L'attaque la plus meurtrière depuis la trêve du 9 décembre 2014 a eu lieu dans l'Est séparatiste pro-russe du pays, à Volnovakha. Elle a fait au moins 12 victimes civiles, tuées le 13 janvier 2015 lors d'un bombardement contre un barrage de l'armée ukrainienne qui a frappé leur véhicule. Le bus reliait Donetsk à Marioupol.

Les rebelles séparatistes nient d'être à l'origine des tirs d’obus meurtriers. Les autorités ukrainiennes de Kiev s'engagent à renforcer les contrôles dans cette zone à risque pour éviter d'autres attaques terroristes.

Ce dimanche matin, dans la banlieue nord de Karachi (Pakistan), un accident grave de la route a fait au moins 57 victimes, dont de nombreux femmes et enfants, qui ont péri lors de l'incendie de l'autocar. Celui-ci a pris feu immédiatement après avoir percuté le camion-citerne qui roulait dans le mauvais sens à une vitesse très élevée, selon les indications de la police.

Quelques personnes ont pu sortir des flammes en sautant par les fenêtres. Le bilan risque de s'alourdir car de nombreux blessés sont dans un état grave, certains avec le corps totalement brûlé, d'autres "collés" ensemble, selon les sources hospitalières.

L’autocar devait relier Karachi à Shikarpur, 370 kilomètres plus au nord.

En ce samedi Hayat Boumedienne est toujours introuvable. Elle est suspectée d'avoir été au côté du tueur Amedy Coulibaly qui a abattu une policière et blessé gravement un employé de voirie à Montrouge. Elle est reconnue aussi pour être l'amie de la concubine de Chérif Kouachi, Izzana Hamyd (actuellement en garde en vue), avec qui en 2014 elle aurait échangé quelques 500 appels.

Hayat Boumedienne ne figurait pas parmi les personnes décédées ou blessées lors de la prise d'otages perpétrée par son compagnon, ni de l'assaut mené à la Porte de Vincennes. Les forces de l'ordre continuent de déployer des moyens importants pour la retrouver rapidement.

Le N° vert à appeler gratuitement pour signaler les informations concernant les terroristes est le 08.05.02.17.17

Les auteurs de la tuerie de la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo ont été traqués avec succès. Depuis ce matin, les forces spéciales encerclent l'imprimerie à Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne) où les frères Kouachi se sont réfugiés avec au moins un otage.

Vers 13 heures ce midi, une fusillade a touché un supermarché casher dans le 13e arrondissement de Paris, où ce serait le troisième terroriste de l'attentat de mercredi - présumé tireur de Montrouge ayant tué une policière - qui s'est retranché avec plusieurs femmes et enfants pris en otage.

Le périphérique et le métro ont été fermés à la Porte de Vincennes.

Les unités d'intervention sont en train de gérer ces deux actes terroristes parallèlement, devant les yeux du monde entier.

La rédaction de Charlie Hebdo a été la cible des terroristes à 11h30 ce mercredi. Au moins 12 personnes ont été mortellement touchées, dont la plupart étaient des journalistes. Parmi eux, Stéphane Charbonnier dit Charb, Cabu, Tignous et Wolinski. Deux policiers ont également été froidement abattus. A l'heure où nous publions cette brève, huit autres personnes sont blessées dont quatre encore entre la vie et la mort.

Les trois assaillants armés jusqu'aux dents ont pris la fuite à bord d'une voiture, abandonnée peu après. Les assassins ont organisé cette attaque meurtrière de façon très pointue et n'avaient nullement l'intention d'y laisser leur peau. Les hauts responsables de la religion musulmane refusent toute affiliation avec cet acte barbare dont les auteurs se réclamaient d'Al Quaida.
Cette attaque morbidement ciblée contre des personnes précises représentant la liberté de la presse, est bien différente des attentats commis par des kamikazes.

Le plan Vigipirate est passé au niveau "alerte attentats" dans toute l'Ile-de-France. Les dirigeants du monde entier sont choqués.

Un minibus, avec à son bord une bombe qui a été déclenchée à distance, a explosé devant l'académie de police de Sanaa où des candidats venaient s'inscrire. Un bilan provisoire fait état de près d'une trentaine de morts et de plus d'une cinquantaine de blessés.

L'attentat n'a pas encore été revendiqué, mais le gouverneur de la ville, Abdel Kader Hilal, a déjà qualifié les victimes de "martyrs". Le pays, en proie aux violences répétitives ces dernières semaines, laisse de plus en plus planer une atmosphère proche de la guerre civile.

L'entreprise de pompes funèbres de Corbeil-Essonnes s'est vue refuser par le maire (divers droite) Christian Leclerc de Champlan (91), sa demande d’autorisation d’inhumer la petite Maria Francesca (décédée de mort subite, le lendemain de Noël) dans le cimetière de cette commune, comme le souhaitait la famille rom installée dans un campement de la ville.

Déclenchant un tollé d'indignation de toutes parts, le nourrisson sera finalement enterré lundi à Wissous, à environ sept kilomètres de Champlan, a confirmé par "souci d'humanité" le maire UMP Richard Trinquier.

Des hackers se sont appropriés des données personnelles (les adresses mail, les RIB et autres informations sensibles) de près de 2 millions de personnes inscrites sur le site de TF1.

La faille a été réparée rapidement mais les abonnés à la chaîne devront être particulièrement vigilants car il peuvent être victimes d'usurpation d'identité. L'un des pirates informatiques aurait déclaré que "les données que nous détenons seront sûrement revendus". TF1 affirme que les données des moyens de paiement sont cryptées, ce qui devrait - en partie - rassurer les internautes.

L'économiste français, auteur du best-seller "Le capital au XXIe siècle" traduit en plusieurs langues, a expliqué son refus honorifique avec ces paroles: "Je viens d'apprendre que j'étais proposé pour la Légion d'honneur. Je refuse cette nomination car je ne pense pas que ce soit le rôle d'un gouvernement de décider qui est honorable", tout en ajoutant "Ils feraient bien de se consacrer à la relance de la croissance en France et en Europe".

En savoir plus sur Thomas Piketty

A Banjul, le palais présidentiel a été attaqué hier par des hommes armés qui ont également bloqué l'accès au pont menant au centre-ville. Le coup d'État contre le régime du président Yahya Jammeh - en visite privée en France - n'a pas été mené avec succès, selon les sources diplomatique et militaire.
Le chef de l'État est au pouvoir depuis vingt ans et dirige la Gambie "d'une main de fer".