Lors de cette réunion, le directeur général de l'AP-HP lui a garanti qu'une concertation aurait lieu sur la mise en place des groupes hospitaliers avec les collectivités locales concernées.
Depuis, un courrier interne émanant de l'hôpital Beaujon parle ouvertement de la disparition de ce dernier, alors qu'aucune concertation n'a eu lieu. Gilles CATOIRE tient à rappeler qu'il n'a jamais vu, durant sa longue expérience d'élu, une direction de l'Assistance Publique faire comme si les élus des collectivités territoriales n'existaient pas. « Même dans le projet de loi de Christian Blanc, que l'on peut considérer comme laissant le dernier mot à l'État, il est écrit noir sur blanc qu'aucune décision ne sera prise en matière d'aménagement du Grand Paris, sans concertation des collectivités territoriales concernées. La santé publique ferait-elle exception à cette disposition législative ? »
Il est inacceptable que l'assistance publique, structure étatique, traite les élus avec autant de négligence, puisque le conseil de surveillance de l'Hôpital Beaujon n'a jamais été officiellement saisi avant la décision du regroupement des hôpitaux, prise à la sauvette par le conseil d'administration de l'AP-HP en Juillet 2009.
Il n'a jamais eu à se prononcer et n'a jamais été consulté sur un projet qui prévoit la disparition à terme non seulement des urgences et du service psychiatrique, mais de la totalité de l'hôpital Beaujon, qui serait transféré hors du territoire communal et du département des Hauts-de-Seine.
Le Maire de Clichy n'a pas été informé officiellement, en tant que tel, de ce projet par l'assistance publique, ce qui n'empêche pas la directrice de l'hôpital Beaujon de diffuser une note interne qui fait état de l'information fallacieuse, car aucun diagnostic condamnant l'Hôpital Beaujon a été établi et communiqué à la ville.Gilles CATOIRE a reçu à nouveau cet après-midi l'ensemble des organisations syndicales CGT, CFDT FO de l'Hôpital Beaujon en Mairie.
Il a été convenu de demander une audience solennelle au directeur général de l'assistance publique et pour se faire une délégation d'élus de Clichy et des autres communes desservies par l'hôpital Beaujon, accompagnera les organisations syndicales jeudi à 13h30, devant le siège de l'assistance publique.
Un Bureau municipal extraordinaire a été provoqué demain soir à Clichy pour préparer la mobilisation des clichois et coordonner les initiatives d'ordre politique et juridique qui vont être menées pour que l'Hôpital Beaujon reste et se développe à Clichy avec ses urgences, son service psychiatrique et sa maternité tant attendue.
Qui aurait pu croire, que les multiples visites du Président de la République et le défilé incessant des ministres à l'Hôpital Beaujon pourraient conduire à la fermeture de l'hôpital.
Il est temps de donner un coup d'arrêt à cette attaque frontale de l' « assistance publique », qui se comporte de plus en plus comme si les malades n'avaient pas leur mot à dire.
Depuis, un courrier interne émanant de l'hôpital Beaujon parle ouvertement de la disparition de ce dernier, alors qu'aucune concertation n'a eu lieu. Gilles CATOIRE tient à rappeler qu'il n'a jamais vu, durant sa longue expérience d'élu, une direction de l'Assistance Publique faire comme si les élus des collectivités territoriales n'existaient pas. « Même dans le projet de loi de Christian Blanc, que l'on peut considérer comme laissant le dernier mot à l'État, il est écrit noir sur blanc qu'aucune décision ne sera prise en matière d'aménagement du Grand Paris, sans concertation des collectivités territoriales concernées. La santé publique ferait-elle exception à cette disposition législative ? »
Il est inacceptable que l'assistance publique, structure étatique, traite les élus avec autant de négligence, puisque le conseil de surveillance de l'Hôpital Beaujon n'a jamais été officiellement saisi avant la décision du regroupement des hôpitaux, prise à la sauvette par le conseil d'administration de l'AP-HP en Juillet 2009.
Il n'a jamais eu à se prononcer et n'a jamais été consulté sur un projet qui prévoit la disparition à terme non seulement des urgences et du service psychiatrique, mais de la totalité de l'hôpital Beaujon, qui serait transféré hors du territoire communal et du département des Hauts-de-Seine.
Le Maire de Clichy n'a pas été informé officiellement, en tant que tel, de ce projet par l'assistance publique, ce qui n'empêche pas la directrice de l'hôpital Beaujon de diffuser une note interne qui fait état de l'information fallacieuse, car aucun diagnostic condamnant l'Hôpital Beaujon a été établi et communiqué à la ville.Gilles CATOIRE a reçu à nouveau cet après-midi l'ensemble des organisations syndicales CGT, CFDT FO de l'Hôpital Beaujon en Mairie.
Il a été convenu de demander une audience solennelle au directeur général de l'assistance publique et pour se faire une délégation d'élus de Clichy et des autres communes desservies par l'hôpital Beaujon, accompagnera les organisations syndicales jeudi à 13h30, devant le siège de l'assistance publique.
Un Bureau municipal extraordinaire a été provoqué demain soir à Clichy pour préparer la mobilisation des clichois et coordonner les initiatives d'ordre politique et juridique qui vont être menées pour que l'Hôpital Beaujon reste et se développe à Clichy avec ses urgences, son service psychiatrique et sa maternité tant attendue.
Qui aurait pu croire, que les multiples visites du Président de la République et le défilé incessant des ministres à l'Hôpital Beaujon pourraient conduire à la fermeture de l'hôpital.
Il est temps de donner un coup d'arrêt à cette attaque frontale de l' « assistance publique », qui se comporte de plus en plus comme si les malades n'avaient pas leur mot à dire.
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