Dans leur communiqué conjoint, ils rappellent que "Des millions d'enfants à travers le monde se voient refuser une maison et une communauté sûres, une école qui fonctionne et un terrain de jeu protégé. Grandissant pendant un conflit, leur innocence est volée quand ils sont enlevés des écoles, recrutés pour se battre, blessés ou tués, séparés de leurs familles et blessés à vie psychologiquement ainsi que physiquement", et insistent sur les besoins des enfants en Afghanistan, au Burundi, en Côte d'Ivoire, en Haïti, en Iraq, au Liban, au Myanmar, au Népal, dans le Territoire occupé palestinien et en Israël, en République centrafricaine, en République démocratique du Congo, en Somalie, au Soudan et au Tchad, ainsi que dans tous les autres pays en conflit.
"Des millions d'enfants font encore face à la violence. Cette violence contre les enfants reste dissimulés et socialement acceptées dans plusieurs pays. Elle a un impact grave et permanent sur la vie des enfants, et compromet leur santé physique et émotionnelle, leur évolution et leur éducation", précise Marta Santos Pais, Représentante Spéciale du Secrétaire Général de l'ONU sur la violence à l'encontre des enfants.
Extrait audio ci-dessous, par Maha Fayek
En vidéo, le 'flashmob' de l'UNICEF
En juin 2010, le Conseil de sécurité a affirmé d'envisager d'imposer des sanctions contre les personnes et les groupes inscrits sur la liste de ceux qui violent les droits des enfants.
"Des millions d'enfants font encore face à la violence. Cette violence contre les enfants reste dissimulés et socialement acceptées dans plusieurs pays. Elle a un impact grave et permanent sur la vie des enfants, et compromet leur santé physique et émotionnelle, leur évolution et leur éducation", précise Marta Santos Pais, Représentante Spéciale du Secrétaire Général de l'ONU sur la violence à l'encontre des enfants.
Extrait audio ci-dessous, par Maha Fayek
En vidéo, le 'flashmob' de l'UNICEF
En juin 2010, le Conseil de sécurité a affirmé d'envisager d'imposer des sanctions contre les personnes et les groupes inscrits sur la liste de ceux qui violent les droits des enfants.