Photo (c) CAP3D
Parmi les sujets brûlants de notre époque, l’acidification - consécutive à l’absorption par l’océan de quantités croissantes de dioxyde de carbone (CO2) produit par l’activité humaine - est une réalité. Mais ses effets sur les écosystèmes marins restent mal connus. La modification chimique entraînera certainement des modifications biologiques aussi: il est à prévoir que des espèces "envahissants" vont proliférer dans les eaux, même si la baignade ne comporte aucun risque... pour l'instant!
Le symposium a fait le point sur ce que l’on sait du phénomène et a défini des priorités pour les recherches à venir. Une première conférence a été organisée par la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’UNESCO et le Comité scientifique pour les recherches océaniques (SCOR) en mai 2004, qui est considérée comme un tournant dans la prise en compte de ce phénomène et qui a été le point de départ de nouvelles grandes recherches en Europe et aux États-Unis. C’est au cours de cette conférence que les chercheurs ont décidé d’utiliser l’expression acidification des océans.
Le symposium a réuni des intervenants venus d’Allemagne, d’Australie, des Bermudes, du Canada, d’Espagne, des États-Unis, de France, d’Islande, d’Israël, du Japon, de Monaco, des Pays-Bas, de Norvège, du Royaume-Uni, de Suède et de Suisse, afin de faire le point sur notamment les futurs scénarios de l’acidification des océans, l’acidification des océans lors des époques géologiques antérieures, les mécanismes de calcification, les impacts de l’acidification sur les organismes à squelette calcaire, les impacts concernant le cycle alimentaire, les effets physiologiques, les processus d’adaptation et de micro évolution, etc.
Placé sous le patronage du Prince Albert II de Monaco, le symposium est organisé par la COI, le SCOR, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et le Programme international géosphère-biosphère (PIGB). Extraits audio ci-dessous
Le symposium a fait le point sur ce que l’on sait du phénomène et a défini des priorités pour les recherches à venir. Une première conférence a été organisée par la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’UNESCO et le Comité scientifique pour les recherches océaniques (SCOR) en mai 2004, qui est considérée comme un tournant dans la prise en compte de ce phénomène et qui a été le point de départ de nouvelles grandes recherches en Europe et aux États-Unis. C’est au cours de cette conférence que les chercheurs ont décidé d’utiliser l’expression acidification des océans.
Le symposium a réuni des intervenants venus d’Allemagne, d’Australie, des Bermudes, du Canada, d’Espagne, des États-Unis, de France, d’Islande, d’Israël, du Japon, de Monaco, des Pays-Bas, de Norvège, du Royaume-Uni, de Suède et de Suisse, afin de faire le point sur notamment les futurs scénarios de l’acidification des océans, l’acidification des océans lors des époques géologiques antérieures, les mécanismes de calcification, les impacts de l’acidification sur les organismes à squelette calcaire, les impacts concernant le cycle alimentaire, les effets physiologiques, les processus d’adaptation et de micro évolution, etc.
Placé sous le patronage du Prince Albert II de Monaco, le symposium est organisé par la COI, le SCOR, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et le Programme international géosphère-biosphère (PIGB). Extraits audio ci-dessous