Madame Shirin Ebadi au Canada par dfait.maeci
Shirin Ebadi, lauréate du prix Nobel de la paix et plusieurs groupes de défense des droits humains réclament un moratoire sur les exécutions.
Il faut que les États et les Nations unies s’élèvent contre la vague d’exécutions en Iran, ont déclaré Shirin Ebadi, lauréate du Prix Nobel de la paix et six organisations de défense des droits humains, lundi 14 février 2011. Shirin Ebadi et les groupes de défense des droits humains appellent le Parlement et le pouvoir judiciaire iraniens à décréter un moratoire immédiat sur toutes les exécutions.
Au moins 86 personnes ont été exécutées depuis le début de l’année 2011, selon les informations dont disposent les six organisations, à savoir : Amnesty International, Human Rights Watch, Reporters sans frontières, la Campagne internationale pour les droits humains en Iran, la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme et la Ligue pour la défense des droits de l’homme en Iran qui lui est affiliée. Au moins huit des personnes exécutées en janvier étaient des prisonniers politiques, condamnés pour "inimitié à l’égard de Dieu" (morabeh) en raison de leur participation à des manifestations ou de leurs liens présumés avec des groupes d’opposition.
Il faut que les États et les Nations unies s’élèvent contre la vague d’exécutions en Iran, ont déclaré Shirin Ebadi, lauréate du Prix Nobel de la paix et six organisations de défense des droits humains, lundi 14 février 2011. Shirin Ebadi et les groupes de défense des droits humains appellent le Parlement et le pouvoir judiciaire iraniens à décréter un moratoire immédiat sur toutes les exécutions.
Au moins 86 personnes ont été exécutées depuis le début de l’année 2011, selon les informations dont disposent les six organisations, à savoir : Amnesty International, Human Rights Watch, Reporters sans frontières, la Campagne internationale pour les droits humains en Iran, la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme et la Ligue pour la défense des droits de l’homme en Iran qui lui est affiliée. Au moins huit des personnes exécutées en janvier étaient des prisonniers politiques, condamnés pour "inimitié à l’égard de Dieu" (morabeh) en raison de leur participation à des manifestations ou de leurs liens présumés avec des groupes d’opposition.