Une vie de confinés (2.98 Mo)
Ennui, anxiété, sidération, injustice… les sentiments se bousculent. Nos déplacements sont contrôlés et nos interactions sociales sont proscrites. Nos libertés les plus fondamentales sont réduites et ont des conséquences sur notre état psychologique.
Cette situation peut amener à se questionner sur la condition de ces animaux qui, de leur naissance à leur mort, n’ont jamais eu la liberté de se mouvoir, de socialiser ou de jouir de l’extérieur. Entassés par centaines dans des espaces clos, sans jamais entrevoir la lumière du jour, ces êtres doués de sentience développent des troubles du comportement. Ils s’infligent des blessures, adoptent des comportements répétitifs et agressifs, qui témoignent d’une réelle détresse psychologique.
Cette situation peut amener à se questionner sur la condition de ces animaux qui, de leur naissance à leur mort, n’ont jamais eu la liberté de se mouvoir, de socialiser ou de jouir de l’extérieur. Entassés par centaines dans des espaces clos, sans jamais entrevoir la lumière du jour, ces êtres doués de sentience développent des troubles du comportement. Ils s’infligent des blessures, adoptent des comportements répétitifs et agressifs, qui témoignent d’une réelle détresse psychologique.
Rester chez soi est à la fois un privilège et une défaveur qui exacerbe les discriminations et les violences. La précarité, les violences conjugales, les inégalités d’accès à l’éducation provoquent l’indignation, la révolte, l’injustice et la solidarité.
En sortant du cadre de la pensée spéciste et en écartant la hiérarchisation des droits élémentaires, on ne peut être qu’empathique face à la souffrance quotidienne de ces milliards d’animaux.
Le journaliste et activiste Hugo Clément revient aux origines de cette épidémie en déclarant que "i[selon une équipe de chercheurs chinois, […] le pangolin aurait pu jouer le rôle d’hôte intermédiaire entre la chauve-souris et l’être humain. […] Le coronavirus est peut-être une conséquence du comportement de certains êtres humains à l’égard de la faune sauvage en danger. Cela peut être l’occasion de repenser notre alimentation (d’autres virus se transmettent à l’Homme via des élevages intensifs porcins ou aviaires) et la place que nous accordons aux autres espèces ]i".
En sortant du cadre de la pensée spéciste et en écartant la hiérarchisation des droits élémentaires, on ne peut être qu’empathique face à la souffrance quotidienne de ces milliards d’animaux.
Le journaliste et activiste Hugo Clément revient aux origines de cette épidémie en déclarant que "i[selon une équipe de chercheurs chinois, […] le pangolin aurait pu jouer le rôle d’hôte intermédiaire entre la chauve-souris et l’être humain. […] Le coronavirus est peut-être une conséquence du comportement de certains êtres humains à l’égard de la faune sauvage en danger. Cela peut être l’occasion de repenser notre alimentation (d’autres virus se transmettent à l’Homme via des élevages intensifs porcins ou aviaires) et la place que nous accordons aux autres espèces ]i".