Pour surveiller le commerce mondial de la faune et de la flore sauvage, le Programme des Nations Unies sur l'Environnement (PNUE) gère les tableaux des données commerciales de CITES. C'est à l'occasion de son 35e anniversaire que CITES a lancé un outil pour garantir que le commerce international des espèces de faune et flore sauvage ne menace pas leur survie.
Ces tableaux ont l'avantage de faire connaitre les espèces faisant l'objet de transaction, dans quels volumes, aussi bien au niveau mondial qu'à celui des pays. Avec cet outil, il est aisé de savoir que les peaux des reptiles, particulièrement celles des crocodiles, font l'objet de commerces légaux sur de gros volumes et d'apprendre également que la Colombie est l'un des principaux exportateurs de caïmans à lunettes.
Au secrétariat de la Convention sur le Commerce International et depuis que la CITES a été établie, c'est plus de 10 millions de transactions commerciales d'espèces animales et végétales qui ont été signalées.
Ces tableaux ont l'avantage de faire connaitre les espèces faisant l'objet de transaction, dans quels volumes, aussi bien au niveau mondial qu'à celui des pays. Avec cet outil, il est aisé de savoir que les peaux des reptiles, particulièrement celles des crocodiles, font l'objet de commerces légaux sur de gros volumes et d'apprendre également que la Colombie est l'un des principaux exportateurs de caïmans à lunettes.
Au secrétariat de la Convention sur le Commerce International et depuis que la CITES a été établie, c'est plus de 10 millions de transactions commerciales d'espèces animales et végétales qui ont été signalées.
Le site web du PNUE pour intégrer la protection de l'environnement dans l'humanitaire
Il est important de dire que l'action humanitaire ainsi que les secours sauvent des vies et apportent des aides essentielles en cas de catastrophes naturelles et des conflits ou crise, mais peuvent également endommager l'environnement qui n'est malheureusement pas une priorité lorsqu'il s'agit de sauver des vies humaines.
Afin de stimuler les efforts visant à réduire l'impact environnemental des opérations humanitaires ou de reconstruction dans le monde entier, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), a mis en ligne un centre de ressources.
Le "Centre de ressources pour l'intégration de l'environnement aux opérations humanitaires" est la première base de données sur internet qui répertorie les informations pratiques afin d'expliquer la façon d'intégrer la protection de l'environnement dans les actions humanitaires menées et c'est à l'occasion de la Journée Mondiale de l'Aide Humanitaire qui s'est déroulée le jeudi 19 août qu'à eu lieu son lancement.
Les travailleurs humanitaires trouveront les outils présentés comme un carnet de voyage sur le site internet qui leur propose aussi de nouvelles directives, du matériel de formation et des cas pratiques.
Des actions menée, comme l'abattage d'arbres pour fournir un abri et du bois de chauffage à des personnes dans le besoin ou bien la mauvaise gestion des déchets médicaux produits par une opération d'urgence, peuvent être déterminantes dans l'évaluation du succès ou de l'échec des opérations humanitaires ou de secours.
Pour donner un exemple, la création de camps ou de structures d'accueil pour les déplacés internes dans l'est de la République Démocratique du Congo (RDC), s'est traduite par une pression accrue sur les ressources avoisinantes ainsi qu'une dégradation assez sévère de la faune sauvage, de la végétations et des autres ressources naturelles disponibles.
En raison des emballages pendant la distribution d'aide alimentaire d'urgence en Haïti après le séisme du mois de janvier, il s'en est suivi une forte augmentation de déchets solides et liquides à traiter, mais également une forte augmentation de besoin de charbon de bois, d'où l'abattage encore plus important alors que l'on sait que la forêt couvre que 2 à 4 % de la superficie du pays.
Il a été pratiqué différentes études qui ont démontré que la mise en place de "bonnes pratiques" incluant les considérations environnementales dans les opérations humanitaires, était meilleure pour l'environnement mais plus rentable économiquement, à l'instar de l'envoi de matériels ou de vivres par bateau plutôt que par avion.
D'après le Programme des Nations Unies sur l'Environnement, la mise en place du site internet répond aux besoins que recherchent les organisations humanitaires afin de disposer d'informations fiables ainsi que d'outils pour prendre en compte l'environnement dans leurs actions.
Nous pouvons déjà trouver les données de plus de 20 organisations humanitaires qui ont déjà été mises en ligne sur le site du "Centre de ressources pour l'intégration de l'environnement aux opérations humanitaires". Elles sont classées par domaine d'actions (santé, assainissement, alimentation, construction de camp, logistique, nutrition).
Le Programme des Nations Unies sur l'Environnement (PNUE) demande la contributions dans toutes les langues des ONG, agences gouvernementales, agences de l'ONU, sociétés du secteur privé et institution académiques qui sont impliquées dans des opérations humanitaires ou de secours et ce, afin de renforcer le site internet
Cliquez ici pour voir le fabuleux film "Home" de Yann Arthus Bertrand, en intégralité
Afin de stimuler les efforts visant à réduire l'impact environnemental des opérations humanitaires ou de reconstruction dans le monde entier, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), a mis en ligne un centre de ressources.
Le "Centre de ressources pour l'intégration de l'environnement aux opérations humanitaires" est la première base de données sur internet qui répertorie les informations pratiques afin d'expliquer la façon d'intégrer la protection de l'environnement dans les actions humanitaires menées et c'est à l'occasion de la Journée Mondiale de l'Aide Humanitaire qui s'est déroulée le jeudi 19 août qu'à eu lieu son lancement.
Les travailleurs humanitaires trouveront les outils présentés comme un carnet de voyage sur le site internet qui leur propose aussi de nouvelles directives, du matériel de formation et des cas pratiques.
Des actions menée, comme l'abattage d'arbres pour fournir un abri et du bois de chauffage à des personnes dans le besoin ou bien la mauvaise gestion des déchets médicaux produits par une opération d'urgence, peuvent être déterminantes dans l'évaluation du succès ou de l'échec des opérations humanitaires ou de secours.
Pour donner un exemple, la création de camps ou de structures d'accueil pour les déplacés internes dans l'est de la République Démocratique du Congo (RDC), s'est traduite par une pression accrue sur les ressources avoisinantes ainsi qu'une dégradation assez sévère de la faune sauvage, de la végétations et des autres ressources naturelles disponibles.
En raison des emballages pendant la distribution d'aide alimentaire d'urgence en Haïti après le séisme du mois de janvier, il s'en est suivi une forte augmentation de déchets solides et liquides à traiter, mais également une forte augmentation de besoin de charbon de bois, d'où l'abattage encore plus important alors que l'on sait que la forêt couvre que 2 à 4 % de la superficie du pays.
Il a été pratiqué différentes études qui ont démontré que la mise en place de "bonnes pratiques" incluant les considérations environnementales dans les opérations humanitaires, était meilleure pour l'environnement mais plus rentable économiquement, à l'instar de l'envoi de matériels ou de vivres par bateau plutôt que par avion.
D'après le Programme des Nations Unies sur l'Environnement, la mise en place du site internet répond aux besoins que recherchent les organisations humanitaires afin de disposer d'informations fiables ainsi que d'outils pour prendre en compte l'environnement dans leurs actions.
Nous pouvons déjà trouver les données de plus de 20 organisations humanitaires qui ont déjà été mises en ligne sur le site du "Centre de ressources pour l'intégration de l'environnement aux opérations humanitaires". Elles sont classées par domaine d'actions (santé, assainissement, alimentation, construction de camp, logistique, nutrition).
Le Programme des Nations Unies sur l'Environnement (PNUE) demande la contributions dans toutes les langues des ONG, agences gouvernementales, agences de l'ONU, sociétés du secteur privé et institution académiques qui sont impliquées dans des opérations humanitaires ou de secours et ce, afin de renforcer le site internet
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