A trop vouloir mettre la démocratie à toutes les sauces n’aurait-on pas perdu sur toute la ligne ...
Les attaques fusent de partout à la fois, à y perdre son latin pour certains. Et au point qu’il ne soit plus guère possible de "déjeuner en paix".
Ça ne vous aura pas échappé: les homos eux, veulent plus de droits, ah bon, alors ils ne seraient pas des citoyens comme les autres? Zut, moi je croyais qui si. La preuve au cours des siècles, ils ont procréé comme tout le monde, qu’ils soient magnifiques rois guerriers, fils à papa débauchés ou féministes à la Georges Sand, selon les dictats ou au gré de leur propre volonté.
L’état providence des caisses d’assurances santé étant par ailleurs bien avisé de n’intervenir que dans les cas de carences, ou handicaps. Il serait bon que cela le reste, justement à titre d’égalité et non de préférences sexuelles. L'humain est un procréateur en puissance, qu’il le reste sous peine en autre de se déshumaniser transmuté en paillette congelée.
L’adhésion à la société, au système, au contrat social, est indivisible ou il n’est pas.
Mais les offensives sont multiples comme je l’annonçais, et là je parle du désamour des Français en France.
Le premier choc remonte à l’attentat de la rue des Rosiers, où des individus s’en prenaient à une communauté faisant partie intégrante de notre histoire, de notre civilisation, de notre relationnel quotidien voir de nos amours, nous laissant dans l’incompréhension totale. Depuis, c’est de l’acharnement à l’égard de la judéité, et il faut vraiment habiter l’îlot quasi surréaliste de l’Élysée pour ne pas en avoir pris la mesure à temps, et donc ne pas avoir agi, ni neutralisé et encore moins envisagé l’avenir, devenu notre présent.
Chacun s’y met à vouloir se détacher d’un ensemble et d’une unité au nom de sa différence. Jusqu’au restau viet de la Grande Motte qui refuse de servir du vin de Bordeaux pourtant inscrit à sa carte sous prétexte que la clientèle désirant dîner à la mode française est priée d’aller dans les restaus traditionnels situés en face!
Alors, quelle est donc l’origine de ces désamours multiples, est-on en droit de se demander… Même si il faut y lire une tendance du moment, il n’en demeure pas moins sur le fond une interrogation sur laquelle il n’est que temps de se pencher.
Et si la réponse tenait en partie dans notre "droit du sol" donné par volonté d’intégration. Alors qu’apparemment il vaudrait mieux que cela soit par désir, par implication, bref par choix. Le choix offrant l’avantage d’être aussi une liberté à une époque où justement on parait en manquer au point de nous empêcher de "déjeuner en paix"...
Ça ne vous aura pas échappé: les homos eux, veulent plus de droits, ah bon, alors ils ne seraient pas des citoyens comme les autres? Zut, moi je croyais qui si. La preuve au cours des siècles, ils ont procréé comme tout le monde, qu’ils soient magnifiques rois guerriers, fils à papa débauchés ou féministes à la Georges Sand, selon les dictats ou au gré de leur propre volonté.
L’état providence des caisses d’assurances santé étant par ailleurs bien avisé de n’intervenir que dans les cas de carences, ou handicaps. Il serait bon que cela le reste, justement à titre d’égalité et non de préférences sexuelles. L'humain est un procréateur en puissance, qu’il le reste sous peine en autre de se déshumaniser transmuté en paillette congelée.
L’adhésion à la société, au système, au contrat social, est indivisible ou il n’est pas.
Mais les offensives sont multiples comme je l’annonçais, et là je parle du désamour des Français en France.
Le premier choc remonte à l’attentat de la rue des Rosiers, où des individus s’en prenaient à une communauté faisant partie intégrante de notre histoire, de notre civilisation, de notre relationnel quotidien voir de nos amours, nous laissant dans l’incompréhension totale. Depuis, c’est de l’acharnement à l’égard de la judéité, et il faut vraiment habiter l’îlot quasi surréaliste de l’Élysée pour ne pas en avoir pris la mesure à temps, et donc ne pas avoir agi, ni neutralisé et encore moins envisagé l’avenir, devenu notre présent.
Chacun s’y met à vouloir se détacher d’un ensemble et d’une unité au nom de sa différence. Jusqu’au restau viet de la Grande Motte qui refuse de servir du vin de Bordeaux pourtant inscrit à sa carte sous prétexte que la clientèle désirant dîner à la mode française est priée d’aller dans les restaus traditionnels situés en face!
Alors, quelle est donc l’origine de ces désamours multiples, est-on en droit de se demander… Même si il faut y lire une tendance du moment, il n’en demeure pas moins sur le fond une interrogation sur laquelle il n’est que temps de se pencher.
Et si la réponse tenait en partie dans notre "droit du sol" donné par volonté d’intégration. Alors qu’apparemment il vaudrait mieux que cela soit par désir, par implication, bref par choix. Le choix offrant l’avantage d’être aussi une liberté à une époque où justement on parait en manquer au point de nous empêcher de "déjeuner en paix"...