En Afrique du Sud il a été procédé à des tests qui ont démontré que ce gel à base de ténofovir réduirait pour les femmes les risques de contaminations du virus du Sida de 39 %, c'est ce que l'étude du Centre for the AIDS Programme of Research in South Africa (CAPRISA) a déclaré.
C'est sur des femmes âgées entre 18 et 40 ans que cette étude a porté. Ce gel doit être appliqué au moins 12 heures précédant une relation sexuelle. Les experts de l'ONU SIDA et de l'Organisation mondiale de la santé, ont demandé à ce que soit multiplié les essais sur différentes populations et d'autres pays d'Afrique avant d'engager une procédure de commercialisation.
Ils ont ajouté la nécessité de tester ce gel sur des femmes de 16 à 17 ans pour lesquelles en Afrique subsaharienne, le risque est très élevé. Les scientifiques de l'ONU recommandent de tester le produit avec différentes posologies mais également d'évaluer les résultats d'une application quotidienne du gel.
Au vu des résultats des derniers tests et si confirmation de l'étude du CAPRISA, les femmes seront heureuses de savoir qu'elles ne dépendront plus du choix de se protéger ou non de leur partenaire.
Il faut bien se rendre à l'évidence que la moitié des personnes atteintes du virus du Sida dans le monde sont des femmes.
Pour la poursuite de ces recherches, il faudrait au moins 100 millions de dollars et d'après l'ONU SIDA il n'y a eu que 58 millions de récupérés. Catherine Hankins, Conseillère scientifique de l'ONU SIDA a déclaré : "Les bailleurs et les scientifiques doivent travailler ensemble pour combler le manque de financements rapidement et mettre au point ce gel microbicide pour les femmes"
C'est sur des femmes âgées entre 18 et 40 ans que cette étude a porté. Ce gel doit être appliqué au moins 12 heures précédant une relation sexuelle. Les experts de l'ONU SIDA et de l'Organisation mondiale de la santé, ont demandé à ce que soit multiplié les essais sur différentes populations et d'autres pays d'Afrique avant d'engager une procédure de commercialisation.
Ils ont ajouté la nécessité de tester ce gel sur des femmes de 16 à 17 ans pour lesquelles en Afrique subsaharienne, le risque est très élevé. Les scientifiques de l'ONU recommandent de tester le produit avec différentes posologies mais également d'évaluer les résultats d'une application quotidienne du gel.
Au vu des résultats des derniers tests et si confirmation de l'étude du CAPRISA, les femmes seront heureuses de savoir qu'elles ne dépendront plus du choix de se protéger ou non de leur partenaire.
Il faut bien se rendre à l'évidence que la moitié des personnes atteintes du virus du Sida dans le monde sont des femmes.
Pour la poursuite de ces recherches, il faudrait au moins 100 millions de dollars et d'après l'ONU SIDA il n'y a eu que 58 millions de récupérés. Catherine Hankins, Conseillère scientifique de l'ONU SIDA a déclaré : "Les bailleurs et les scientifiques doivent travailler ensemble pour combler le manque de financements rapidement et mettre au point ce gel microbicide pour les femmes"