La situation des droits humains dans le monde
Droits humains 210516.mp3 (783.26 Ko)
L'Union européenne (UE) doit réprimer au sein de ses États membres la publicité commerciale pour les équipements de sécurité pouvant être utilisés pour infliger à des personnes un traitement cruel, inhumain ou dégradant.
En Syrie le pilonnage incessant de Sheikh Maqsoud détruit la vie de résidents civils. De nombreux groupes armés issus de la coalition Fatah Halab ont lancé ce qui ressemble à des attaques aveugles susceptibles de constituer des crimes de guerre.
Par ailleurs, le refus du gouvernement syrien d'autoriser l'entrée d'un convoi d'aide humanitaire le 12 mai 2016 désespérément attendu dans la ville de Daraya met en lumière la souffrance de milliers de civils assiégés depuis 2012.
Parallèlement au débat parlementaire sur le renouvellement de l’état d’urgence en France, Amnesty International France a dénoncé la pérennisation d’un régime aux conséquences extrêmement lourdes pour les droits humains.
11 enfants âgés de moins de 6 ans, dont quatre bébés, comptent parmi les 149 personnes qui sont mortes cette année en détention au Nigeria, au tristement célèbre centre de détention de la caserne de Giwa à Maiduguri.
Au Mexique Ildefonso Zamora est sanctionné parce qu'il dénonce les dégâts causés au territoire et à l'environnement de sa communauté. Il n'aurait jamais dû être incarcéré, il doit être libéré immédiatement et sans condition. Protéger l'environnement et défendre les droits humains n’est pas un crime.
Si le procès de l'ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo est une étape importante pour mettre fin à l'impunité, Amnesty International maintient que les autorités ivoiriennes doivent reconsidérer leur refus d'honorer leur obligation de la remettre à la Cour pénale internationale (CPI).
Si Rodrigo Duterte veut réellement faire changer les choses aux Philippines, il devrait prendre des mesures pour améliorer la terrible situation des droits humains dans le pays et mettre fin aux exécutions extrajudiciaires, aux arrestations illégales, à la détention secrète ainsi qu'à la torture et aux autres mauvais traitements.
En Syrie le pilonnage incessant de Sheikh Maqsoud détruit la vie de résidents civils. De nombreux groupes armés issus de la coalition Fatah Halab ont lancé ce qui ressemble à des attaques aveugles susceptibles de constituer des crimes de guerre.
Par ailleurs, le refus du gouvernement syrien d'autoriser l'entrée d'un convoi d'aide humanitaire le 12 mai 2016 désespérément attendu dans la ville de Daraya met en lumière la souffrance de milliers de civils assiégés depuis 2012.
Parallèlement au débat parlementaire sur le renouvellement de l’état d’urgence en France, Amnesty International France a dénoncé la pérennisation d’un régime aux conséquences extrêmement lourdes pour les droits humains.
11 enfants âgés de moins de 6 ans, dont quatre bébés, comptent parmi les 149 personnes qui sont mortes cette année en détention au Nigeria, au tristement célèbre centre de détention de la caserne de Giwa à Maiduguri.
Au Mexique Ildefonso Zamora est sanctionné parce qu'il dénonce les dégâts causés au territoire et à l'environnement de sa communauté. Il n'aurait jamais dû être incarcéré, il doit être libéré immédiatement et sans condition. Protéger l'environnement et défendre les droits humains n’est pas un crime.
Si le procès de l'ex-Première dame de Côte d’Ivoire Simone Gbagbo est une étape importante pour mettre fin à l'impunité, Amnesty International maintient que les autorités ivoiriennes doivent reconsidérer leur refus d'honorer leur obligation de la remettre à la Cour pénale internationale (CPI).
Si Rodrigo Duterte veut réellement faire changer les choses aux Philippines, il devrait prendre des mesures pour améliorer la terrible situation des droits humains dans le pays et mettre fin aux exécutions extrajudiciaires, aux arrestations illégales, à la détention secrète ainsi qu'à la torture et aux autres mauvais traitements.