Monaco au quotidien
Mères et pères récompensés
Cette cérémonie a longtemps été dédiée à ceux qui ont démontré courage et motivation face aux événements de la vie. Depuis deux ans, la Mairie de Monaco a souhaité faire évoluer cette fête qui, maintenant, distingue les parents méritants au parcours exceptionnel qui ont accueilli un premier enfant au sein de leur foyer au cours de l’année écoulée. Une chaleureuse réception s'est donc tenue dans la Cour d’honneur de la Mairie de Monaco le vendredi 19 juin à 18h. Les mères et les pères y ont été accueillis par Georges Marsan, maire de Monaco, et les membres du Conseil communal.
Un sondage aux multiples conséquences
Le 11 juin, la Cour de révision a rejeté le pourvoi de Jean-François Robillon concernant le sondage d’opinion commandé en 2012. Plus aucun recours n’est possible en Principauté. Il a été condamné à une amende de 2.500€, avec sursis pour "mise en œuvre d'un traitement automatisé d'informations nominatives sans formalités préalables", fixée par la cour d'appel le 2 février 2015. C'est la fin, du moins en Principauté, de l'affaire qui agitait la justice et l'ex-président du Conseil national à propos de ce sondage. On se souvient qu'il lui était reproché d'avoir transmis la liste électorale et l'annuaire téléphonique à l'institut OpinionWay qui a réalisé ce sondage politique en juin 2012. Si Jean-François Robillon compte poursuivre son combat, il ne lui reste plus que la Cour européenne des droits de l'Homme.
Cette cérémonie a longtemps été dédiée à ceux qui ont démontré courage et motivation face aux événements de la vie. Depuis deux ans, la Mairie de Monaco a souhaité faire évoluer cette fête qui, maintenant, distingue les parents méritants au parcours exceptionnel qui ont accueilli un premier enfant au sein de leur foyer au cours de l’année écoulée. Une chaleureuse réception s'est donc tenue dans la Cour d’honneur de la Mairie de Monaco le vendredi 19 juin à 18h. Les mères et les pères y ont été accueillis par Georges Marsan, maire de Monaco, et les membres du Conseil communal.
Un sondage aux multiples conséquences
Le 11 juin, la Cour de révision a rejeté le pourvoi de Jean-François Robillon concernant le sondage d’opinion commandé en 2012. Plus aucun recours n’est possible en Principauté. Il a été condamné à une amende de 2.500€, avec sursis pour "mise en œuvre d'un traitement automatisé d'informations nominatives sans formalités préalables", fixée par la cour d'appel le 2 février 2015. C'est la fin, du moins en Principauté, de l'affaire qui agitait la justice et l'ex-président du Conseil national à propos de ce sondage. On se souvient qu'il lui était reproché d'avoir transmis la liste électorale et l'annuaire téléphonique à l'institut OpinionWay qui a réalisé ce sondage politique en juin 2012. Si Jean-François Robillon compte poursuivre son combat, il ne lui reste plus que la Cour européenne des droits de l'Homme.
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