Le royaume de Taj Mouhal est imaginaire. Il fut construit sur la conscience algérienne par les bouffons du roi Mouhal. Mouhal signifie impossible en arabe et Taj veut dire couronne. Taj Mouhal est synonyme de "couronne impossible". Dans ce royaume la réalité se mêle à la légende et les gens de la rue racontent ses mystères. Parce que tout se sait. À beau mentir qui vient de loin n’est plus une devise dans le monde moderne de l’information. La transparence dans le domaine scientifique nous permet de savoir qui n’est pas qui. L’information circule à la vitesse de la lumière. Nous sommes informés à la seconde près quand quiconque se prend pour quelque chose dans le coin le plus sombre de Taj Mouhal.
Google Scholar est le meilleur miroir qui reflète votre image scientifique. Sur ce site regardez-vous à travers vos travaux scientifiques pendant un moment. Pensez à vous et à vos exploits scientifiques, acceptez de vous voir tel que vous êtes à votre juste valeur dans le monde de la science et le savoir.
Parfois vous découvrirez la honte de ce que vous êtes ou avez été dans votre parcours scientifique quand ce chemin est bâti sur le plagia ou le mensonge. Parfois vous arriverez à la franchise qui convertit ce qui est laid en vous en ce qui va devenir beau pour les autres. Alors vous aurez fait un grand parcours vers la connaissance de votre personnalité et commencé la construction d’un vrai Taj Mouhal bâti sur les bases de la vérité et bien ancré dans l’honnêteté, la simplicité et la modestie.
Hélas! L’élite algérienne est à la recherche d’un Voltaire pour l’informer un peu plus sur de la situation de monsieur Mouhal. Hélas! Voltaire n’est ni né à Nédroma ni le frère de Mouhal.
Le brouillard politique et très épais et cache l’information. Il y a des moments où l’évènement fuit les couloirs sombres du centre de décision de Taj Mouhal et inonde nos trottoirs. Il y a une période comme ça où les trottoirs de la rue semblent prendre un mauvais plaisir à nous exposer nos préoccupations sur les journaux sous forme de cristaux d’humour. Ces cristaux sont parfois brisés par les piétons maladroits. Les moins maladroits font très attention. Ils essayent de ne pas marcher sur ces journaux fragiles qui couvrent la chaussée de Taj Mouhal comme une mince couche de bitume salie par les rumeurs ou les scandales de ses dirigeants. Il est difficile de distinguer le vrai du faux sur un semblant de trottoir où les gens assis contrôlent le mouvement des gens debout. Dans la confusion, des hommes politiques à Taj Mouhal nous racontent l’histoire du roi Mouhal à la manière française. Avec toutes ses faiblesses et tous ses rêves, Mouhal restera le héros d’une terre africaine. L’histoire nous enseigne que toute une société riche de traditions, de rites, de gloires et de rêves, meurt après l’enterrement de Mouhal. Après le départ de Mouhal nous devons écouter la raison et regarder nos défauts car il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ses défauts.
En traversant la rue Didouche Mourad pour aller à la grande faculté d’Histoire de Taj Mouhal, j’ai entendu un étudiant dire "Chez nous la politique est gouvernée par le changement métrologique ou l’état de santé du président. Quelques gouttes de pluie dévoilent les défauts de notre chef-d’œuvre dans une construction rapide et empêchent les journaux de s’étaler sur les trottoirs. Une neige soudaine dans nos compagnes fait apparaitre notre incompétence dans la distribution du gaz butane. Il continue, une hospitalisation imprévue du Président en France évapore les rêves de ceux qui l’entourent et amorcent les rêveries chez ceux qui prétendent nous gouverner dans le futur. Nos parlementaires députent l’aléatoire et mélangent tout et n'importe quoi pour construire un discours absurde face à la situation lamentable des gens de Taj Mouhal. Ils veulent l’imposer comme un discours de vérité ou comme un exposé de projet pour les jeunes étudiants sans futur. Le manque d'information favorise les rumeurs de toutes sortes quand les politiciens de Taj Mouhal perdent la raison. Il est donc inutile de chercher à convaincre quelqu’un qui ne veut pas reconnaitre qu’il n’a plus la raison. Ils ont détruit nos rêves, nos ambitions et notre espoir. Ils essayent de toucher à notre dignité pour satisfaire leur voracité. Notre dignité c’est dans la relève. La relève cherche le changement à Taj Mouhal et elle a parfaitement raison."
Dans la culture politique de Taj Mouhal la notion de futur est en crise. Qui a le courage de parler de son avenir à Taj Mouhal? Esquisser une image du futur est une action prohibée à Taj Mouhal. Personne ne veut parler du futur tant que les politiciens de Taj Mouhal voient ce futur d’un œil très alarmiste. Cette vision de peur du futur est voulue car les Pangloss* à Taj Mouhal sont aveugles et maquent de vision. Certains pensent que sans eux Taj Mouhal sera un enfer à l’image de la Syrie, la Lybie ou l’Irak. Ils oublient que l’avenir se construit à partir d’un certain nombre de faits qui sont relativement objectifs et identifiables par tous. D’autres se retirent et attendent un changement par l’homme de la providence. Un homme nommé Mouhal. Entre ces deux tendances les arrivistes enseignent la culture de Taj Mouhal: panglossisme*, fatalisme et opportunisme.
Le monde vit un embrouillement et sa majesté le pétrole descend les escaliers à petits pas. Dans cette atmosphère d’incertitude, les Pangloss applaudissent leur succès et ignorent tout vacillement dans la descente. A Taj Mouhal les adeptes du panglossisme prouvent admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause, et que, dans leur meilleur des mondes possibles, le château de monsieur Mouhal est le plus beau des châteaux et madame Mouhal la meilleure des baronnes possibles…
Je ne veux pas être considéré par mes étudiants comme le Pangloss du Taj Mouhal qui enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie chez Abdelmalek l’épicier du coin et répète tout le temps, même en plein malheur "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles". Dans mes cours, je peux prouver qu’il n’y a point d’esclave sans maitre, et que, dans l’Algérie libre le château de monsieur le Mouhal appartient au peuple. Je suis convaincu que le vrai dialogue pour sauver Taj Mouhal repose sur un seul principe "être attentif à l’autre et l’écouter sans le juger à priori".
Taj Mouhal a beaucoup de très bons cadres et quelques très mauvais. Il se trouve que les très mauvais sont souvent ceux qui s’occupent de la politique à Taj Mouhal. On les voit s’acheter des titres pompeux pour avoir le droit de s’afficher sur les écrans plasmatiques. Expert en économie, expert en information, expert en sécurité etc… L’expertise est devenue un vice politique à la mode à Taj Mouhal. C’est la magie de l’effet de levier qui permet une croissance exponentielle du nombre d’experts menteurs à Taj Mouhal. Ils s’exposent avec arrogance pour nous faire avaler leurs mensonges. C’est par cette arrogance que le grand flou se dissipe dans les partis politiques qui espèrent changer la face de Taj Mouhal. A Taj Mouhal les hommes politiques de Taj sont caducs aujourd’hui parce qu’ils n’ont aucun résultat correspondant aux expectations de ceux qu’ils veulent gouverner. Pas d’emplois, pas de progrès, pas de richesses créées mais une déception totale.
Taj Mouhal mérite des ministres qui font leur travail dans le respect de la vérité. Le peuple ne peut plus supporter la musique jaillissante de leurs disques rayés. N’exagérons rien, les hommes politiques font semblant de connaître tous les dossiers. Ils se croient obliger de donner un avis sur tout et n’importe quoi. Un politicien qui n’a rien avoir avec la médecine se permet d’interpréter une échographie ou une RMN (imagerie par résonance magnétique et radiologie) pour apaiser la colère d’une population assoiffée de savoir la réalité après une catastrophe naturelle ou professionnelle. Un autre administrateur, se croyant plus intelligent, donne son avis d’expertise sur qualité de béton ou le non-danger du gaz de schiste. Un autre mal classé se fait appelé le grand manitou ou Si Ahmed Bendriwiche. Il nous fait croire que le dattier "deglet noor" de M'Chouneche pousse à Blida grâce à la bénédiction de Bouteflika. Ces mensonges insensés vont secouer les fondations de Taj Mouhal. C’est ainsi que Taj Mouhal va au vent.
C’est le temps du charlatanisme et la poussée de la fanfaronnade française à Taj Mouhal. Les ingénieurs et les médecins s’escamotent et les charlatans s’imposent. Ce résultat est un orne intellectuellement politisé à l’image de l’école de Houria de Taj Mouhal. La vie est pleine de surprise dans le système éducatif de Taj Mouhal. La drogue royale marocaine, le plagia et le charlatanisme font une plateforme éducatrice reconnue par les menteurs de Taj Mouhal. Les hommes politiques ne veulent pas faire face à la réalité de Taj Mouhal.
Quittons Taj Mouhal et allons au-delà des controverses stériles et caricaturales et regardons notre système éducatif. Chercher ou rechercher, enseigner ou éduquer, ces métiers demandent une compétence complexe. Apprendre à chercher ou à éduquer peut passer par bien des chemins et prend bien du temps. Le chemin n’est pas toujours bordé de roses. Passer des nuits blanches dans un laboratoire est la vie normale de ceux qui veulent voir le bonheur dans leur pays. Les professeurs armés de patience et de discipline sont toujours présents pour faire de leurs étudiants des chercheurs capables de comprendre et d’interpréter des phénomènes naturels de tous les genres. Ces professeurs apprennent aux étudiants comment se comporter dans un laboratoire de recherche et même dans la rue. Le bon comportement dans la rue et la modestie sont des signes de compétence.
Je conclue par les paroles de Charles Baudelaire "Tout ce qui plaît à une raison de plaire, et mépriser les attroupements de ceux qui s'égarent n'est pas le moyen de les ramener où ils devraient être". Le futur n’attend pas et Bouteflika n’est pas éternel. La politique de Taj Mouhal a transformé les incompétents en pseudo-leadeurs ou en paranoïaques opportunistes. Ils se voient toujours irréprochables et voient les autres dans l'erreur. Ils se croient plus intelligents et ne flairent jamais l’odeur âcre de leur propre égoïsme. Un égoïsme qui les transforme en une incompétence de marque reconnue par ses stupidités au royaume de Taj Mouhal. Prions Dieu pour que ces bergers opportunistes n'arrivent pas au pouvoir.
* Panglossisme: qui parle toutes les langues mais également dont le discours vise de façon absurde la totalité. Création ironique issue du personnage "Pangloss" de Voltaire.
Google Scholar est le meilleur miroir qui reflète votre image scientifique. Sur ce site regardez-vous à travers vos travaux scientifiques pendant un moment. Pensez à vous et à vos exploits scientifiques, acceptez de vous voir tel que vous êtes à votre juste valeur dans le monde de la science et le savoir.
Parfois vous découvrirez la honte de ce que vous êtes ou avez été dans votre parcours scientifique quand ce chemin est bâti sur le plagia ou le mensonge. Parfois vous arriverez à la franchise qui convertit ce qui est laid en vous en ce qui va devenir beau pour les autres. Alors vous aurez fait un grand parcours vers la connaissance de votre personnalité et commencé la construction d’un vrai Taj Mouhal bâti sur les bases de la vérité et bien ancré dans l’honnêteté, la simplicité et la modestie.
Hélas! L’élite algérienne est à la recherche d’un Voltaire pour l’informer un peu plus sur de la situation de monsieur Mouhal. Hélas! Voltaire n’est ni né à Nédroma ni le frère de Mouhal.
Le brouillard politique et très épais et cache l’information. Il y a des moments où l’évènement fuit les couloirs sombres du centre de décision de Taj Mouhal et inonde nos trottoirs. Il y a une période comme ça où les trottoirs de la rue semblent prendre un mauvais plaisir à nous exposer nos préoccupations sur les journaux sous forme de cristaux d’humour. Ces cristaux sont parfois brisés par les piétons maladroits. Les moins maladroits font très attention. Ils essayent de ne pas marcher sur ces journaux fragiles qui couvrent la chaussée de Taj Mouhal comme une mince couche de bitume salie par les rumeurs ou les scandales de ses dirigeants. Il est difficile de distinguer le vrai du faux sur un semblant de trottoir où les gens assis contrôlent le mouvement des gens debout. Dans la confusion, des hommes politiques à Taj Mouhal nous racontent l’histoire du roi Mouhal à la manière française. Avec toutes ses faiblesses et tous ses rêves, Mouhal restera le héros d’une terre africaine. L’histoire nous enseigne que toute une société riche de traditions, de rites, de gloires et de rêves, meurt après l’enterrement de Mouhal. Après le départ de Mouhal nous devons écouter la raison et regarder nos défauts car il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ses défauts.
En traversant la rue Didouche Mourad pour aller à la grande faculté d’Histoire de Taj Mouhal, j’ai entendu un étudiant dire "Chez nous la politique est gouvernée par le changement métrologique ou l’état de santé du président. Quelques gouttes de pluie dévoilent les défauts de notre chef-d’œuvre dans une construction rapide et empêchent les journaux de s’étaler sur les trottoirs. Une neige soudaine dans nos compagnes fait apparaitre notre incompétence dans la distribution du gaz butane. Il continue, une hospitalisation imprévue du Président en France évapore les rêves de ceux qui l’entourent et amorcent les rêveries chez ceux qui prétendent nous gouverner dans le futur. Nos parlementaires députent l’aléatoire et mélangent tout et n'importe quoi pour construire un discours absurde face à la situation lamentable des gens de Taj Mouhal. Ils veulent l’imposer comme un discours de vérité ou comme un exposé de projet pour les jeunes étudiants sans futur. Le manque d'information favorise les rumeurs de toutes sortes quand les politiciens de Taj Mouhal perdent la raison. Il est donc inutile de chercher à convaincre quelqu’un qui ne veut pas reconnaitre qu’il n’a plus la raison. Ils ont détruit nos rêves, nos ambitions et notre espoir. Ils essayent de toucher à notre dignité pour satisfaire leur voracité. Notre dignité c’est dans la relève. La relève cherche le changement à Taj Mouhal et elle a parfaitement raison."
Dans la culture politique de Taj Mouhal la notion de futur est en crise. Qui a le courage de parler de son avenir à Taj Mouhal? Esquisser une image du futur est une action prohibée à Taj Mouhal. Personne ne veut parler du futur tant que les politiciens de Taj Mouhal voient ce futur d’un œil très alarmiste. Cette vision de peur du futur est voulue car les Pangloss* à Taj Mouhal sont aveugles et maquent de vision. Certains pensent que sans eux Taj Mouhal sera un enfer à l’image de la Syrie, la Lybie ou l’Irak. Ils oublient que l’avenir se construit à partir d’un certain nombre de faits qui sont relativement objectifs et identifiables par tous. D’autres se retirent et attendent un changement par l’homme de la providence. Un homme nommé Mouhal. Entre ces deux tendances les arrivistes enseignent la culture de Taj Mouhal: panglossisme*, fatalisme et opportunisme.
Le monde vit un embrouillement et sa majesté le pétrole descend les escaliers à petits pas. Dans cette atmosphère d’incertitude, les Pangloss applaudissent leur succès et ignorent tout vacillement dans la descente. A Taj Mouhal les adeptes du panglossisme prouvent admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause, et que, dans leur meilleur des mondes possibles, le château de monsieur Mouhal est le plus beau des châteaux et madame Mouhal la meilleure des baronnes possibles…
Je ne veux pas être considéré par mes étudiants comme le Pangloss du Taj Mouhal qui enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie chez Abdelmalek l’épicier du coin et répète tout le temps, même en plein malheur "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles". Dans mes cours, je peux prouver qu’il n’y a point d’esclave sans maitre, et que, dans l’Algérie libre le château de monsieur le Mouhal appartient au peuple. Je suis convaincu que le vrai dialogue pour sauver Taj Mouhal repose sur un seul principe "être attentif à l’autre et l’écouter sans le juger à priori".
Taj Mouhal a beaucoup de très bons cadres et quelques très mauvais. Il se trouve que les très mauvais sont souvent ceux qui s’occupent de la politique à Taj Mouhal. On les voit s’acheter des titres pompeux pour avoir le droit de s’afficher sur les écrans plasmatiques. Expert en économie, expert en information, expert en sécurité etc… L’expertise est devenue un vice politique à la mode à Taj Mouhal. C’est la magie de l’effet de levier qui permet une croissance exponentielle du nombre d’experts menteurs à Taj Mouhal. Ils s’exposent avec arrogance pour nous faire avaler leurs mensonges. C’est par cette arrogance que le grand flou se dissipe dans les partis politiques qui espèrent changer la face de Taj Mouhal. A Taj Mouhal les hommes politiques de Taj sont caducs aujourd’hui parce qu’ils n’ont aucun résultat correspondant aux expectations de ceux qu’ils veulent gouverner. Pas d’emplois, pas de progrès, pas de richesses créées mais une déception totale.
Taj Mouhal mérite des ministres qui font leur travail dans le respect de la vérité. Le peuple ne peut plus supporter la musique jaillissante de leurs disques rayés. N’exagérons rien, les hommes politiques font semblant de connaître tous les dossiers. Ils se croient obliger de donner un avis sur tout et n’importe quoi. Un politicien qui n’a rien avoir avec la médecine se permet d’interpréter une échographie ou une RMN (imagerie par résonance magnétique et radiologie) pour apaiser la colère d’une population assoiffée de savoir la réalité après une catastrophe naturelle ou professionnelle. Un autre administrateur, se croyant plus intelligent, donne son avis d’expertise sur qualité de béton ou le non-danger du gaz de schiste. Un autre mal classé se fait appelé le grand manitou ou Si Ahmed Bendriwiche. Il nous fait croire que le dattier "deglet noor" de M'Chouneche pousse à Blida grâce à la bénédiction de Bouteflika. Ces mensonges insensés vont secouer les fondations de Taj Mouhal. C’est ainsi que Taj Mouhal va au vent.
C’est le temps du charlatanisme et la poussée de la fanfaronnade française à Taj Mouhal. Les ingénieurs et les médecins s’escamotent et les charlatans s’imposent. Ce résultat est un orne intellectuellement politisé à l’image de l’école de Houria de Taj Mouhal. La vie est pleine de surprise dans le système éducatif de Taj Mouhal. La drogue royale marocaine, le plagia et le charlatanisme font une plateforme éducatrice reconnue par les menteurs de Taj Mouhal. Les hommes politiques ne veulent pas faire face à la réalité de Taj Mouhal.
Quittons Taj Mouhal et allons au-delà des controverses stériles et caricaturales et regardons notre système éducatif. Chercher ou rechercher, enseigner ou éduquer, ces métiers demandent une compétence complexe. Apprendre à chercher ou à éduquer peut passer par bien des chemins et prend bien du temps. Le chemin n’est pas toujours bordé de roses. Passer des nuits blanches dans un laboratoire est la vie normale de ceux qui veulent voir le bonheur dans leur pays. Les professeurs armés de patience et de discipline sont toujours présents pour faire de leurs étudiants des chercheurs capables de comprendre et d’interpréter des phénomènes naturels de tous les genres. Ces professeurs apprennent aux étudiants comment se comporter dans un laboratoire de recherche et même dans la rue. Le bon comportement dans la rue et la modestie sont des signes de compétence.
Je conclue par les paroles de Charles Baudelaire "Tout ce qui plaît à une raison de plaire, et mépriser les attroupements de ceux qui s'égarent n'est pas le moyen de les ramener où ils devraient être". Le futur n’attend pas et Bouteflika n’est pas éternel. La politique de Taj Mouhal a transformé les incompétents en pseudo-leadeurs ou en paranoïaques opportunistes. Ils se voient toujours irréprochables et voient les autres dans l'erreur. Ils se croient plus intelligents et ne flairent jamais l’odeur âcre de leur propre égoïsme. Un égoïsme qui les transforme en une incompétence de marque reconnue par ses stupidités au royaume de Taj Mouhal. Prions Dieu pour que ces bergers opportunistes n'arrivent pas au pouvoir.
* Panglossisme: qui parle toutes les langues mais également dont le discours vise de façon absurde la totalité. Création ironique issue du personnage "Pangloss" de Voltaire.