Photo (c) Dirk van der Made
L'Organisation des Nations-Unies (ONU) a déclaré 2010 "Année internationale de la biodiversité", afin de mobiliser l’ensemble de la communauté internationale sur la richesse et la fragilité de toute forme de vie.
A l'occasion de la Journée internationale de la diversité biologique célébrée ce 22 mai, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a appelé la communauté internationale à enrayer le déclin de cette diversité: "Les espèces et les habitats de la planète, ainsi que les biens et les services qui en proviennent, sont l'assise même de notre patrimoine, de notre santé et de notre bien-être. Pourtant, malgré les engagements mondiaux répétés en faveur de la protection de cet héritage, la diversité de la vie sur Terre continue de s'appauvrir à un rythme sans précédent, et, sous le coup du recul de la biodiversité, les écosystèmes se rapprochent de plus en plus du point de non-retour, à partir duquel ils ne seront plus en mesure de remplir leurs fonctions, dont dépend pourtant la vie."
A travers le monde, ce sont les plus démunis et les pays les plus vulnérables qui paieront le plus lourd tribut de ce déclin. 70% des pauvres de la planète vivent en effet en zone rurale, et leur subsistance et leurs revenus dépendent directement de la diversité biologique.
"Ajustons nos politiques et nos mentalités pour qu'elles tiennent compte de la véritable valeur des espèces et des habitats. Reconnaissons que la diversité biologique est synonyme de vie - notre vie -, et employons-nous dès aujourd'hui à la protéger, avant qu'il ne soit trop tard", a conclu le Secrétaire général de l'ONU.
A l'occasion de la Journée internationale de la diversité biologique célébrée ce 22 mai, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a appelé la communauté internationale à enrayer le déclin de cette diversité: "Les espèces et les habitats de la planète, ainsi que les biens et les services qui en proviennent, sont l'assise même de notre patrimoine, de notre santé et de notre bien-être. Pourtant, malgré les engagements mondiaux répétés en faveur de la protection de cet héritage, la diversité de la vie sur Terre continue de s'appauvrir à un rythme sans précédent, et, sous le coup du recul de la biodiversité, les écosystèmes se rapprochent de plus en plus du point de non-retour, à partir duquel ils ne seront plus en mesure de remplir leurs fonctions, dont dépend pourtant la vie."
A travers le monde, ce sont les plus démunis et les pays les plus vulnérables qui paieront le plus lourd tribut de ce déclin. 70% des pauvres de la planète vivent en effet en zone rurale, et leur subsistance et leurs revenus dépendent directement de la diversité biologique.
"Ajustons nos politiques et nos mentalités pour qu'elles tiennent compte de la véritable valeur des espèces et des habitats. Reconnaissons que la diversité biologique est synonyme de vie - notre vie -, et employons-nous dès aujourd'hui à la protéger, avant qu'il ne soit trop tard", a conclu le Secrétaire général de l'ONU.