Patrick Van Klaveren reçu en audience par le Président islandais Olafur Ragnar Grimsson. Photo (c) DR
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Ce Plan prévoit un important développement des infrastructures de transport et d'exploitations minières.
La diversité des intérêts des pays non arctiques présents, ainsi que la liberté d'expression dans cette enceinte informelle, ont fait toute la richesse des débats de cette Conférence soutenue, depuis sa première édition en 2013, par la Fondation Prince Albert II et qui avait, en toile de fond, les "opportunités" de développement créées par le réchauffement climatique. A cette occasion, Patrick Van Klaveren, qui représentait le Prince Albert II de Monaco, a été reçu par le président islandais, Olafur Ragnar Grimsson. Celui-ci lui a fait part de sa satisfaction de voir la Fondation participer à cette deuxième édition de l'Arctic Circle dont le Prince Albert II est membre du Comité d'honneur. Il a également chaleureusement remercié le Prince pour son appui continu. Le président a souligné que cette participation, à côté de celle de Singapour, créait un "groupe d'intérêts de petits États". Il a également expliqué que, profitant de l'intérêt de l'Inde et de la Chine pour les questions arctiques, il avait engagé, en collaboration avec Singapour, une relation avec l'Association des pays de l'Himalaya, pour relier les problématiques arctiques à celles du "3e pôle", l'Himalaya. Avant d'ajouter que les travaux menés à Monaco sur le thème de l'acidification des océans et de la biodiversité polaire présentaient un grand intérêt pour la région arctique et pourraient servir de base à une collaboration dans le cadre du Conseil Arctique.
Sont également intervenus Michel Rocard, le président finlandais, le Premier ministre de Singapour, de hauts fonctionnaires chargés des questions polaires des États-Unis, du Japon et de la Grande-Bretagne ainsi que des représentants des peuples autochtones arctiques.
La diversité des intérêts des pays non arctiques présents, ainsi que la liberté d'expression dans cette enceinte informelle, ont fait toute la richesse des débats de cette Conférence soutenue, depuis sa première édition en 2013, par la Fondation Prince Albert II et qui avait, en toile de fond, les "opportunités" de développement créées par le réchauffement climatique. A cette occasion, Patrick Van Klaveren, qui représentait le Prince Albert II de Monaco, a été reçu par le président islandais, Olafur Ragnar Grimsson. Celui-ci lui a fait part de sa satisfaction de voir la Fondation participer à cette deuxième édition de l'Arctic Circle dont le Prince Albert II est membre du Comité d'honneur. Il a également chaleureusement remercié le Prince pour son appui continu. Le président a souligné que cette participation, à côté de celle de Singapour, créait un "groupe d'intérêts de petits États". Il a également expliqué que, profitant de l'intérêt de l'Inde et de la Chine pour les questions arctiques, il avait engagé, en collaboration avec Singapour, une relation avec l'Association des pays de l'Himalaya, pour relier les problématiques arctiques à celles du "3e pôle", l'Himalaya. Avant d'ajouter que les travaux menés à Monaco sur le thème de l'acidification des océans et de la biodiversité polaire présentaient un grand intérêt pour la région arctique et pourraient servir de base à une collaboration dans le cadre du Conseil Arctique.
Sont également intervenus Michel Rocard, le président finlandais, le Premier ministre de Singapour, de hauts fonctionnaires chargés des questions polaires des États-Unis, du Japon et de la Grande-Bretagne ainsi que des représentants des peuples autochtones arctiques.