RATP.mp3 (118.31 Ko)
Pour améliorer ses services la RATP a lancé il y a quelques mois une consultation citoyenne auprès de ses utilisateurs. En novembre 2016, une idée émise par Susana F. émerge du lot: "Il paraît que la qualité de l’air qui circule dans le métro parisien est plus qu’irrespirable: pourquoi ne pas investir dans les plantes dépolluantes? En plus d’être utiles, elles mettront un peu de couleurs dans les stations".
La proposition fut alors la plus plébiscitée par les internautes de cette consultation avec plus de 6.000 voix sur les 47.000 votes. "Cette vaste consultation répond à l’ambition de la RATP d’incarner la mobilité durable au service des voyageurs. Nous avons choisi d’associer les voyageurs à cette démarche afin de créer une offre de nouveaux services conçus au plus près de leurs attentes", expliquait Elisabeth Borne, directrice du groupe ferroviaire.
La proposition fut alors la plus plébiscitée par les internautes de cette consultation avec plus de 6.000 voix sur les 47.000 votes. "Cette vaste consultation répond à l’ambition de la RATP d’incarner la mobilité durable au service des voyageurs. Nous avons choisi d’associer les voyageurs à cette démarche afin de créer une offre de nouveaux services conçus au plus près de leurs attentes", expliquait Elisabeth Borne, directrice du groupe ferroviaire.
Un défi technique pour la RATP
En aval de cette consultation, la société de transports parisienne s’engage à mettre en place cette mesure. Mais plusieurs questions techniques restent en suspens. Quelle végétation peut résister à de telles conditions? Comment réussir à amener l’eau et la lumière dont ces plantations ont besoin pour exister? Autant de défis techniques auxquels doit maintenant répondre la RATP.
Franc Aviv, directeur du département services et espaces multimodaux expliquent avoir plusieurs solutions: "Deux pistes de réflexion sont privilégiées. La première serait d’intégrer des murs végétaux, avec l’inconvénient que cela a un coût significatif. On se limiterait alors peut-être dans un premier temps aux stations en plein air. On peut imaginer une démarche collaborative avec des associations ou des écoles d’horticulture". Le projet devrait ainsi se concrétiser dans les tous prochains mois.
Franc Aviv, directeur du département services et espaces multimodaux expliquent avoir plusieurs solutions: "Deux pistes de réflexion sont privilégiées. La première serait d’intégrer des murs végétaux, avec l’inconvénient que cela a un coût significatif. On se limiterait alors peut-être dans un premier temps aux stations en plein air. On peut imaginer une démarche collaborative avec des associations ou des écoles d’horticulture". Le projet devrait ainsi se concrétiser dans les tous prochains mois.