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Une récente étude de la société pharmaceutique Pharminfo démontre l’intérêt croisant des Français pour les objets connectés en matière de santé. 80% des personnes interrogées pensent en effet que l’iot (l'internet des objets connectés) peut améliorer leur santé. 40% d’entre eux ont déjà usé de ces technologies.
Un nouveau mode de fonctionnement, rendu possible par la prise de conscience des fabricants de ces objets. 64% des professionnels du secteur de l’iot ont bien saisi que les Français souhaitent le développement des objets connectés pour leur santé. D’ailleurs, on ne compte plus le nombre de startups et de services qui proposent bracelets, montres et autres applications connectées pour surveiller sa santé. C’est d’ailleurs sur ce point que les Français souhaitent se doter de ce type de support. 55% d‘entre eux utiliseraient les objets connectés pour surveiller leur santé, 30% pour mieux se connaitre et 15% pour l’améliorer.
La santé est donc ici davantage préventive que curative. C’est globalement une évolution vers laquelle tend la e-santé: la médecine préventive. Ou comment anticiper une maladie avant même qu’elle ne se déclare. Avec les problèmes d’étique, de prise en charge que cela pourraient poser derrière.
Dernier chiffre important de cette étude: une personne sur deux se dit inquiète de l’usage de ces données médicales. En effet, ces nouveaux objets permettent une collecte de données sans précédent! Mais quid de leur protection? Quelle indépendance d’une potentielle autorité régulatrice? Autant de questions dont il faudra trouver les réponses rapidement.
Un nouveau mode de fonctionnement, rendu possible par la prise de conscience des fabricants de ces objets. 64% des professionnels du secteur de l’iot ont bien saisi que les Français souhaitent le développement des objets connectés pour leur santé. D’ailleurs, on ne compte plus le nombre de startups et de services qui proposent bracelets, montres et autres applications connectées pour surveiller sa santé. C’est d’ailleurs sur ce point que les Français souhaitent se doter de ce type de support. 55% d‘entre eux utiliseraient les objets connectés pour surveiller leur santé, 30% pour mieux se connaitre et 15% pour l’améliorer.
La santé est donc ici davantage préventive que curative. C’est globalement une évolution vers laquelle tend la e-santé: la médecine préventive. Ou comment anticiper une maladie avant même qu’elle ne se déclare. Avec les problèmes d’étique, de prise en charge que cela pourraient poser derrière.
Dernier chiffre important de cette étude: une personne sur deux se dit inquiète de l’usage de ces données médicales. En effet, ces nouveaux objets permettent une collecte de données sans précédent! Mais quid de leur protection? Quelle indépendance d’une potentielle autorité régulatrice? Autant de questions dont il faudra trouver les réponses rapidement.
* Source: rapport du cabinet Mercom Capital Group