Le storytelling, ou raconter des histoires
Plus fort qu’abracadabra: « il était une fois »…
L’idée de Roland Barthes (écrivain et sémiologue – étude des signes – français, 1915-1980) selon laquelle le récit est l’un des grands moyens que nous utilisons pour comprendre et ordonner le monde, s’est imposé sous le terme de storytelling dans la politique, le management, la publicité…
En clair : les storytellers pensent que le meilleur moyen pour faciliter l’apprentissage, la mémorisation et l’appropriation d’un savoir ou d’un message, est d’utiliser le récit. Le storytelling est donc l’art de raconter des histoires, comme le pratiquent les conteurs ou les griots africains…
Apparu au milieu des années 1980 aux États-Unis, le storytelling management, une nouvelle école de direction d’entreprise, a connu depuis 2001 un succès croissant dans des firmes comme Disney, McDonald’s, Coca-Cola, Adobe, IBM, Microsoft. La NASA et Nike, pour ne citer qu’eux, considèrent le storytelling comme l’approche la plus efficace aujourd’hui dans les affaires.
L’être humain se rappelle mieux une information lorsqu’elle est énoncée à travers une histoire. Pourquoi ? Parce que, contrairement aux chiffres et aux analyses quantitatives, elle le touche directement, non seulement intellectuellement, mais aussi émotionnellement. Ce n’est plus le produit ou le service la vedette, c’est la personne qui l’imagine, qui le fabrique, qui le vend, qui l’achète, ce sont les valeurs humaines qui l’accompagnent.
Le storytelling ne consiste pas seulement à raconter une belle histoire; elle est surtout une forme de communication destinée à mobiliser les émotions, donner du sens au travail commun, guider le changement et piloter finalement les pratiques stratégiques de l’entreprise.
Christian Salmon qualifie le storytelling "d’arme de distraction massive" ; et ose une définition très critique de ce nouvel outil : "quand l’art de raconter des histoires devient l’art de formater les esprits pour les aliéner."
L'une des caractéristiques du storytelling est de manier fiction et réalité. Le pas est vite franchi de vouloir reconstruire une réalité conforme à ses intérêts. Cette dérive du storytelling est malheureusement trop fréquente, notamment en politique et en marketing.
L’idée de Roland Barthes (écrivain et sémiologue – étude des signes – français, 1915-1980) selon laquelle le récit est l’un des grands moyens que nous utilisons pour comprendre et ordonner le monde, s’est imposé sous le terme de storytelling dans la politique, le management, la publicité…
En clair : les storytellers pensent que le meilleur moyen pour faciliter l’apprentissage, la mémorisation et l’appropriation d’un savoir ou d’un message, est d’utiliser le récit. Le storytelling est donc l’art de raconter des histoires, comme le pratiquent les conteurs ou les griots africains…
Apparu au milieu des années 1980 aux États-Unis, le storytelling management, une nouvelle école de direction d’entreprise, a connu depuis 2001 un succès croissant dans des firmes comme Disney, McDonald’s, Coca-Cola, Adobe, IBM, Microsoft. La NASA et Nike, pour ne citer qu’eux, considèrent le storytelling comme l’approche la plus efficace aujourd’hui dans les affaires.
L’être humain se rappelle mieux une information lorsqu’elle est énoncée à travers une histoire. Pourquoi ? Parce que, contrairement aux chiffres et aux analyses quantitatives, elle le touche directement, non seulement intellectuellement, mais aussi émotionnellement. Ce n’est plus le produit ou le service la vedette, c’est la personne qui l’imagine, qui le fabrique, qui le vend, qui l’achète, ce sont les valeurs humaines qui l’accompagnent.
Le storytelling ne consiste pas seulement à raconter une belle histoire; elle est surtout une forme de communication destinée à mobiliser les émotions, donner du sens au travail commun, guider le changement et piloter finalement les pratiques stratégiques de l’entreprise.
Christian Salmon qualifie le storytelling "d’arme de distraction massive" ; et ose une définition très critique de ce nouvel outil : "quand l’art de raconter des histoires devient l’art de formater les esprits pour les aliéner."
L'une des caractéristiques du storytelling est de manier fiction et réalité. Le pas est vite franchi de vouloir reconstruire une réalité conforme à ses intérêts. Cette dérive du storytelling est malheureusement trop fréquente, notamment en politique et en marketing.
Le knowledge-telling, ou savoir-inspiration
Le knowledge-telling inventé par Paradigm® possède des points communs avec le storytelling, mais également des différences notables.
Comme pour le storytelling, le knowledge-telling place l’humain au centre du système, car c’est lui qui porte l’entreprise, la collectivité, la marque, le produit ou le service.
L’approche est globale, tout comme pour le storytelling, car c’est la seule manière d’appréhender le monde moderne. Une entreprise est un système complexe. Son développement repose sur les nombreuses interactions qu’elle entretient à l’intérieur du système et avec son environnement, qu’il soit technologique, politique, économique, financier, social, psychologique, sociologique… l’affaire n’est pas mince, et seule une approche transverse peut aider à créer du sens.
Plutôt que de charrier des masses d’informations, le knowledge-telling, tout comme le storytelling, permet de "naviguer dans le savoir" et penser ensemble. Or, valoriser l’individu dans ses savoirs, c’est l’outil de motivation le plus puissant qui soit.
Tout comme le storytelling, le knowledge-telling permet de réaliser des prestations "glamour et funky" qui bougent les lignes et bousculent les dogmes. Mais contrairement au storytelling, qui est souvent basé sur un imaginaire faux, le “mythe”, le knowledge-telling s’interdit de mêler fiction et réalité. Il prend sa source dans des faits réels, pouvant être méconnus, mais toujours vérifiés et porteurs de sens.
Prenons exemple sur la question de la formation. Le grand problème des formations et autres conférences, c’est qu’elles sont rarement drôles !
Vous pouvez vous passionner pour une formation qui s’intitule "Bilan de langage écrit : de l’évaluation au diagnostic différentiel", vous ? Et la conférence "Application de la Relaxation Lagrangienne pour le Problème de Tournées de Véhicules avec Gestion de Stock" avec le grand patron qui vous passe des graphiques, vous arrivez à ne pas bailler après le cinquième slide, vous ? Hum, honnêtement ?
Voyons à quoi ressemble pratiquement le knowledge-telling à travers quelques exemples.
Formation : Nanotechnologies et éclair au chocolat (Initiation aux Nanotechnologies en partant de l’exemple de l’éclair au chocolat : Le tout est plus que la somme de ses "ingrédients")
Conférence : Éclatons Nono le petit robot (Mieux comprendre la mondialisation grâce au dernier jouet à la mode…)
Paradigm développe un concept très original: utiliser le savoir et la culture selon une approche globale et décomplexée (dans tous les sens du terme…) comme support de coaching, de communication ou d’apprentissage dont l’objectif est d'encourager la motivation et la performance, apporter reconnaissance, engagement, dynamisme et réactivité et favoriser “l’innovation dans la manière de penser”.
www.paradigm.fr
Comme pour le storytelling, le knowledge-telling place l’humain au centre du système, car c’est lui qui porte l’entreprise, la collectivité, la marque, le produit ou le service.
L’approche est globale, tout comme pour le storytelling, car c’est la seule manière d’appréhender le monde moderne. Une entreprise est un système complexe. Son développement repose sur les nombreuses interactions qu’elle entretient à l’intérieur du système et avec son environnement, qu’il soit technologique, politique, économique, financier, social, psychologique, sociologique… l’affaire n’est pas mince, et seule une approche transverse peut aider à créer du sens.
Plutôt que de charrier des masses d’informations, le knowledge-telling, tout comme le storytelling, permet de "naviguer dans le savoir" et penser ensemble. Or, valoriser l’individu dans ses savoirs, c’est l’outil de motivation le plus puissant qui soit.
Tout comme le storytelling, le knowledge-telling permet de réaliser des prestations "glamour et funky" qui bougent les lignes et bousculent les dogmes. Mais contrairement au storytelling, qui est souvent basé sur un imaginaire faux, le “mythe”, le knowledge-telling s’interdit de mêler fiction et réalité. Il prend sa source dans des faits réels, pouvant être méconnus, mais toujours vérifiés et porteurs de sens.
Prenons exemple sur la question de la formation. Le grand problème des formations et autres conférences, c’est qu’elles sont rarement drôles !
Vous pouvez vous passionner pour une formation qui s’intitule "Bilan de langage écrit : de l’évaluation au diagnostic différentiel", vous ? Et la conférence "Application de la Relaxation Lagrangienne pour le Problème de Tournées de Véhicules avec Gestion de Stock" avec le grand patron qui vous passe des graphiques, vous arrivez à ne pas bailler après le cinquième slide, vous ? Hum, honnêtement ?
Voyons à quoi ressemble pratiquement le knowledge-telling à travers quelques exemples.
Formation : Nanotechnologies et éclair au chocolat (Initiation aux Nanotechnologies en partant de l’exemple de l’éclair au chocolat : Le tout est plus que la somme de ses "ingrédients")
Conférence : Éclatons Nono le petit robot (Mieux comprendre la mondialisation grâce au dernier jouet à la mode…)
Paradigm développe un concept très original: utiliser le savoir et la culture selon une approche globale et décomplexée (dans tous les sens du terme…) comme support de coaching, de communication ou d’apprentissage dont l’objectif est d'encourager la motivation et la performance, apporter reconnaissance, engagement, dynamisme et réactivité et favoriser “l’innovation dans la manière de penser”.
www.paradigm.fr