RESUME DES CONCLUSIONS DU SOMMET DE COPENHAGUE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
Ainsi, Robert Orr, Sous-Secrétaire général à la coordination des politiques et à la planification stratégique a indiqué à la presse qu'il faut "se pencher sur les conséquences opérationnelles immédiates" de l’accord qui bénéficierait d’un appui politique très large pour commencer au plus vite la négociation d’un traité.
Environ 140 pays, les groupes des pays les moins avancés (PMA), de l’Alliance des petits États insulaires, de l’Union africaine et de l’Union européenne avaient appuyé ce texte lors de la session finale de la Conférence. Il a ajouté "si ce document obtenait l’appui annoncé lors de la session plénière finale de la Conférence de Copenhague, nous disposerions d’un réel centre de gravité pour la négociation d’un traité en 2010."
Les négociations se sont déroulées entre les représentants de 29 gouvernements ainsi qu’un représentant de la Commission européenne.
"Les déclarations de clôture de la Conférence nous donnent une bonne idée de l’équilibre des oppositions. ...
La Conférence était parvenue à un consensus après l’intervention du Secrétaire général, en fin des travaux, celui-ci ayant mis en exergue les inquiétudes des États qui se sont sentis exclus du processus ...
Tout le monde a le droit d’être impliqué dans la discussion: cela doit être clarifié et le processus amélioré alors que nous entrons dans la phase de négociation d’un traité", a déclaré Robert Orr, en insistant sur la nécessité que les 194 États parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques y participent.
Il s’est félicité d’un document final - qu'il a qualifié de "résultat phénoménal, bien que là des divergences de vues exprimées dans les médias ne semblent pas donner une telle impression" - qui comprenne des dispositions sur le financement et qui aborde la question d’un accord pour l’évaluation et la vérification des politiques nationales.
Janos Pasztor, Directeur de l’Équipe de soutien sur les changements climatiques, intervenant aux côtés de Robert Orr, a souligné avec lui qu’il était très important d’avoir pu obtenir un avis politique sur la question climatique des plus hauts niveaux gouvernementaux: 120 chefs d’État et de gouvernement ont débattu lors du Sommet, ce qui n’aurait pas été possible il y a un an...
Environ 140 pays, les groupes des pays les moins avancés (PMA), de l’Alliance des petits États insulaires, de l’Union africaine et de l’Union européenne avaient appuyé ce texte lors de la session finale de la Conférence. Il a ajouté "si ce document obtenait l’appui annoncé lors de la session plénière finale de la Conférence de Copenhague, nous disposerions d’un réel centre de gravité pour la négociation d’un traité en 2010."
Les négociations se sont déroulées entre les représentants de 29 gouvernements ainsi qu’un représentant de la Commission européenne.
"Les déclarations de clôture de la Conférence nous donnent une bonne idée de l’équilibre des oppositions. ...
La Conférence était parvenue à un consensus après l’intervention du Secrétaire général, en fin des travaux, celui-ci ayant mis en exergue les inquiétudes des États qui se sont sentis exclus du processus ...
Tout le monde a le droit d’être impliqué dans la discussion: cela doit être clarifié et le processus amélioré alors que nous entrons dans la phase de négociation d’un traité", a déclaré Robert Orr, en insistant sur la nécessité que les 194 États parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques y participent.
Il s’est félicité d’un document final - qu'il a qualifié de "résultat phénoménal, bien que là des divergences de vues exprimées dans les médias ne semblent pas donner une telle impression" - qui comprenne des dispositions sur le financement et qui aborde la question d’un accord pour l’évaluation et la vérification des politiques nationales.
Janos Pasztor, Directeur de l’Équipe de soutien sur les changements climatiques, intervenant aux côtés de Robert Orr, a souligné avec lui qu’il était très important d’avoir pu obtenir un avis politique sur la question climatique des plus hauts niveaux gouvernementaux: 120 chefs d’État et de gouvernement ont débattu lors du Sommet, ce qui n’aurait pas été possible il y a un an...