Monaco et son image
Photo (c) Palais Princier
Avec le Cirque Éloize
Son directeur artistique, Jeannot Painchaud a annoncé au Yacht Club de Monaco, la création d'un nouveau spectacle portant le nom de la Principauté. S.A.S. Albert II était présent à cette conférence de presse. Le spectacle, qui réunira sur scène 35 artistes, dont deux musiciens et une chanteuse, sera présenté en grande première au Zénith de Paris, une salle de 6.000 places, le 1er octobre prochain. Puis, ensuite, dans les autres théâtres Zénith de France, qui peuvent accueillir jusqu'à 12.000 spectateurs. Krista Monson assure la mise en scène, elle a travaillé pendant 10 ans pour le Cirque du Soleil, notamment à titre de directrice artistique du spectacle O, présenté à Las Vegas. Elle mettra également en scène le spectacle du Cirque qui ouvrira l'Exposition universelle de Milan le 6 mai prochain. Toute l'équipe de création de Monaco vient du Cirque du Soleil. Debra Brown, qui a participé à la création de nombreux spectacles du cirque, signera les chorégraphies; René Dupéré, célèbre pour sa pièce Allegria, composera la musique; Liz Vandal (Ovo) créera les costumes et Patricia Ruel (Kà) se chargera de la scénographie.
C'est le producteur monégasque Salim Zeghdar qui a eu l'idée de ce spectacle et il s'en explique "C'est sûr qu'on rend hommage à Monaco, à sa noblesse, à son côté chic et précieux; on ne va pas s'excuser de sa beauté. Cela dit, on n'a pas voulu faire un documentaire ou un catalogue de promotion". Pour célébrer la Principauté, Krista Monson aura à sa disposition une troupe de danseurs et d'artistes de cirque. Un magicien multi-instrumentiste fait aussi partie de la distribution; il sera le guide du personnage principal qui arrive à Monaco. Le spectacle sera monté à Montréal à partir du printemps prochain dans les locaux d'Éloize à la gare Dalhousie, nouvellement rénovée.
A la télévision
"Monaco, le rocher était presque parfait", c'est sous ce titre en forme de clin d’œil, que la chaîne France 3 diffusait hier soir à 20h45 un documentaire d'une heure et demie, dû au psychanalyste Gérard Miller. Pour son auteur "C’est l’histoire toute freudienne de l’une des plus anciennes dynasties régnantes du monde et de l’un des plus médiatisés contes de fées modernes". Et d'expliquer son projet "Ce qui m’a donné envie de faire ce film, c’est la fascination que Monaco suscite et tout particulièrement le côté "cannibale" de cette fascination". Il nous montre à l'aide d'images et documents d'archives, certains inédits, et grâce à l'intervention de bons connaisseurs du "Rocher", comment s'est créée la légende dans les années '50 quand le mariage princier des 18 et 19 avril 1956 a fait la notoriété de Monaco. Et tout le monde de se poser une question, comment une actrice au faîte de la gloire a-t-elle pu abandonner une carrière éblouissante pour se fixer à Monaco avec un prince qu'elle connaissait à peine. Et de se laisser glisser dans les délices bourgeoises, de la maternité ou des vacances en famille, ponctuées il est vrai de réceptions et voyages somptueux. Et le drame final de septembre 1982 ainsi que ses conséquences sur la famille princière. Pour Gérard Miller, le piège n'en finit pas de se refermer "Depuis 60 ans, la Principauté est au menu de notre férocité, et comme nous avons croqué hier la douce Caroline et avant-hier la si parfaite Grace, nous croquons aujourd’hui la jolie Charlène. A la veille de la double naissance princière annoncée pour décembre prochain, mon diagnostic de départ était sans appel: nous regardons avec d'autant plus de curiosité les chérubins dont les princesses accouchent, que nous guettons déjà leur première chute dans l'escalier".
Son directeur artistique, Jeannot Painchaud a annoncé au Yacht Club de Monaco, la création d'un nouveau spectacle portant le nom de la Principauté. S.A.S. Albert II était présent à cette conférence de presse. Le spectacle, qui réunira sur scène 35 artistes, dont deux musiciens et une chanteuse, sera présenté en grande première au Zénith de Paris, une salle de 6.000 places, le 1er octobre prochain. Puis, ensuite, dans les autres théâtres Zénith de France, qui peuvent accueillir jusqu'à 12.000 spectateurs. Krista Monson assure la mise en scène, elle a travaillé pendant 10 ans pour le Cirque du Soleil, notamment à titre de directrice artistique du spectacle O, présenté à Las Vegas. Elle mettra également en scène le spectacle du Cirque qui ouvrira l'Exposition universelle de Milan le 6 mai prochain. Toute l'équipe de création de Monaco vient du Cirque du Soleil. Debra Brown, qui a participé à la création de nombreux spectacles du cirque, signera les chorégraphies; René Dupéré, célèbre pour sa pièce Allegria, composera la musique; Liz Vandal (Ovo) créera les costumes et Patricia Ruel (Kà) se chargera de la scénographie.
C'est le producteur monégasque Salim Zeghdar qui a eu l'idée de ce spectacle et il s'en explique "C'est sûr qu'on rend hommage à Monaco, à sa noblesse, à son côté chic et précieux; on ne va pas s'excuser de sa beauté. Cela dit, on n'a pas voulu faire un documentaire ou un catalogue de promotion". Pour célébrer la Principauté, Krista Monson aura à sa disposition une troupe de danseurs et d'artistes de cirque. Un magicien multi-instrumentiste fait aussi partie de la distribution; il sera le guide du personnage principal qui arrive à Monaco. Le spectacle sera monté à Montréal à partir du printemps prochain dans les locaux d'Éloize à la gare Dalhousie, nouvellement rénovée.
A la télévision
"Monaco, le rocher était presque parfait", c'est sous ce titre en forme de clin d’œil, que la chaîne France 3 diffusait hier soir à 20h45 un documentaire d'une heure et demie, dû au psychanalyste Gérard Miller. Pour son auteur "C’est l’histoire toute freudienne de l’une des plus anciennes dynasties régnantes du monde et de l’un des plus médiatisés contes de fées modernes". Et d'expliquer son projet "Ce qui m’a donné envie de faire ce film, c’est la fascination que Monaco suscite et tout particulièrement le côté "cannibale" de cette fascination". Il nous montre à l'aide d'images et documents d'archives, certains inédits, et grâce à l'intervention de bons connaisseurs du "Rocher", comment s'est créée la légende dans les années '50 quand le mariage princier des 18 et 19 avril 1956 a fait la notoriété de Monaco. Et tout le monde de se poser une question, comment une actrice au faîte de la gloire a-t-elle pu abandonner une carrière éblouissante pour se fixer à Monaco avec un prince qu'elle connaissait à peine. Et de se laisser glisser dans les délices bourgeoises, de la maternité ou des vacances en famille, ponctuées il est vrai de réceptions et voyages somptueux. Et le drame final de septembre 1982 ainsi que ses conséquences sur la famille princière. Pour Gérard Miller, le piège n'en finit pas de se refermer "Depuis 60 ans, la Principauté est au menu de notre férocité, et comme nous avons croqué hier la douce Caroline et avant-hier la si parfaite Grace, nous croquons aujourd’hui la jolie Charlène. A la veille de la double naissance princière annoncée pour décembre prochain, mon diagnostic de départ était sans appel: nous regardons avec d'autant plus de curiosité les chérubins dont les princesses accouchent, que nous guettons déjà leur première chute dans l'escalier".
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