Mme Migiro a rappelé que le monde subissait des changements importants, avec une croissance considérable au cours des deux dernières décennies, en particulier dans les économies émergentes.
Des centaines de millions de personnes, en Asie, en Amérique latine et, de plus en plus, en Afrique, sont sorties de la pauvreté, a-t-elle noté. "Nous devons en faire profiter des centaines de millions d';autres grâce à des emplois décents, une énergie propre et abordable, et à tous les avantages sociaux et économiques que ces avancées peuvent apporter (...) Mais nous n'atteindrons cet objectif que si nous respectons le capital humain et naturel qui est le fondement de notre prospérité et de notre bien-être", a-t-elle averti.
C'est l'Assemblée générale de 2009 qui a proclamé le 22 avril "Journée internationale de la Terre nourricière", La Vice-Secrétaire générale de l'ONU rappelle à cet effet "Nous n'intégrons pas les avantages des écosystèmes, ni le coût de leur destruction (...) Un pays peut détruire ses forêts et épuiser ses ressources de poissons, et pourtant cela n'apparaît que comme un gain positif dans le PIB (produit intérieur brut), en ignorant la baisse correspondante des ressources".
Elle poursuit "la Conférence des Nations Unies sur le développement durable l'an prochain, aussi appelée Rio 2012, sera une occasion d'évaluer la relation du monde avec la nature au cours des 20 dernières années, de réaffirmer les engagements pris lors des précédents sommets sur le développement durable à Rio et à Johannesburg, et de donner un nouvel élan".
Des centaines de millions de personnes, en Asie, en Amérique latine et, de plus en plus, en Afrique, sont sorties de la pauvreté, a-t-elle noté. "Nous devons en faire profiter des centaines de millions d';autres grâce à des emplois décents, une énergie propre et abordable, et à tous les avantages sociaux et économiques que ces avancées peuvent apporter (...) Mais nous n'atteindrons cet objectif que si nous respectons le capital humain et naturel qui est le fondement de notre prospérité et de notre bien-être", a-t-elle averti.
C'est l'Assemblée générale de 2009 qui a proclamé le 22 avril "Journée internationale de la Terre nourricière", La Vice-Secrétaire générale de l'ONU rappelle à cet effet "Nous n'intégrons pas les avantages des écosystèmes, ni le coût de leur destruction (...) Un pays peut détruire ses forêts et épuiser ses ressources de poissons, et pourtant cela n'apparaît que comme un gain positif dans le PIB (produit intérieur brut), en ignorant la baisse correspondante des ressources".
Elle poursuit "la Conférence des Nations Unies sur le développement durable l'an prochain, aussi appelée Rio 2012, sera une occasion d'évaluer la relation du monde avec la nature au cours des 20 dernières années, de réaffirmer les engagements pris lors des précédents sommets sur le développement durable à Rio et à Johannesburg, et de donner un nouvel élan".