Monaco et le développement durable
Photo (c) Eva Esztergar
Inauguration d'un récif 3D
Lundi 19 octobre à 17h30, en avant-première mondiale était dévoilé dans les jardins de la Fondation Prince Albert II de Monaco un récif artificiel nouvelle génération. Pensé par les scientifiques spécialistes de la biodiversité méditerranéenne et conçu par des ingénieurs hollandais, il a été fabriqué en Italie par une des plus grandes imprimantes 3D européennes. Six récifs de ce type seront, d'ici l'été prochain, immergés dans la réserve du Larvotto pour enrichir sa biodiversité et faire du suivi scientifique de leur recolonisation une première mondiale. Une conférence de presse répondait à toutes les questions que pouvaient se poser les participants à propos de ce défi technologique et environnemental. Un cocktail avait suivi.
Mérous bruns et corbs sont recensés
La Direction de l’Environnement entreprend, le long du littoral monégasque, le 6e recensement des populations de ces deux espèces patrimoniales. Cette opération s’inscrit dans le cadre de ses programmes d’étude et de suivi des biocénoses marines, soit l'ensemble des espèces animales et végétales coexistant dans un espace marin donné, ainsi que leur organisation et leurs interactions. Cet inventaire fait appel à des protocoles utilisés depuis près de 30 ans par le GEM, Groupe d’étude du mérou, en particulier dans le Parc national de Port-Cros, certaines réserves naturelles corses et continentales, mais également hors réserve. Avec l’appui logistique de la Direction des Affaires maritimes, une douzaine de plongeurs et d’apnéistes scientifiques du GEM, associés aux plongeurs de la Direction de l’Environnement, quadrillent ainsi les fonds monégasques, jusqu’à 40m de profondeur, depuis le jeudi 15 octobre et ceci jusqu'au lundi 19 octobre 2015. Cette étude permet d’évaluer avec précision l’évolution des populations de ces deux espèces emblématiques des eaux monégasques. Lors du précédent recensement, d’octobre 2012, 78 mérous, de 20 à 95 cm de longueur, et 13 corbs, de 25 à 35 cm, avaient été recensés. Le mérou brun et le corb peuvent vivre plus d'une trentaine d’années. Particulièrement vulnérables, ils sont interdits à la pêche en Principauté, chasse sous-marine comprise, et sont également protégés en France.
Lundi 19 octobre à 17h30, en avant-première mondiale était dévoilé dans les jardins de la Fondation Prince Albert II de Monaco un récif artificiel nouvelle génération. Pensé par les scientifiques spécialistes de la biodiversité méditerranéenne et conçu par des ingénieurs hollandais, il a été fabriqué en Italie par une des plus grandes imprimantes 3D européennes. Six récifs de ce type seront, d'ici l'été prochain, immergés dans la réserve du Larvotto pour enrichir sa biodiversité et faire du suivi scientifique de leur recolonisation une première mondiale. Une conférence de presse répondait à toutes les questions que pouvaient se poser les participants à propos de ce défi technologique et environnemental. Un cocktail avait suivi.
Mérous bruns et corbs sont recensés
La Direction de l’Environnement entreprend, le long du littoral monégasque, le 6e recensement des populations de ces deux espèces patrimoniales. Cette opération s’inscrit dans le cadre de ses programmes d’étude et de suivi des biocénoses marines, soit l'ensemble des espèces animales et végétales coexistant dans un espace marin donné, ainsi que leur organisation et leurs interactions. Cet inventaire fait appel à des protocoles utilisés depuis près de 30 ans par le GEM, Groupe d’étude du mérou, en particulier dans le Parc national de Port-Cros, certaines réserves naturelles corses et continentales, mais également hors réserve. Avec l’appui logistique de la Direction des Affaires maritimes, une douzaine de plongeurs et d’apnéistes scientifiques du GEM, associés aux plongeurs de la Direction de l’Environnement, quadrillent ainsi les fonds monégasques, jusqu’à 40m de profondeur, depuis le jeudi 15 octobre et ceci jusqu'au lundi 19 octobre 2015. Cette étude permet d’évaluer avec précision l’évolution des populations de ces deux espèces emblématiques des eaux monégasques. Lors du précédent recensement, d’octobre 2012, 78 mérous, de 20 à 95 cm de longueur, et 13 corbs, de 25 à 35 cm, avaient été recensés. Le mérou brun et le corb peuvent vivre plus d'une trentaine d’années. Particulièrement vulnérables, ils sont interdits à la pêche en Principauté, chasse sous-marine comprise, et sont également protégés en France.
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