Rue de Cotonou. Photo (c) Olga Stavrakis
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Atindégla Hervé (Fonctionnaire d’Etat)
"Je pense que c’est une pratique dangereuse. Car on ne connaît pas l’origine de ces produits, leur composition et je me dit que ce doit être des drogues qui peuvent à terme même détruire l’homme qui ne pourra plus bander".
Boton Hermine (commerçante)
"Moi ce n’est pas mon problème. Qu’un homme utilise un stimulant ou pas l’essentiel est qu’il me satisfasse".
Agossou Marc(Etudiant)
"Je n’ai jamais essayé cela mais je me dit que ça doit être des produits qu’ils ne faut pas trop utiliser dans le temps. Peut être une fois en passant. Bon, maintenant je me dis que les femmes auraient certainement bien voulu que les hommes utilisent ces produits pour bien les prendre. Maintenant il revient aux hommes de savoir jusqu’où ne pas aller".
Zossouhoun Aurelien (Professeur de Lycée)
"Je peux vous certifier que les jeunes de maintenant utilisent ces produits, je parle beaucoup plus des élèves qui dans les confidences en parlent et moi cela m’inquiète et je me demande ce qu’ils deviendront dans les années à venir. Je pense que la responsabilité incombe aux parents qui doivent mieux les encadrer et aux autorités qui laissent vendre aussi librement ces dangereux produits".
Kouton Honorine (couturière)
"Je connais ça. Mon mari l’utilise et c’est bon".
"Je pense que c’est une pratique dangereuse. Car on ne connaît pas l’origine de ces produits, leur composition et je me dit que ce doit être des drogues qui peuvent à terme même détruire l’homme qui ne pourra plus bander".
Boton Hermine (commerçante)
"Moi ce n’est pas mon problème. Qu’un homme utilise un stimulant ou pas l’essentiel est qu’il me satisfasse".
Agossou Marc(Etudiant)
"Je n’ai jamais essayé cela mais je me dit que ça doit être des produits qu’ils ne faut pas trop utiliser dans le temps. Peut être une fois en passant. Bon, maintenant je me dis que les femmes auraient certainement bien voulu que les hommes utilisent ces produits pour bien les prendre. Maintenant il revient aux hommes de savoir jusqu’où ne pas aller".
Zossouhoun Aurelien (Professeur de Lycée)
"Je peux vous certifier que les jeunes de maintenant utilisent ces produits, je parle beaucoup plus des élèves qui dans les confidences en parlent et moi cela m’inquiète et je me demande ce qu’ils deviendront dans les années à venir. Je pense que la responsabilité incombe aux parents qui doivent mieux les encadrer et aux autorités qui laissent vendre aussi librement ces dangereux produits".
Kouton Honorine (couturière)
"Je connais ça. Mon mari l’utilise et c’est bon".
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