On a epuise reserves planete (165.31 Ko)
Ce jour représente la date à laquelle notre consommation de ressources naturelles dépasse la capacité annuelle de la planète à les renouveler.
Global Footprint Network fournit un bilan comptable de la demande de l’humanité en ressources et services naturels comparée à la capacité de la planète à les fournir.
Le jour du dépassement marque chaque année le moment auquel nous commençons à vivre au-dessus de nos moyens écologiques. Même si le jour du dépassement ne représente qu’une estimation des tendances de consommation des ressources, il constitue la meilleure approximation scientifique de l’écart entre notre demande en ressources et services écologiques et la capacité de notre planète à les fournir. A partir du 13 août, il faudrait 1,6 planètes pour subvenir à notre consommation actuelle. Pour ses calculs l’ONG prend en compte de nombreux facteurs, comme la pêche, l’agriculture, la construction ou l’eau.
En déplaçant l’analyse au niveau des pays, le Japon avec un coefficient de 5,5 est le plus mauvais élève de la planète. Pour répondre aux besoins annuels de sa population, l’archipel nippon devrait disposer d’un territoire cinq fois plus grand. L’Italie (3,8), et la Suisse (3,5) complètent le podium, en devançant des pays considérés comme les plus gros pollueurs de notre planète, à savoir la Chine (2,7) et les États-Unis (1,9). Ce constat est dû à la grande biocapacité de ces deux pays, leur superficie étant ici un avantage. Pour réduire ce déficit écologique, une seule solution: économiser les ressources naturelles.
Global Footprint Network fournit un bilan comptable de la demande de l’humanité en ressources et services naturels comparée à la capacité de la planète à les fournir.
Le jour du dépassement marque chaque année le moment auquel nous commençons à vivre au-dessus de nos moyens écologiques. Même si le jour du dépassement ne représente qu’une estimation des tendances de consommation des ressources, il constitue la meilleure approximation scientifique de l’écart entre notre demande en ressources et services écologiques et la capacité de notre planète à les fournir. A partir du 13 août, il faudrait 1,6 planètes pour subvenir à notre consommation actuelle. Pour ses calculs l’ONG prend en compte de nombreux facteurs, comme la pêche, l’agriculture, la construction ou l’eau.
En déplaçant l’analyse au niveau des pays, le Japon avec un coefficient de 5,5 est le plus mauvais élève de la planète. Pour répondre aux besoins annuels de sa population, l’archipel nippon devrait disposer d’un territoire cinq fois plus grand. L’Italie (3,8), et la Suisse (3,5) complètent le podium, en devançant des pays considérés comme les plus gros pollueurs de notre planète, à savoir la Chine (2,7) et les États-Unis (1,9). Ce constat est dû à la grande biocapacité de ces deux pays, leur superficie étant ici un avantage. Pour réduire ce déficit écologique, une seule solution: économiser les ressources naturelles.