Le musée a été ouvert le 18 juin 2013, quand Marseille était capitale européenne de la culture (c) DR
Il est situé sous le pont-levis de la Basilique de Notre-Dame-de-la-Garde ou la "Bonne Mère" comme on la nomme plus familièrement à Marseille. Cette basilique construite à partir de 1853 dans le style romano-byzantin, est consacrée en juin 1864. Avec sa monumentale statue dorée, elle domine la ville de 149m. C’est un des lieux favoris des touristes, 2 millions annuels, et le monument le plus visité de Marseille.
Le musée a été ouvert le 18 juin 2013, quand Marseille était capitale européenne de la culture. Il accueille en moyenne 8.000 visiteurs chaque année alors qu’on en attendait 100.000. Et Frédéric Proal, président de l’association du domaine Notre-Dame de la Garde qui gère le site, annonce en 2019 "La décision de fermer doit être prise début mai" et il ajoute "Le projet est prêt, mais on doit respecter certaines procédures". Celles-ci concernent le licenciement et le reclassement des cinq salariés du musée. Celui-ci expose quantité d’ex-voto, ceux des marins ayant échappé à un naufrage ou tout simplement ceux de croyants désireux de manifester leur reconnaissance à la "Bonne Mère", petites plaques de marbres ou modèles réduits de bateaux. Le Père Olivier Spinoza, recteur de la Basilique indique que le musée en reçoit encore actuellement une dizaine par an "Ils sont donnés par des gens qui veulent prier intensément, qui ont parfois une situation très douloureuse à vivre".
On peut voir aussi des objets du culte plus ou moins précieux, dont "des vêtements, des calices, des décors" selon Frédéric Proal ainsi qu’une Annonciation provenant de l'atelier florentin des Della Robbia, un buste de la Mater Dolorosa du sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux. Toutes ces pièces sont ressorties des réserves de la basilique où on les avait conservées durant la fermeture.
Il est possible aussi de découvrir les pèlerinages vers la "Bonne Mère" et plus particulièrement en période d’épidémies. Naturellement, on suivra l’histoire du sanctuaire au fil du temps, depuis les origines en 1214.
A l’occasion de la réouverture du musée; les collections ont été enrichies de photographies, de témoignages divers et d’archives sonores. L’ensemble est plus intéressant et surtout mieux mis en valeur. Il y aura deux expositions temporaires annuelles. Jusqu'au printemps prochain, le musée propose une exposition sur le thème du Noël provençal, des dizaines de santons et de crèches qui ont été prêtées par le Musée provençal de Château Gombert dans le XIIe arrondissement de Marseille. L’exposition suivante sera consacrée au Saint Suaire de Turin.
Le musée a été ouvert le 18 juin 2013, quand Marseille était capitale européenne de la culture. Il accueille en moyenne 8.000 visiteurs chaque année alors qu’on en attendait 100.000. Et Frédéric Proal, président de l’association du domaine Notre-Dame de la Garde qui gère le site, annonce en 2019 "La décision de fermer doit être prise début mai" et il ajoute "Le projet est prêt, mais on doit respecter certaines procédures". Celles-ci concernent le licenciement et le reclassement des cinq salariés du musée. Celui-ci expose quantité d’ex-voto, ceux des marins ayant échappé à un naufrage ou tout simplement ceux de croyants désireux de manifester leur reconnaissance à la "Bonne Mère", petites plaques de marbres ou modèles réduits de bateaux. Le Père Olivier Spinoza, recteur de la Basilique indique que le musée en reçoit encore actuellement une dizaine par an "Ils sont donnés par des gens qui veulent prier intensément, qui ont parfois une situation très douloureuse à vivre".
On peut voir aussi des objets du culte plus ou moins précieux, dont "des vêtements, des calices, des décors" selon Frédéric Proal ainsi qu’une Annonciation provenant de l'atelier florentin des Della Robbia, un buste de la Mater Dolorosa du sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux. Toutes ces pièces sont ressorties des réserves de la basilique où on les avait conservées durant la fermeture.
Il est possible aussi de découvrir les pèlerinages vers la "Bonne Mère" et plus particulièrement en période d’épidémies. Naturellement, on suivra l’histoire du sanctuaire au fil du temps, depuis les origines en 1214.
A l’occasion de la réouverture du musée; les collections ont été enrichies de photographies, de témoignages divers et d’archives sonores. L’ensemble est plus intéressant et surtout mieux mis en valeur. Il y aura deux expositions temporaires annuelles. Jusqu'au printemps prochain, le musée propose une exposition sur le thème du Noël provençal, des dizaines de santons et de crèches qui ont été prêtées par le Musée provençal de Château Gombert dans le XIIe arrondissement de Marseille. L’exposition suivante sera consacrée au Saint Suaire de Turin.
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