Selon l’Assemblée arménienne d'Amérique (AAA), les participants de la discussion ont traité également de la question du génocide arménien et du processus de rapprochement arméno-turc.
En soulignant que la Turquie devait compter avec son passé et reconnaître le génocide arménien, Brad Sherman, le président de la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, a déclaré :
"Il est important que la Turquie reconnaisse le génocide commis contre le peuple arménien pendant la période de l'Empire ottoman durant la Première Guerre mondiale. Je suis sûr que, se rendant compte de leur passé, les Turcs comprendront qu’ils ont délivré leurs enfants d’un lourd fardeau moral".
Le Congressman Jim Costa a souligné l'existence de l'énorme quantité de preuves concernant le génocide arménien. Ian Lesser, l’expert du Fond allemand "Marshall", a déclaré que le processus de rapprochement arméno-turc est important et ne doit pas être lié aux autres problèmes, comme, par exemple, le problème du Karabakh.
La question chypriote, des minorités nationales de Turquie et de la liberté d'expression, ainsi que, dans le cadre de la politique étrangère, des relations de la Turquie avec l'Iran, Israël et la Palestine ont été au sein de la discussion entre les Congressmen américains et les participants.
La Voix de l’Amérique (Voice of America) station de radio en Turquie annonce : "Les congressmen ont critiqué et considéré comme préoccupante la politique de la Turquie envers l'Iran et le Moyen-Orient. Nous considérons comme inquiétants le changement de la Turquie concernant son orientation politique envers l’Iran, Israël et la Palestine, et ses conséquences".
Un représentant du département d'Etat a déclaré que la Turquie avait encore des problèmes avec les États-Unis au sujet du partenariat stratégique. "Moi aussi j'ai des préoccupations à ce sujet", a ajouté Howard Berman. Puis en se référant aux relations du mouvement palestinien Hamas et d'Ankara, a déclaré : les autorités turques devraient respecter la "liste des organisations terroristes internationales" dressée par les Etats-Unis. Il a fait appel à Ankara afin d'entreprendre des mesures nécessaires pour le problème chypriote et le respect de la liberté d'expression.
Les autorités turques ont été sévèrement critiquées par Ileana Ross Lehtinen, républicaine. Elle les a qualifié de "Parti islamique".
En soulignant que la Turquie devait compter avec son passé et reconnaître le génocide arménien, Brad Sherman, le président de la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, a déclaré :
"Il est important que la Turquie reconnaisse le génocide commis contre le peuple arménien pendant la période de l'Empire ottoman durant la Première Guerre mondiale. Je suis sûr que, se rendant compte de leur passé, les Turcs comprendront qu’ils ont délivré leurs enfants d’un lourd fardeau moral".
Le Congressman Jim Costa a souligné l'existence de l'énorme quantité de preuves concernant le génocide arménien. Ian Lesser, l’expert du Fond allemand "Marshall", a déclaré que le processus de rapprochement arméno-turc est important et ne doit pas être lié aux autres problèmes, comme, par exemple, le problème du Karabakh.
La question chypriote, des minorités nationales de Turquie et de la liberté d'expression, ainsi que, dans le cadre de la politique étrangère, des relations de la Turquie avec l'Iran, Israël et la Palestine ont été au sein de la discussion entre les Congressmen américains et les participants.
La Voix de l’Amérique (Voice of America) station de radio en Turquie annonce : "Les congressmen ont critiqué et considéré comme préoccupante la politique de la Turquie envers l'Iran et le Moyen-Orient. Nous considérons comme inquiétants le changement de la Turquie concernant son orientation politique envers l’Iran, Israël et la Palestine, et ses conséquences".
Un représentant du département d'Etat a déclaré que la Turquie avait encore des problèmes avec les États-Unis au sujet du partenariat stratégique. "Moi aussi j'ai des préoccupations à ce sujet", a ajouté Howard Berman. Puis en se référant aux relations du mouvement palestinien Hamas et d'Ankara, a déclaré : les autorités turques devraient respecter la "liste des organisations terroristes internationales" dressée par les Etats-Unis. Il a fait appel à Ankara afin d'entreprendre des mesures nécessaires pour le problème chypriote et le respect de la liberté d'expression.
Les autorités turques ont été sévèrement critiquées par Ileana Ross Lehtinen, républicaine. Elle les a qualifié de "Parti islamique".