Louis Arlette sort un nouvel extrait de l’incroyable Chrysalide. Voici le clip d’Amsterdam en peine, et son clip tourné en direct de l’hôpital accompagnée de ce message posté sur les réseaux sociaux de l'artiste :
"On entre en urgence dans un hôpital, mais on ne sait pas quand on en ressort. Tout bascule, la moindre tache devient longue et fastidieuse, on est environné par ce que la vie peut avoir de plus dur, de plus froid.
Rythmés par le silence, le son des scanners, les plateaux repas, les souvenirs remontent et se mélangent dans un tourbillon anachronique total : Darius « Grand Roi des Perses », les girafes du zoo de Vincennes, Johannes Vermeer et sa peinture de lumière, le fantôme de Jacques Brel projeté sur un écran blanc…
Cette vidéo (filmée et montée sur place à l’hôpital Bégin) n’a pas pour but de m’exhiber mais de rassembler le courage et la poésie indispensables pour traverser chacune de nos épreuves."
Entre poésie expérimentale, slam psychédélique, pop martienne, chanson chimique, Louis Arlette atteint des sommets avec Amsterdam et Peine et sa vidéo malade :
"On entre en urgence dans un hôpital, mais on ne sait pas quand on en ressort. Tout bascule, la moindre tache devient longue et fastidieuse, on est environné par ce que la vie peut avoir de plus dur, de plus froid.
Rythmés par le silence, le son des scanners, les plateaux repas, les souvenirs remontent et se mélangent dans un tourbillon anachronique total : Darius « Grand Roi des Perses », les girafes du zoo de Vincennes, Johannes Vermeer et sa peinture de lumière, le fantôme de Jacques Brel projeté sur un écran blanc…
Cette vidéo (filmée et montée sur place à l’hôpital Bégin) n’a pas pour but de m’exhiber mais de rassembler le courage et la poésie indispensables pour traverser chacune de nos épreuves."
Entre poésie expérimentale, slam psychédélique, pop martienne, chanson chimique, Louis Arlette atteint des sommets avec Amsterdam et Peine et sa vidéo malade :