Monaco international
Conférence des Nations Unies et changements climatiques
José Badia, conseiller de Gouvernement pour les Relations extérieures et la coopération participait à la 20e Conférence des Parties à la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques qui s'est tenue à Lima du 1er au 12 décembre. Il était accompagné d'une délégation composée d’Élisabeth Lanteri-Minet, directeur des Affaires Internationales, et Chloé Petruccelli, secrétaire des Relations extérieures, Christophe Prat, directeur de l'Environnement, Patrick Rolland, chef de division et Jean-Baptiste Blanchy, chef de section à la Direction de l'Environnement. Cette conférence avait pour objectif de débattre des bases juridiques d’un accord international engageant l'ensemble des pays dans des réductions d'émission de leurs gaz à effet de serre. Ceci pour tenter de maintenir la hausse des températures à 2°. Elle était fondamentale pour la préparation de la conférence de Paris Climat 2015 qui devra marquer une étape décisive dans la négociation du futur accord international sur le climat pour l'après 2020. Lors de son intervention, José Badia a plaidé en faveur d'un outil juridiquement contraignant, définissant des mécanismes de sanctions en cas de non-respect des obligations par les Parties. Il a insisté également sur le fait que, même si le principe de responsabilité historique des pays industrialisés ne peut être ignoré, il est fondamental que les pays émergents prennent position et que des engagements volontaires soient définis afin d'encourager les pays en développement à participer aux efforts internationaux. En effet, Monaco défend l’idée selon laquelle les engagements de réduction des émissions par les États pourraient être revus à la hausse au fil des années, en fonction de l’évolution de leur niveau de développement économique et social. Par ailleurs, dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique extérieure, Monaco entend soutenir les pays les moins avancés et les plus démunis face aux changements climatiques.
José Badia, conseiller de Gouvernement pour les Relations extérieures et la coopération participait à la 20e Conférence des Parties à la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques qui s'est tenue à Lima du 1er au 12 décembre. Il était accompagné d'une délégation composée d’Élisabeth Lanteri-Minet, directeur des Affaires Internationales, et Chloé Petruccelli, secrétaire des Relations extérieures, Christophe Prat, directeur de l'Environnement, Patrick Rolland, chef de division et Jean-Baptiste Blanchy, chef de section à la Direction de l'Environnement. Cette conférence avait pour objectif de débattre des bases juridiques d’un accord international engageant l'ensemble des pays dans des réductions d'émission de leurs gaz à effet de serre. Ceci pour tenter de maintenir la hausse des températures à 2°. Elle était fondamentale pour la préparation de la conférence de Paris Climat 2015 qui devra marquer une étape décisive dans la négociation du futur accord international sur le climat pour l'après 2020. Lors de son intervention, José Badia a plaidé en faveur d'un outil juridiquement contraignant, définissant des mécanismes de sanctions en cas de non-respect des obligations par les Parties. Il a insisté également sur le fait que, même si le principe de responsabilité historique des pays industrialisés ne peut être ignoré, il est fondamental que les pays émergents prennent position et que des engagements volontaires soient définis afin d'encourager les pays en développement à participer aux efforts internationaux. En effet, Monaco défend l’idée selon laquelle les engagements de réduction des émissions par les États pourraient être revus à la hausse au fil des années, en fonction de l’évolution de leur niveau de développement économique et social. Par ailleurs, dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique extérieure, Monaco entend soutenir les pays les moins avancés et les plus démunis face aux changements climatiques.