Monika Bacardi à l'honneur en Autriche

Facundo Bacardi Massó, l'arrière-grand-père avait en effet quitté son Espagne natale pour s'en aller à Cuba au milieu du XIXe siècle afin d'y poursuivre l'activité familiale de la distillerie. Avec le succès que l'on sait puisque maintenant c'est un vaste empire qui a son siège aux Bermudes. Le journaliste de Krone comme on appelle couramment la publication, nous emmène d'abord dans la somptueuse villa monégasque de Monika où elle passe une bonne partie de son temps. Un havre d'élégance et de raffinement où entre œuvres d'art contemporaines et meubles anciens, elle coule des jours heureux dans un paysage de rêve qu'elle ne cesse de célébrer. Elle qui vit en Principauté de Monaco depuis une vingtaine d'années, ne tarit pas d'éloges sur ses avantages inégalés, et elle insiste beaucoup sur quelques attraits de cet endroit privilégié, la sécurité, le climat et une qualité de vie que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Sans oublier la richesse de la vie culturelle et sportive. Le journaliste autrichien profite aussi de l'occasion pour promener ses lecteurs dans les lieux prestigieux de la Principauté et les faire rêver un moment.

Ce que Monika Bacardi ne dit pas dans cette entrevue, mais que tout le monde sait à Monaco, c'est qu'elle est toujours disponible lorsqu'il s'agit de s'impliquer dans une cause caritative, quelle qu'elle soit, même si elle s'intéresse particulièrement au sir des enfants défavorisés et à la recherche contre le cancer. On ne fait jamais appel à elle en vain et on peut la voir dans les soirées à but humanitaire.
Pour son interlocuteur, elle évoque Vienne qu'elle apprécie beaucoup, les musées, les galeries et naturellement l'Opéra sont ses lieux de visite de prédilection. En bonne mère, elle rêve du jour où sa fille, âgée actuellement de douze ans, participera au célèbre Bal de l'Opéra qui se déroule chaque hiver au mois de février.

Monika Bacardi est de nationalité italienne et outre sa langue maternelle, s'exprime couramment en anglais, français et espagnol. En allemand aussi évidemment car elle est native de ce que les Autrichiens appellent encore et le journaliste de Krone n'y échappe pas, le sud-Tyrol. Lors du démembrement de l'empire austro-hongrois après la Première Guerre mondiale et du traité de de Saint-Germain-en-Laye signé le 10 septembre 1919, le sud du Tyrol autrichien a été rattaché à l'Italie sous le nom de Trentin-Haut-Adige. Actuellement, la région se compose de deux provinces autonomes, Trente et Bolzano.