alias Dr La Mort, un brillant cardiologue sud africain a été à la tête pendant plus de 10 ans d’un programme bio nucléaire connu sous le nom de code Project Coast destiné à l’extermination sélectif des noirs par le biais des épidémies comme le Sida, le Choléra, l’Anthrax et l’Ebola.
Des poisons éthniquement sélectifs c à d sensibles à la mélanine de la peau des noirs auraient à ce titre été fabriqués et dissimulés dans les aliments de grande consommation comme le lait, le chocolat, le sucre, le tabac, la bière…etc.
Avec près de 68% de personnes infectés par le VIH rien qu’en Afrique Sub saharienne, une grande majorité de personne ayant un niveau académique supérieur au ou égal au Bac pensent que le VIH pourrait avoir été introduit jusque dans les préservatifs dans le but de diminuer la population noire.
Une option que l'occident rejette en bloc d'autant plus que Wouter Basson lors de la commission de vérité et réconciliation a avoué son crime mais ajouté que sa technologie a été mise au point avec l'aide technique, matérielle et financière des puissances occidentales dont la France, l'Allemagne et les États Unis.
Références
Dr Death implicate West (Document BBC)
Project Coast. Un programme d'extermination des noirs? (Voir vidéo ci-dessus)
Dr la Mort. Enquête sur le bioterrorisme d'État en Afrique du Sud, par Tristan Mendes France. Édition le Favre.