L’accident est inévitable : vous restez alors immobile pour un bon bout de temps. Si votre rétroviseur serait aussi grand que le pare-brise, il obstruerait complètement la vision en avant : vous ne regardez qu’en arrière, vous êtes paralysé dans tous vos efforts de vouloir avancer. La volonté y est, mais vous ne le pouvez pas : vous ne voyez plus devant… Cela vous semble impossible, et vous avez raison. Votre regard ne va pas dans le bon sens.
Le regard en arrière doit se limiter aux informations strictement nécessaires à votre progression et votre protection. De temps à autre, jeter un œil en arrière vous aide à vous sentir en sécurité, à vous rappeler des leçons apprises du passé, à vous positionner par rapport au point où vous étiez il y a « quelques minutes » (comprenons : semaines, mois, années)
Il n’y a pas de meilleur sentiment pour un conducteur de voiture de sport arrêté à un feu rouge, que d’accélérer dès que le feu passe au vert et, au bout de 100 mètres, jeter un bref regard en arrière pour voir au loin toutes les autres voitures encore immobiles. Quelle euphorie ! (Les lecteurs masculins seront plus sensibles pour cet exemple ;-)
Aussi, il est important de se fixer quelques objectifs « intermédiaires » qui vous aideront à atteindre l’objectif « principal ». Ainsi, échelon par échelon, vous pourrez constater une progression qui continuera à vous motiver.
Il y a quelques années de cela, j’avais organisé une « randonnée survie » pour adultes d’une entreprise dont le but était de stimuler l’unité de l’équipe et d’en comprendre son importance dans la réalisation des objectifs.
L’un des participants était vite dépassé par la rapidité du reste de l’équipe loin devant lui. Sa surcharge pondérale le paralysait considérablement. C’est du moins ce que nous croyions tous les deux. Il n’arrêtait pas de répéter « je n’y arriverais jamais » ou encore « c’est beaucoup trop loin, laissez-moi ici »,… C’est à ce moment que j’avais compris ce qui le limitait : sa vision et non pas son poids ! Il regardait constamment la crête de la haute colline : l’objectif à atteindre. Un recadrage était indispensable.
Je lui proposai alors de ne plus se concentrer sur l’objectif final, mais d’avancer d’arbre en arbre. Une fois chaque arbre atteint, il ne devait se concentrer que sur l’arbre suivant, à quelques mètres devant lui. Le courage remplaça le découragement et le parcours était devenu, comme par magie, bien plus simple !
La notion de récompense est vitale dans ce processus, c’est alors que je lui proposai de se retourner tous les dix à quinze arbres afin de constater sa progression. Il n’en revenait pas : il avait considérablement avancé ! Pourtant, la pente et la distance totale étaient les mêmes. La topographie des lieux n’avait pas changé. Sa vision, oui. Les traits déconfits de son visage avaient fait place à la joie et le sourire : il gagnait en auto confiance à chaque pas. De temps en temps nous jetions un regard bref vers l’objectif final, pour rester dans la bonne direction, pour aussitôt revenir aux « arbres ».
Une fois arrivé en haut, ses collègues, qui nous attendaient, l’ont chaudement applaudit : la récompense et reconnaissance ultime !
Un « grand » objectif doit être atteint en passant par plusieurs autres « petits » objectifs qui vont, bien entendu dans le même sens.
N’hésitez-pas à vous féliciter des efforts fournis : vous pouvez être fier de la distance que vous avez parcourue. Dans ce cas précis, regarder en arrière et constater le chemin parcouru est motivant et positif !
Parfois, nous restons immobiles ou bloqués parce que nous nous posons les mauvaises questions ou que nous n’avons pas les priorités à la bonne place. Une question judicieuse peut vous changer la vision de votre objectif.
Un coach peut vous aider dans ce processus, il est formé, il a les outils nécessaire. Si vous n’y arrivez pas, n’hésitez pas à faire appel à un coach !
Le regard en arrière doit se limiter aux informations strictement nécessaires à votre progression et votre protection. De temps à autre, jeter un œil en arrière vous aide à vous sentir en sécurité, à vous rappeler des leçons apprises du passé, à vous positionner par rapport au point où vous étiez il y a « quelques minutes » (comprenons : semaines, mois, années)
Il n’y a pas de meilleur sentiment pour un conducteur de voiture de sport arrêté à un feu rouge, que d’accélérer dès que le feu passe au vert et, au bout de 100 mètres, jeter un bref regard en arrière pour voir au loin toutes les autres voitures encore immobiles. Quelle euphorie ! (Les lecteurs masculins seront plus sensibles pour cet exemple ;-)
Aussi, il est important de se fixer quelques objectifs « intermédiaires » qui vous aideront à atteindre l’objectif « principal ». Ainsi, échelon par échelon, vous pourrez constater une progression qui continuera à vous motiver.
Il y a quelques années de cela, j’avais organisé une « randonnée survie » pour adultes d’une entreprise dont le but était de stimuler l’unité de l’équipe et d’en comprendre son importance dans la réalisation des objectifs.
L’un des participants était vite dépassé par la rapidité du reste de l’équipe loin devant lui. Sa surcharge pondérale le paralysait considérablement. C’est du moins ce que nous croyions tous les deux. Il n’arrêtait pas de répéter « je n’y arriverais jamais » ou encore « c’est beaucoup trop loin, laissez-moi ici »,… C’est à ce moment que j’avais compris ce qui le limitait : sa vision et non pas son poids ! Il regardait constamment la crête de la haute colline : l’objectif à atteindre. Un recadrage était indispensable.
Je lui proposai alors de ne plus se concentrer sur l’objectif final, mais d’avancer d’arbre en arbre. Une fois chaque arbre atteint, il ne devait se concentrer que sur l’arbre suivant, à quelques mètres devant lui. Le courage remplaça le découragement et le parcours était devenu, comme par magie, bien plus simple !
La notion de récompense est vitale dans ce processus, c’est alors que je lui proposai de se retourner tous les dix à quinze arbres afin de constater sa progression. Il n’en revenait pas : il avait considérablement avancé ! Pourtant, la pente et la distance totale étaient les mêmes. La topographie des lieux n’avait pas changé. Sa vision, oui. Les traits déconfits de son visage avaient fait place à la joie et le sourire : il gagnait en auto confiance à chaque pas. De temps en temps nous jetions un regard bref vers l’objectif final, pour rester dans la bonne direction, pour aussitôt revenir aux « arbres ».
Une fois arrivé en haut, ses collègues, qui nous attendaient, l’ont chaudement applaudit : la récompense et reconnaissance ultime !
Un « grand » objectif doit être atteint en passant par plusieurs autres « petits » objectifs qui vont, bien entendu dans le même sens.
N’hésitez-pas à vous féliciter des efforts fournis : vous pouvez être fier de la distance que vous avez parcourue. Dans ce cas précis, regarder en arrière et constater le chemin parcouru est motivant et positif !
Parfois, nous restons immobiles ou bloqués parce que nous nous posons les mauvaises questions ou que nous n’avons pas les priorités à la bonne place. Une question judicieuse peut vous changer la vision de votre objectif.
Un coach peut vous aider dans ce processus, il est formé, il a les outils nécessaire. Si vous n’y arrivez pas, n’hésitez pas à faire appel à un coach !