Les travaux du traditionnel 25e sommet Afrique-France se sont ouverts ce lundi 31 mai à Nice, dans les Alpes-Maritimes, avec la participation de trente-neuf chefs d'États et de gouvernement africains.
C'est une première pour Nicolas Sarkozy. Le chef de l'État français a estimé qu'il était "absolument anormal que l'Afrique ne compte aucun membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies" et a exigé que "ce Conseil soit réformé".
Les questions abordées à huit-clos portaient sur le terrorisme, trafic de drogue, piraterie, la lutte contre le réchauffement climatique, et les effets de catastrophes naturelles sur le continent africain.
Le président égyptien Hosni Moubarak, qui co-présidait le sommet, a plaidé pour une meilleure représentation de l'Afrique.
C'est une première pour Nicolas Sarkozy. Le chef de l'État français a estimé qu'il était "absolument anormal que l'Afrique ne compte aucun membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies" et a exigé que "ce Conseil soit réformé".
Les questions abordées à huit-clos portaient sur le terrorisme, trafic de drogue, piraterie, la lutte contre le réchauffement climatique, et les effets de catastrophes naturelles sur le continent africain.
Le président égyptien Hosni Moubarak, qui co-présidait le sommet, a plaidé pour une meilleure représentation de l'Afrique.