Les réseaux sociaux (messenger, imo, whatsApp, instagram, viber, facebook) pourraient être bloqués "de 9h à 16 h" pendant la période des examens.
Dans une déclaration en date du 28 mai 2019, l’ABLOGUI (Association des Blogueurs de Guinée) met en garde le gouvernement. Elle dénonce une volonté de porter atteinte "à la liberté d’expression", "à l’information en ligne", à la "démocratie", à "l’économie" et aux "entrepreneurs dans leur marketing digital".
Restreindre l’accès à internet, ajoute-t-elle, est aussi une violation de la résolution onusienne sur "la promotion, la protection et l’exercice des droits de l’homme sur internet".
"Les fuites des sujets aux différents examens existaient bien avant l’avènement et la prolifération des réseaux sociaux en Guinée", rappelle l’ABLOGUI. "Les pratiques constatées à travers les réseaux sociaux ne sont que le reflet du manque de rigueur généralisé de notre système éducatif", poursuit-elle.
Pour le bon déroulement des examens, elle demande alors au ministère de l’Education nationale de trouver les solutions "aux fuites et tricheries des années précédentes".
L’éventualité de blocage des réseaux sociaux est une des propositions faites à l’issue des ateliers préparatoires des examens qui se sont déroulés les 24, 25 et 26 mai à Kindia, Mamou et Kankan. Pour l’heure, "ce n’est qu’une proposition" non encore validée, temporise le porte-parole du ministère de l’Education nationale et de l’alphabétisation.
Dans une déclaration en date du 28 mai 2019, l’ABLOGUI (Association des Blogueurs de Guinée) met en garde le gouvernement. Elle dénonce une volonté de porter atteinte "à la liberté d’expression", "à l’information en ligne", à la "démocratie", à "l’économie" et aux "entrepreneurs dans leur marketing digital".
Restreindre l’accès à internet, ajoute-t-elle, est aussi une violation de la résolution onusienne sur "la promotion, la protection et l’exercice des droits de l’homme sur internet".
"Les fuites des sujets aux différents examens existaient bien avant l’avènement et la prolifération des réseaux sociaux en Guinée", rappelle l’ABLOGUI. "Les pratiques constatées à travers les réseaux sociaux ne sont que le reflet du manque de rigueur généralisé de notre système éducatif", poursuit-elle.
Pour le bon déroulement des examens, elle demande alors au ministère de l’Education nationale de trouver les solutions "aux fuites et tricheries des années précédentes".
L’éventualité de blocage des réseaux sociaux est une des propositions faites à l’issue des ateliers préparatoires des examens qui se sont déroulés les 24, 25 et 26 mai à Kindia, Mamou et Kankan. Pour l’heure, "ce n’est qu’une proposition" non encore validée, temporise le porte-parole du ministère de l’Education nationale et de l’alphabétisation.
Eventualité de blocage des réseaux sociaux lors des examens nationaux.mp3 (448.08 Ko)