"Dans la vie, il ne faut jamais se plaindre"
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Lorsque l’on regarde Imad et l’écoutons parler, nous sommes loin d’imaginer toutes les horreurs qu’il a traversées. Car le petit garçon est souriant, plein de vie et d’optimisme. Il n’est pas un garçon comme les autres, puisque son enfance, il l’a passée non pas dans les cours de récréation, mais à l’hôpital. Il souffre de la maladie des organes "inversés".
A l’âge de quatre ans, alors qu’il était en phase terminale dans le pays d’où il vient, l’Algérie, et dans l’attente d'une greffe de rein, le ministère de la Santé algérien décide de financer son opération en France. Mais une fois sur le territoire, il fait un AVC et se retrouve en fauteuil roulant. Il ne pourra plus utiliser sa main gauche. Problème de rein, problème de cœur, AVC, myopie… Le destin n’épargne pas Imad, jusqu’au jour où il reçoit la nouvelle qu’il attendait tant: son père est compatible pour la greffe. Pour le petit garçon, très croyant, c’est grâce à Dieu.
A l’âge de quatre ans, alors qu’il était en phase terminale dans le pays d’où il vient, l’Algérie, et dans l’attente d'une greffe de rein, le ministère de la Santé algérien décide de financer son opération en France. Mais une fois sur le territoire, il fait un AVC et se retrouve en fauteuil roulant. Il ne pourra plus utiliser sa main gauche. Problème de rein, problème de cœur, AVC, myopie… Le destin n’épargne pas Imad, jusqu’au jour où il reçoit la nouvelle qu’il attendait tant: son père est compatible pour la greffe. Pour le petit garçon, très croyant, c’est grâce à Dieu.
"Je ne suis pas tout seul"
Lorsqu’on lui demande si c’est difficile de ne pas pouvoir faire comme les autres, Imad fait "non" de la tête, et parle des autres malades: "Il y avait plusieurs cas de maladies: il y avait le cancer, il y avait plein de gens qui faisaient la dialyse comme moi et bien sûr des cas plus difficiles que moi".
Le petit garçon est un exemple de courage et de force, jamais au cours du reportage il n’avouera avoir souffert ou perdu espoir. Il se permettra même quelques conseils: "Je conseille d’être solidaire comme moi et mes parents. Parfois vous pouvez pleurer, parce que ça fait du bien".
Difficile de s’imaginer que ce petit bout n’a que huit ans, et pourtant… Plus tard, il aimerait devenir pompier, pour pouvoir à son tour sauver des vies.
Le petit garçon est un exemple de courage et de force, jamais au cours du reportage il n’avouera avoir souffert ou perdu espoir. Il se permettra même quelques conseils: "Je conseille d’être solidaire comme moi et mes parents. Parfois vous pouvez pleurer, parce que ça fait du bien".
Difficile de s’imaginer que ce petit bout n’a que huit ans, et pourtant… Plus tard, il aimerait devenir pompier, pour pouvoir à son tour sauver des vies.