Des sources diplomatiques turques sous couvert d'anonymat, ont déclaré au Today's Zaman : "afin d'effectuer cet exercice, la frontière entre la Turquie et l'Arménie pourrait être ouverte à titre temporaire. Mais elle sera, dès la fin des exercices refermée immédiatement
Cependant, la Turquie sera parmi l'OTAN et les pays partenaires participant à cet exercice malgré que les efforts de normalisation entre la Turquie et l'Arménie n'aient pas abouti. L'exercice sera organisé par le Centre euro-atlantique de coordination des réactions en cas de catastrophes de l’OTAN (EADRCC).
Des sources diplomatiques ont également indiqué : "Au cours de discussions techniques au siège de l'OTAN à Bruxelles il y a quelques temps, lorsqu’une telle possibilité avait été évoquée par les responsables de l'OTAN, la partie turque avait répondu favorablement".
Les deux voisins n'ont aucune relation diplomatique et pourtant la Turquie avait été dans les premiers pays à reconnaître l'Arménie, après que l'ancienne République Soviétique ait proclamé son indépendance en 1991. C'est en 1993 que la Turquie a fermé les frontières avec l'Arménie en solidarité avec son allié l'Azerbaïdjan qui était en guerre avec l'Arménie à propos de l'enclave du
Nagorno-Karabakh.
Ankara et Erevan ont signé deux protocoles à Zurich le 10 octobre de l'année dernière pour établir des relations diplomatiques et développer des relations bilatérales entre les deux pays, et ouvrir leur frontière commune. Malheureusement, le processus a atteint une impasse en janvier, car une cour arménienne a confirmé la légalité des protocoles, mais a souligné qu'ils ne pouvaient pas contredire la position officielle d'Erevan qui est que le prétendu génocide arménien doit être reconnu internationalement.
Cependant, la Turquie sera parmi l'OTAN et les pays partenaires participant à cet exercice malgré que les efforts de normalisation entre la Turquie et l'Arménie n'aient pas abouti. L'exercice sera organisé par le Centre euro-atlantique de coordination des réactions en cas de catastrophes de l’OTAN (EADRCC).
Des sources diplomatiques ont également indiqué : "Au cours de discussions techniques au siège de l'OTAN à Bruxelles il y a quelques temps, lorsqu’une telle possibilité avait été évoquée par les responsables de l'OTAN, la partie turque avait répondu favorablement".
Les deux voisins n'ont aucune relation diplomatique et pourtant la Turquie avait été dans les premiers pays à reconnaître l'Arménie, après que l'ancienne République Soviétique ait proclamé son indépendance en 1991. C'est en 1993 que la Turquie a fermé les frontières avec l'Arménie en solidarité avec son allié l'Azerbaïdjan qui était en guerre avec l'Arménie à propos de l'enclave du
Nagorno-Karabakh.
Ankara et Erevan ont signé deux protocoles à Zurich le 10 octobre de l'année dernière pour établir des relations diplomatiques et développer des relations bilatérales entre les deux pays, et ouvrir leur frontière commune. Malheureusement, le processus a atteint une impasse en janvier, car une cour arménienne a confirmé la légalité des protocoles, mais a souligné qu'ils ne pouvaient pas contredire la position officielle d'Erevan qui est que le prétendu génocide arménien doit être reconnu internationalement.