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Ils sont pour le moment quatre territoires en Italie, en Grèce, au Japon et au Costa Rica à avoir été recensés comme des zones bleues. Les femmes, mais aussi les hommes, peuvent espérer, plus qu’ailleurs, dépasser 100 ans. Si les cultures de ces pays sont différentes, pourtant les habitants de ces territoires partagent des habitudes de vie qui pourraient expliquer leur longévité.
Ils vivent tous dans des villes ou villages de territoires isolés, souvent des zones vallonnées, obligeant la population à un effort physique quotidien dès le plus jeune âge. On y travaille de façon traditionnelle, longtemps, même après 70 ans. Les habitants mangent de la nourriture locale, cuisinée sur place, loin des habitudes de consommation de produits transformés. Ce sont des cultures de communautés solidaires où l’esprit familial est très important. Ils vivent sobrement auprès de leurs proches ou pas loin d’eux. L’interaction entre les générations y est importante. Les personnes âgées - quels que soient leurs âges - ont toujours une place dans la société. Il n’y a pas, ou peu, de maisons de retraite, du reste on prend rarement sa retraite dans ces communautés. Éloigné des tumultes de ce monde et dans un respect général, le quotidien se déroule souvent loin du stress, pour ces populations. Ces dernières y jouissent aussi, plutôt, d’une bonne santé.
Chacun peut voir facilement dans ces points communs les solutions d’une espérance de vie plus longue et plus sereine. Mais les zones bleues pourraient être rattrapées par la notoriété, en leur amenant du monde, particulièrement des touristes. Ce qui est déjà le cas pour le territoire situé au Costa Rica. La culture et l’espérance de vie des habitants risquent d’en être modifiés. C’est un beau patrimoine qui est potentiellement menacé.
Ils vivent tous dans des villes ou villages de territoires isolés, souvent des zones vallonnées, obligeant la population à un effort physique quotidien dès le plus jeune âge. On y travaille de façon traditionnelle, longtemps, même après 70 ans. Les habitants mangent de la nourriture locale, cuisinée sur place, loin des habitudes de consommation de produits transformés. Ce sont des cultures de communautés solidaires où l’esprit familial est très important. Ils vivent sobrement auprès de leurs proches ou pas loin d’eux. L’interaction entre les générations y est importante. Les personnes âgées - quels que soient leurs âges - ont toujours une place dans la société. Il n’y a pas, ou peu, de maisons de retraite, du reste on prend rarement sa retraite dans ces communautés. Éloigné des tumultes de ce monde et dans un respect général, le quotidien se déroule souvent loin du stress, pour ces populations. Ces dernières y jouissent aussi, plutôt, d’une bonne santé.
Chacun peut voir facilement dans ces points communs les solutions d’une espérance de vie plus longue et plus sereine. Mais les zones bleues pourraient être rattrapées par la notoriété, en leur amenant du monde, particulièrement des touristes. Ce qui est déjà le cas pour le territoire situé au Costa Rica. La culture et l’espérance de vie des habitants risquent d’en être modifiés. C’est un beau patrimoine qui est potentiellement menacé.