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Pour le Pavillon Populaire, l'année 2018 est placée sous le signe de la photographie documentaire. C'est l'exposition "Aurès,1935" qui a ouvert le cycle des trois expositions dédiées à la mise en relation entre photographie et histoire.
Le public pourra donc découvrir l'art photographique sous son angle anthropologique, en parcourant un ensemble de photos en noir et blanc.
Plus qu'une succession d'images, l'espace d'art photographique offre aux visiteurs une histoire. On découvre à travers les yeux des deux chercheuses, le quotidien du peuple Chaoui vivant dans l'Aurès, massif montagneux situé dans l'Est algérien.
Loin du prisme de l'exotisme, ces portraits et scènes de vie viennent livrer un témoignage poignant d'une société indigène survivant dans une Algérie coloniale.
Au delà de son caractère esthétique, la photographie se vêt ici d'un devoir de mémoire et d'archivage ethnographique. Accompagnée d'extraits de films, de notes de terrains, de croquis, ou encore d'objets divers, elle invite le visiteur à embrasser la démarche pédagogique de Germaine Tillon et Thérèse Rivière.
C'est aussi l'occasion de faire émerger une réflexion sur une société traditionnelle, originaire de l'un des épicentres de la lutte indépendantiste algérienne, qui fut finalement bouleversée par le conflit franco-algérien de la période 1954-1952.
Le public pourra donc découvrir l'art photographique sous son angle anthropologique, en parcourant un ensemble de photos en noir et blanc.
Plus qu'une succession d'images, l'espace d'art photographique offre aux visiteurs une histoire. On découvre à travers les yeux des deux chercheuses, le quotidien du peuple Chaoui vivant dans l'Aurès, massif montagneux situé dans l'Est algérien.
Loin du prisme de l'exotisme, ces portraits et scènes de vie viennent livrer un témoignage poignant d'une société indigène survivant dans une Algérie coloniale.
Au delà de son caractère esthétique, la photographie se vêt ici d'un devoir de mémoire et d'archivage ethnographique. Accompagnée d'extraits de films, de notes de terrains, de croquis, ou encore d'objets divers, elle invite le visiteur à embrasser la démarche pédagogique de Germaine Tillon et Thérèse Rivière.
C'est aussi l'occasion de faire émerger une réflexion sur une société traditionnelle, originaire de l'un des épicentres de la lutte indépendantiste algérienne, qui fut finalement bouleversée par le conflit franco-algérien de la période 1954-1952.
Du mardi au dimanche, 10h à 13h et 14h à 18h. Entrée gratuite.