Des chiffres inquiétants
Hécatombe routière.mp3 (1 Mo)
Durant l’année 2015, le nombre d’accidents s’élevait à 20.361 dont 3.801 morts et 36.657 blessés, soit une baisse de 16.51% d’accidents, 4.59% de décès et 17.71% de blessés en moins, en comparaison avec l’année 2014. Les statistiques du 1er trimestre de 2016 confirment la tendance baissière.
Par rapport au Maroc, avec une taille de population identique et malgré le nombre d’accidents élevé: 78.864 cas enregistrés en 2015; les nombres de morts (3.565) et de blessés (9.957) sont nettement inférieurs aux chiffres concernant l’Algérie.
Finalement, l’Algérie avec une population et un parc automobile de moindre importance par rapport à d’autres pays, compte relativement plus de morts et de blessés.
Selon les statistiques du premier trimestre de l’année en cours de la gendarmerie nationale, 87.86% des accidents routiers sont dus au facteur humain, 6.74% à cause de l’état des véhicules, 5.20% pour l’état de la route.
Cependant, les statistiques établies restent insuffisantes en l’absence d’études spécialisées, pluridisciplinaires pour déterminer les causes majeures des accidents routiers notamment les facteurs humains. De même, qu’il reste beaucoup à faire en matière d’information, de sensibilisation et d’éducation des citoyens sur la prévention routière.
Par rapport au Maroc, avec une taille de population identique et malgré le nombre d’accidents élevé: 78.864 cas enregistrés en 2015; les nombres de morts (3.565) et de blessés (9.957) sont nettement inférieurs aux chiffres concernant l’Algérie.
Finalement, l’Algérie avec une population et un parc automobile de moindre importance par rapport à d’autres pays, compte relativement plus de morts et de blessés.
Selon les statistiques du premier trimestre de l’année en cours de la gendarmerie nationale, 87.86% des accidents routiers sont dus au facteur humain, 6.74% à cause de l’état des véhicules, 5.20% pour l’état de la route.
Cependant, les statistiques établies restent insuffisantes en l’absence d’études spécialisées, pluridisciplinaires pour déterminer les causes majeures des accidents routiers notamment les facteurs humains. De même, qu’il reste beaucoup à faire en matière d’information, de sensibilisation et d’éducation des citoyens sur la prévention routière.