Kōichirō Matsuura. Photo (c) UNESCO
Selon lui, ce patrimoine du 20ème siècle est aujourd'hui menacé en raison de la détérioration - et dans certains cas de la destruction délibérée - des supports.
"Chaque jour, des pertes importantes sont enregistrées. Elles peuvent être le fait de l'ignorance, de la négligence, de la détérioration matérielle ou de destructions délibérées, mais quelle qu'en soit la cause, une réalité impérieuse demeure : tous les supports de patrimoine audiovisuel sont condamnés", dit M. Matsuura, dans un message.
"Seul le rythme auquel ces documents disparaissent peut être freiné. Leur détérioration, le plus souvent, n'est pas brutale ; c'est plutôt un lent déclin vers le néant. Ils peuvent être sauvés avant d'avoir atteint ce point de non-retour, mais des mesures urgentes sont nécessaires", ajoute-t-il.
Il rappelle que l'UNESCO, en compagnie de partenaires tels que le Coordination Council of Audiovisual Archive Associations (CCAAA), a joué un rôle de chef de file dans l'action pour la protection et le prolongement de la durée de vie des enregistrements et des images filmées.
Par ailleurs, l'UNESCO a conclu un partenariat avec l'Institut national de l'audiovisuel (INA) français, qui s'est engagé à numériser et rendre accessible en ligne une partie du riche fonds audiovisuel de l'Organisation.
"Chaque jour, des pertes importantes sont enregistrées. Elles peuvent être le fait de l'ignorance, de la négligence, de la détérioration matérielle ou de destructions délibérées, mais quelle qu'en soit la cause, une réalité impérieuse demeure : tous les supports de patrimoine audiovisuel sont condamnés", dit M. Matsuura, dans un message.
"Seul le rythme auquel ces documents disparaissent peut être freiné. Leur détérioration, le plus souvent, n'est pas brutale ; c'est plutôt un lent déclin vers le néant. Ils peuvent être sauvés avant d'avoir atteint ce point de non-retour, mais des mesures urgentes sont nécessaires", ajoute-t-il.
Il rappelle que l'UNESCO, en compagnie de partenaires tels que le Coordination Council of Audiovisual Archive Associations (CCAAA), a joué un rôle de chef de file dans l'action pour la protection et le prolongement de la durée de vie des enregistrements et des images filmées.
Par ailleurs, l'UNESCO a conclu un partenariat avec l'Institut national de l'audiovisuel (INA) français, qui s'est engagé à numériser et rendre accessible en ligne une partie du riche fonds audiovisuel de l'Organisation.